Titre : |
Pratiques de biosécurité et risques biologiques potentiels dans les élevages avicoles à Agnibilekrou et en zones périurbaines d’Abidjan |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Yiwo Thècle Noée Céline N’Guessan, Auteur |
Editeur : |
Dakar : EISMV |
Importance : |
83 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2009
|
Mots-clés : |
BIOSECURITE CONTAMINATION BIOLOGIQUE AVICULTURE COTE D’IVOIRE |
Index. décimale : |
TD-THESE DE DOCTORAT |
Résumé : |
Ce travail qui vise à étudier l’évaluation des pratiques de biosécurité et les risques biologiques potentiels dans les élevages avicoles à Agnibilékrou et en zones périurbaine d’Abidjan s’est déroulé d’Août à Décembre 2008. 219 élevages avicoles ont été enquêtés, dont 119 du secteur 3 et 100 du secteur 4. Quatre éléments essentiels ont marqués ces enquêtes à savoir l’implantation et les caractéristiques des élevages, la conception des bâtiments, les dispositifs à l’entrée etprotection de la zone d’ accessibles, 43,7% sont en contact avec d’autres oiseaux domestiques, 63,7% sont en contact avec des habitations. Dans 49,7% de fermes les bâtiments respectent le sens des vents dominants et du soleil. Au niveau des dispositifs à l’entrée et la protection de la zone d’élevage, seulement 22,7% des fermes ont des clôtures, 6,7% des rotoluves, 30,3% des pédiluves. Les cadavres de volailles sont dans 22,7% des cas jetés à l’air libre et consommés dans 25% des fermes. Concernant l’aménagement 0% de fermes ont des bâtiments à principe de marche ensens unique. 29,4% de fermes ont un système de mesure des températures. L’aliment est souillédans 10,1% des cas par les déjections de rongeurs etc. Dans 30,3% de fermes, le personnel d’élevage reçoit une formation, 22,7% connaissent les mesures de biosécurité. 2,5% ont l’assistance de docteurs vétérinaires, 71,4% des techniciens en élevage. Dans le secteur 4 ou élevage villageois, 96% de fermes sont d’accès facile, 77% en contact avec d’autres oiseaux domestiques, 93% en contact avec des habitations. En général, il n’existe pas de bâtiment dans le secteur 4. Les dispositifs à l’entrée et la protection de la zone d’élevage sont également inexistants. Néanmoins, 91% de ces élevages ont des abords entretenus. Les déchets sont éliminés dans 96% des élevages à l’air libre, les cadavres de volailles dans 69% des fermes. La conduite d’élevage est quasi inexistante. L’eau consommée par les oiseaux est dans 57% des élevages de l’eau de surface. Dans 81% des élevages l’alimentation est basée sur la divagation et dans 19% des cas sur la semi-divagation. Les aliments sont souillés dans 89% des élevages. Les cadavres de volailles sont jetés dans 43,5% des fermes à proximité de l’élevage. Dans ce secteur le personnel d’élevage est représenté par les propriétaires et 3% d’entre eux connaissent les mesures de biosécurité. 4 docteurs et 12 techniciens en élevage en charge de ces élevages ont été questionnés.100% des docteurs ont été formés en mesures de biosécurité. 66,66% des techniciens ignorent ce que c’est que la biosécurité. Les agents ont tous un engouement pour la mise en application des mesures de biosécurité sur proposition d’un programme. D’autres informations obtenues dans ces deux secteurs donnent les résultats suivants : 54,6% des élevages du secteur 3 et 92% des élevages du secteur 4 ont des problèmes sanitaires. Face à de telles situations, l’Etat Ivoirien devrait renforcer la formation, la sensibilisation et encourager tout les acteurs de la filière avicole en particulier les éleveurs sur la mise en place de bonnes pratiques de biosécurité. Il devrait également mettre à leur disposition, un guide de bonne pratique des mesures de biosécurité, fiche d’évaluation de ces pratiques de biosécurité et les agents vétérinaires nécessaire à la bonne marche de ces opérations afin d’assurer non seulement la sécurité sanitaire des volailles mais aussi celle de l’Homme. |
PRESIDENT DE JURY : |
Monsieur AFOUTOU José Marie |
DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : |
Monsieur KABORET Yalacé Yamba |
RAPPORTEUR : |
Monsieur KABORET Yalacé Yamba |
MEMBRE : |
Monsieur ASSANE Moussa /Monsieur BAKOU Serge Niangoran |
DATE DE SOUTENANCE : |
16/07/2009 |
PAYS : |
Côte d’Ivoire |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=1626 |
Pratiques de biosécurité et risques biologiques potentiels dans les élevages avicoles à Agnibilekrou et en zones périurbaines d’Abidjan [texte imprimé] / Yiwo Thècle Noée Céline N’Guessan, Auteur . - Dakar : EISMV, [s.d.] . - 83 p. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2009
|
Mots-clés : |
BIOSECURITE CONTAMINATION BIOLOGIQUE AVICULTURE COTE D’IVOIRE |
Index. décimale : |
TD-THESE DE DOCTORAT |
Résumé : |
Ce travail qui vise à étudier l’évaluation des pratiques de biosécurité et les risques biologiques potentiels dans les élevages avicoles à Agnibilékrou et en zones périurbaine d’Abidjan s’est déroulé d’Août à Décembre 2008. 219 élevages avicoles ont été enquêtés, dont 119 du secteur 3 et 100 du secteur 4. Quatre éléments essentiels ont marqués ces enquêtes à savoir l’implantation et les caractéristiques des élevages, la conception des bâtiments, les dispositifs à l’entrée etprotection de la zone d’ accessibles, 43,7% sont en contact avec d’autres oiseaux domestiques, 63,7% sont en contact avec des habitations. Dans 49,7% de fermes les bâtiments respectent le sens des vents dominants et du soleil. Au niveau des dispositifs à l’entrée et la protection de la zone d’élevage, seulement 22,7% des fermes ont des clôtures, 6,7% des rotoluves, 30,3% des pédiluves. Les cadavres de volailles sont dans 22,7% des cas jetés à l’air libre et consommés dans 25% des fermes. Concernant l’aménagement 0% de fermes ont des bâtiments à principe de marche ensens unique. 29,4% de fermes ont un système de mesure des températures. L’aliment est souillédans 10,1% des cas par les déjections de rongeurs etc. Dans 30,3% de fermes, le personnel d’élevage reçoit une formation, 22,7% connaissent les mesures de biosécurité. 2,5% ont l’assistance de docteurs vétérinaires, 71,4% des techniciens en élevage. Dans le secteur 4 ou élevage villageois, 96% de fermes sont d’accès facile, 77% en contact avec d’autres oiseaux domestiques, 93% en contact avec des habitations. En général, il n’existe pas de bâtiment dans le secteur 4. Les dispositifs à l’entrée et la protection de la zone d’élevage sont également inexistants. Néanmoins, 91% de ces élevages ont des abords entretenus. Les déchets sont éliminés dans 96% des élevages à l’air libre, les cadavres de volailles dans 69% des fermes. La conduite d’élevage est quasi inexistante. L’eau consommée par les oiseaux est dans 57% des élevages de l’eau de surface. Dans 81% des élevages l’alimentation est basée sur la divagation et dans 19% des cas sur la semi-divagation. Les aliments sont souillés dans 89% des élevages. Les cadavres de volailles sont jetés dans 43,5% des fermes à proximité de l’élevage. Dans ce secteur le personnel d’élevage est représenté par les propriétaires et 3% d’entre eux connaissent les mesures de biosécurité. 4 docteurs et 12 techniciens en élevage en charge de ces élevages ont été questionnés.100% des docteurs ont été formés en mesures de biosécurité. 66,66% des techniciens ignorent ce que c’est que la biosécurité. Les agents ont tous un engouement pour la mise en application des mesures de biosécurité sur proposition d’un programme. D’autres informations obtenues dans ces deux secteurs donnent les résultats suivants : 54,6% des élevages du secteur 3 et 92% des élevages du secteur 4 ont des problèmes sanitaires. Face à de telles situations, l’Etat Ivoirien devrait renforcer la formation, la sensibilisation et encourager tout les acteurs de la filière avicole en particulier les éleveurs sur la mise en place de bonnes pratiques de biosécurité. Il devrait également mettre à leur disposition, un guide de bonne pratique des mesures de biosécurité, fiche d’évaluation de ces pratiques de biosécurité et les agents vétérinaires nécessaire à la bonne marche de ces opérations afin d’assurer non seulement la sécurité sanitaire des volailles mais aussi celle de l’Homme. |
PRESIDENT DE JURY : |
Monsieur AFOUTOU José Marie |
DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : |
Monsieur KABORET Yalacé Yamba |
RAPPORTEUR : |
Monsieur KABORET Yalacé Yamba |
MEMBRE : |
Monsieur ASSANE Moussa /Monsieur BAKOU Serge Niangoran |
DATE DE SOUTENANCE : |
16/07/2009 |
PAYS : |
Côte d’Ivoire |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=1626 |
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