Titre : |
Etude des mécanismes de financement de la chaine de valeur bétail viande au Burkina Faso. |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Hélène Yameogo, Auteur |
Editeur : |
Dakar : EISMV |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
89 p. |
Note générale : |
|
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2016
|
Mots-clés : |
FINANCEMENT BETAIL VIANDE BURKINA FASO |
Index. décimale : |
TD-THESE DE DOCTORAT |
Résumé : |
Le Burkina Faso est un pays à vocation agropastorale. Dans sa politique de développement du sous-secteur de l’élevage, plusieurs projets ont été élaborés afin d’augmenter le niveau de financement des projets d’élevage. C’est ainsi que des projets comme le FODEL, le PAFASP, le PAPSA financent les activités des acteurs de la chaîne de valeur bétail viande. Malgré l’intervention des organismes le financement des activités des acteurs de la chaîne de valeur bétail viande demeure insuffisant. C’est dans cette optique que nous avons entrepris l’étude sur les mécanismes de financement de la chaîne de valeur bétail viande au Burkina Faso. Cette étude, conduite dans huit provinces réparties dans sept régions du Burkina Faso à savoir, la Boucle du Mouhoun, les Cascades, le Centre, le Centre-Est, l’Est, les Hauts Bassins et le Sahel a permis de collecter des informations auprès des producteurs, des commerçants, des transformateurs, des institutions financières, et des responsables des projets. Ce travail vise à identifier les mécanismes de financements et leurs difficultés afin de formuler des recommandations pour améliorer les mécanismes de financements des acteurs de la chaîne de valeur bétail-viande. Ainsi, après une enquête exploratoire, des questionnaires ont été administré auprès de 160 personnes. L’étude à montrer que 35% des producteurs enquêtés bénéficiaient des crédits dont 33% provenaient des institutions financières et 2% prévenaient des projets et programmes. Chez les commerçant 53% bénéficiaient des crédits dont 29% provenaient des institutions financières, 13% des projets et 11% de la famille. Par contre seulement 12% des transformateurs bénéficiaient des crédits dont 9% provenaient des institutions financières et 3% des projets. Néanmoins ces bénéficiaires des crédits rencontraient des problèmes concernant les types de garanties exigées surtout par les institutions financières. En plus 68,3% de ces bénéficiaires n’étaient pas satisfaits de taux d’intérêt qui les a été proposé. Ils existaient différents modes de remboursement de ces crédits mais le remboursement par semestre (48,6%) était le plus utilisé par ces bénéficiaires. Il ressort de cette étude, la nécessité d’augmenter le niveau de financement des activités des acteurs de la chaîne valeur bétail viande. L’accent doit être mis au niveau des projets et programme à travers l’élargissement de leur budget et de leur champ d’intervention. En plus l’Etat doit travailler à avoir un partenariat avec les institutions financières dans le but d’alléger les types de garanties et de diminuer les taux d’intérêts. |
PRESIDENT DE JURY : |
M. Gora MBAYE |
DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : |
M. Yalacé Yamba KABORET |
RAPPORTEUR : |
M. Yalacé Yamba KABORET |
MEMBRE : |
M. Moussa ASSANE /M. Oubri Bassa GBATI |
CO-DIRECTEUR : |
Dr Walter OSSEBI |
DATE DE SOUTENANCE : |
04/07/2016 |
PAYS : |
BURKINA FASO |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=1945 |
Etude des mécanismes de financement de la chaine de valeur bétail viande au Burkina Faso. [texte imprimé] / Hélène Yameogo, Auteur . - Dakar : EISMV, 2016 . - 89 p.
Langues : Français ( fre)
Catégories : |
THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2016
|
Mots-clés : |
FINANCEMENT BETAIL VIANDE BURKINA FASO |
Index. décimale : |
TD-THESE DE DOCTORAT |
Résumé : |
Le Burkina Faso est un pays à vocation agropastorale. Dans sa politique de développement du sous-secteur de l’élevage, plusieurs projets ont été élaborés afin d’augmenter le niveau de financement des projets d’élevage. C’est ainsi que des projets comme le FODEL, le PAFASP, le PAPSA financent les activités des acteurs de la chaîne de valeur bétail viande. Malgré l’intervention des organismes le financement des activités des acteurs de la chaîne de valeur bétail viande demeure insuffisant. C’est dans cette optique que nous avons entrepris l’étude sur les mécanismes de financement de la chaîne de valeur bétail viande au Burkina Faso. Cette étude, conduite dans huit provinces réparties dans sept régions du Burkina Faso à savoir, la Boucle du Mouhoun, les Cascades, le Centre, le Centre-Est, l’Est, les Hauts Bassins et le Sahel a permis de collecter des informations auprès des producteurs, des commerçants, des transformateurs, des institutions financières, et des responsables des projets. Ce travail vise à identifier les mécanismes de financements et leurs difficultés afin de formuler des recommandations pour améliorer les mécanismes de financements des acteurs de la chaîne de valeur bétail-viande. Ainsi, après une enquête exploratoire, des questionnaires ont été administré auprès de 160 personnes. L’étude à montrer que 35% des producteurs enquêtés bénéficiaient des crédits dont 33% provenaient des institutions financières et 2% prévenaient des projets et programmes. Chez les commerçant 53% bénéficiaient des crédits dont 29% provenaient des institutions financières, 13% des projets et 11% de la famille. Par contre seulement 12% des transformateurs bénéficiaient des crédits dont 9% provenaient des institutions financières et 3% des projets. Néanmoins ces bénéficiaires des crédits rencontraient des problèmes concernant les types de garanties exigées surtout par les institutions financières. En plus 68,3% de ces bénéficiaires n’étaient pas satisfaits de taux d’intérêt qui les a été proposé. Ils existaient différents modes de remboursement de ces crédits mais le remboursement par semestre (48,6%) était le plus utilisé par ces bénéficiaires. Il ressort de cette étude, la nécessité d’augmenter le niveau de financement des activités des acteurs de la chaîne valeur bétail viande. L’accent doit être mis au niveau des projets et programme à travers l’élargissement de leur budget et de leur champ d’intervention. En plus l’Etat doit travailler à avoir un partenariat avec les institutions financières dans le but d’alléger les types de garanties et de diminuer les taux d’intérêts. |
PRESIDENT DE JURY : |
M. Gora MBAYE |
DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : |
M. Yalacé Yamba KABORET |
RAPPORTEUR : |
M. Yalacé Yamba KABORET |
MEMBRE : |
M. Moussa ASSANE /M. Oubri Bassa GBATI |
CO-DIRECTEUR : |
Dr Walter OSSEBI |
DATE DE SOUTENANCE : |
04/07/2016 |
PAYS : |
BURKINA FASO |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=1945 |
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