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'METHODE d’ELEVAGE' 




L’Analyse de la durabilité des systémes d’élevage des pays de l’Afrique subsaharienne / Jenna Noblet (2011)
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Titre : L’Analyse de la durabilité des systémes d’élevage des pays de l’Afrique subsaharienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Jenna Noblet, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2011 Importance : 127 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2011 Mots-clés : DEVELOPPEMENT DURABLE ENVIRONNEMENT BIODIVERSITE METHODE D’ELEVAGE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : En Afrique, un des continents les plus riches en ressources fourragères, nous constatons que le développement du secteur de l’élevage n’a pas suivi la croissance démographique et le volume des importations de produits alimentaires d’origine animale n’a cessé de s’élever. De la sorte, la société attend que l’élevage continue de répondre à une demande de plus en plus forte en produits animaux. Il doit satisfaire ces attentes en respectant l’environnement, en maîtrisant les conséquences éventuelles des maladies animales mais également en ouvrant des possibilités de développement rural, de réduction de la pauvreté et d’amélioration de la sécurité alimentaire. Notre travail de thèse consiste donc à cerner dans le secteur de l’élevage « en transition », ses atouts et ses contraintes pour nous permettre de trouver des « solutions » technico-économiques et politiques et ainsi déterminer la durabilité des différents systèmes d’élevage des pays de l’Afrique subsaharienne. Une attention particulière a été portée aux moteurs évolutifs et aux changements rencontrés dans le secteur de l’élevage dans les pays de l’Afrique subsaharienne. Nous avons aussi mis l’accent sur les différents rôles que les productions animales remplissent, ainsi que ces impacts sanitaires, environnementaux et sociaux négatifs.Ce travail de thèse a pour vocation finale de donner des recommandations en termes d’amélioration de la productivité des systèmes d’élevage, d’options technico-économiques et politiques pour répondre aux obstacles de l’élevage et contribuer à la réduction de la pauvreté avec comme cibles prioritaires les femmes. De la sorte, ce document montre la nécessité de ce secteur à être soutenu par une solide gouvernance qui sera en mesure de trouver des options technico-économiques, afin d’analyser la durabilité des systèmes d’élevage dans les pays de l’Afrique subsaharienne PRESIDENT DE JURY : M. DIOP Bernard Marcel, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odonto-Stomatologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. MISSOHOU Ayao, Pr à l’EISMV de Dakar. RAPPORTEUR : M. MISSOHOU Ayao, Pr titulaire à l’EISMV de Dakar. MEMBRE : M. ASSANE Moussa, Pr à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 20/10/2011 PAYS : France Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1714 L’Analyse de la durabilité des systémes d’élevage des pays de l’Afrique subsaharienne [texte imprimé] / Jenna Noblet, Auteur . - Dakar : EISMV, 2011 . - 127 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2011 Mots-clés : DEVELOPPEMENT DURABLE ENVIRONNEMENT BIODIVERSITE METHODE D’ELEVAGE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : En Afrique, un des continents les plus riches en ressources fourragères, nous constatons que le développement du secteur de l’élevage n’a pas suivi la croissance démographique et le volume des importations de produits alimentaires d’origine animale n’a cessé de s’élever. De la sorte, la société attend que l’élevage continue de répondre à une demande de plus en plus forte en produits animaux. Il doit satisfaire ces attentes en respectant l’environnement, en maîtrisant les conséquences éventuelles des maladies animales mais également en ouvrant des possibilités de développement rural, de réduction de la pauvreté et d’amélioration de la sécurité alimentaire. Notre travail de thèse consiste donc à cerner dans le secteur de l’élevage « en transition », ses atouts et ses contraintes pour nous permettre de trouver des « solutions » technico-économiques et politiques et ainsi déterminer la durabilité des différents systèmes d’élevage des pays de l’Afrique subsaharienne. Une attention particulière a été portée aux moteurs évolutifs et aux changements rencontrés dans le secteur de l’élevage dans les pays de l’Afrique subsaharienne. Nous avons aussi mis l’accent sur les différents rôles que les productions animales remplissent, ainsi que ces impacts sanitaires, environnementaux et sociaux négatifs.Ce travail de thèse a pour vocation finale de donner des recommandations en termes d’amélioration de la productivité des systèmes d’élevage, d’options technico-économiques et politiques pour répondre aux obstacles de l’élevage et contribuer à la réduction de la pauvreté avec comme cibles prioritaires les femmes. De la sorte, ce document montre la nécessité de ce secteur à être soutenu par une solide gouvernance qui sera en mesure de trouver des options technico-économiques, afin d’analyser la durabilité des systèmes d’élevage dans les pays de l’Afrique subsaharienne PRESIDENT DE JURY : M. DIOP Bernard Marcel, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odonto-Stomatologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. MISSOHOU Ayao, Pr à l’EISMV de Dakar. RAPPORTEUR : M. MISSOHOU Ayao, Pr titulaire à l’EISMV de Dakar. MEMBRE : M. ASSANE Moussa, Pr à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 20/10/2011 PAYS : France Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1714 Réservation
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TD11-24Adobe Acrobat PDFAnalyse des pratiques de l’élevage bovin autour du gisement minier de Sabodala dans la région de Kédougou (Sénégal) / Ahmadou Nouh Sow (2016)
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Titre : Analyse des pratiques de l’élevage bovin autour du gisement minier de Sabodala dans la région de Kédougou (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Ahmadou Nouh Sow, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2016 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2016 Mots-clés : METHODE D’ELEVAGE SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : A l’instar d’autres pays au Sud du Sahara, l’élevage au Sénégal est dominé par un système
extensif. Ce système d’élevage est confronté à de nombreuses difficultés qui impactent
négativement sur les revenus des éleveurs. Afin de mieux cerner les pratiques de cet
élevage et les éventuelles causes de la mortalité bovine déclarée, dans la région de
Kédougou, une étude a été menée dans la commune de Sabodala, plus précisément autour
du gisement minier de ladite commune. Cette étude a consisté à recueillir des données soit
à travers une revue bibliographique, soit par des entretiens auprès de 70 éleveurs de
bovins, et ce d’Avril à Octobre 2015.Ainsi, dans la zone enquêtée, l’élevage bovin est
mené par des hommes, âgés de plus de 50 ans (65,7% des cas), d’ethnies surtout Malinkés
(71,5%) et Peulhs (21,4%), instruits à 41,4%. Plusieurs catégories socioprofessionnelles
sont impliquées dans cette activité d’élevage, mais la majorité des éleveurs sont des agro
éleveurs (84,3%). Cet élevage est pratiqué pour des raisons socioéconomiques et 84,3%
des éleveurs utilisent un fonds propre pour démarrer les activités. Les bovins sont laissés
en divagation (87,1% des cas) sauf en saison des pluies pendant laquelle ils sont tous
parqués et conduits par des bergers. Les troupeaux bovins exploitent les parcours naturels,
situés en dehors du périmètre minier, et sont souvent dotés de forages pastoraux exploités
par 49,2% des enquêtés pour abreuver leur bétail. La vaccination des bovins est effective
à 100% grâce au soutien de la société minière sur place. Quant au déparasitage, 21,4%
éleveurs administrent des déparasitants internes et externes et seulement 7,8%
administrent des déparasitants antihémoparasites. Le traitement des animaux est assuré,
dans 92,9% des cas, par l’éleveur lui-même. L’élevage bovin, dans la zone de Sabodala,
est confronté à des contraintes diverses (81,4% des cas) liées aux pratiques d’élevage
(55,6%), l’alimentation (27,4%) et la santé (17,0%). L’analyse statistique n’a montré
aucun facteur de risque, parmi les indicateurs considérés (composantes de la conduite
d’élevage), pour expliquer les mortalités déclarées (p> 0,05), bien qu’il y ait une
différence significative entre le taux de mortalités des bovins en fonction des saisons
(p<0,05 avec p = 8,523.10-13) avec une mortalité plus élevée en saison sèche (87,7%).PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. KANE Yaghouba, Maître de Conférences agrégé à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. NDIAYE Amadou, Maître Assistant à l’UGB de Saint Louis CO-DIRECTEUR : M. OLICHON Sébastien, Agro-pastoraliste DATE DE SOUTENANCE : 21/05/2016 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1764 Analyse des pratiques de l’élevage bovin autour du gisement minier de Sabodala dans la région de Kédougou (Sénégal) [texte imprimé] / Ahmadou Nouh Sow, Auteur . - Dakar : EISMV, 2016 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2016 Mots-clés : METHODE D’ELEVAGE SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : A l’instar d’autres pays au Sud du Sahara, l’élevage au Sénégal est dominé par un système
extensif. Ce système d’élevage est confronté à de nombreuses difficultés qui impactent
négativement sur les revenus des éleveurs. Afin de mieux cerner les pratiques de cet
élevage et les éventuelles causes de la mortalité bovine déclarée, dans la région de
Kédougou, une étude a été menée dans la commune de Sabodala, plus précisément autour
du gisement minier de ladite commune. Cette étude a consisté à recueillir des données soit
à travers une revue bibliographique, soit par des entretiens auprès de 70 éleveurs de
bovins, et ce d’Avril à Octobre 2015.Ainsi, dans la zone enquêtée, l’élevage bovin est
mené par des hommes, âgés de plus de 50 ans (65,7% des cas), d’ethnies surtout Malinkés
(71,5%) et Peulhs (21,4%), instruits à 41,4%. Plusieurs catégories socioprofessionnelles
sont impliquées dans cette activité d’élevage, mais la majorité des éleveurs sont des agro
éleveurs (84,3%). Cet élevage est pratiqué pour des raisons socioéconomiques et 84,3%
des éleveurs utilisent un fonds propre pour démarrer les activités. Les bovins sont laissés
en divagation (87,1% des cas) sauf en saison des pluies pendant laquelle ils sont tous
parqués et conduits par des bergers. Les troupeaux bovins exploitent les parcours naturels,
situés en dehors du périmètre minier, et sont souvent dotés de forages pastoraux exploités
par 49,2% des enquêtés pour abreuver leur bétail. La vaccination des bovins est effective
à 100% grâce au soutien de la société minière sur place. Quant au déparasitage, 21,4%
éleveurs administrent des déparasitants internes et externes et seulement 7,8%
administrent des déparasitants antihémoparasites. Le traitement des animaux est assuré,
dans 92,9% des cas, par l’éleveur lui-même. L’élevage bovin, dans la zone de Sabodala,
est confronté à des contraintes diverses (81,4% des cas) liées aux pratiques d’élevage
(55,6%), l’alimentation (27,4%) et la santé (17,0%). L’analyse statistique n’a montré
aucun facteur de risque, parmi les indicateurs considérés (composantes de la conduite
d’élevage), pour expliquer les mortalités déclarées (p> 0,05), bien qu’il y ait une
différence significative entre le taux de mortalités des bovins en fonction des saisons
(p<0,05 avec p = 8,523.10-13) avec une mortalité plus élevée en saison sèche (87,7%).PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. KANE Yaghouba, Maître de Conférences agrégé à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. NDIAYE Amadou, Maître Assistant à l’UGB de Saint Louis CO-DIRECTEUR : M. OLICHON Sébastien, Agro-pastoraliste DATE DE SOUTENANCE : 21/05/2016 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1764 Réservation
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MEM16-17Adobe Acrobat PDFCaractérisation des systèmes d’élevage caprin dans la zone urbaine et périurbaine d’Abéché (Tchad) / Romain Daïba Ahmota (2016)
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Titre : Caractérisation des systèmes d’élevage caprin dans la zone urbaine et périurbaine d’Abéché (Tchad) Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Daïba Ahmota, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2016 Importance : 30 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2016 Mots-clés : CHEVRE CAPRIN METHODE D’ELEVAGE TCHAD Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Cette étude a pour but d’approfondir les connaissances sur les
systèmes d’élevage des caprins au Tchad. Une enquête a été
réalisée à cet effet dans la zone urbaine et périurbaine
d’Abéché de Janvier à Avril 2015. 133 éleveurs des caprins
ont été enquêtés. Les résultats montrent que l’élevage des
caprins est pratiqué par 82,71% des hommes âgés en
moyenne de 44,85±10,54 ans mariés (86,50%) et à 75,19%
analphabètes. 96,20% des producteurs pratiquent l’élevage
comme activité secondaire. Le troupeau est constitué
uniquement des caprins sahéliens (100%) et souvent associé à
d’autres animaux domestiques (77,44%). Le nombre de têtes
de chèvres par élevage varie de 10 à 40 pour 71,43% des
élevages. La conduite de l’élevage est axée sur la divagation
(54,14%), claustration (15,79%) et mixte (30,08%). Le
logement des caprins est inexistant dans la quasi-totalité des
élevages (93,98%), seulement 6,02% dorment dans les cases
traditionnelles. L’alimentation est basée sur l’exploitation du
pâturage naturel (56,39%), la paille séchée (30,59%) et les
résidus de récolte et les sous produits ménagers (9,02%), la
complémentation est pratiquée par 96,24% des éleveurs dont
87,22% utilisent le son de céréales, 41,35% des céréales,
23,21% de natron, 15,04% des tourteaux et 6,02% des résidus
ménagers. L’abreuvement des animaux est fait généralement
aux puits traditionnels (90,23%), et seulement 9,77% au
robinet ou forage de la Société Tchadienne des Eaux.
Il ressort également de ces enquêtes que l’âge moyen de la
1
ère mise-bas est de 1,36±0,20 an. La durée de lactation est de
4 mois avec une production moyenne de 0,74±0,31l/j de lait.
Les principales pathologies sont des affections pulmonaires et
des problèmes digestifs dus aux parasites respectivement pour
97,74 et 70,68% des cas de maladies. Les principales
contraintes telles qu’exprimées par 98,85%, 83,46%, 81,15%
des éleveurs sont le manque de formule alimentaire, le
manque de pâturage et de l’eau d’abreuvement, et des
mortalités des chevreaux respectivement. Le but de l’élevage
est pour 52,63% à la fois alimentaire et source de revenus et
45,86% uniquement source de revenus. La principale raison
de la vente est pour 84,96% des besoins financiers et 15,04%
de reformes. L’effectif moyen des animaux vendu par an et
par élevage est de 4 têtes au prix unitaire de 21 639,10±4 449
F CFA.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. MISSOHOU Ayao, Pr à l’EISMV de Dakar, M. YOUSSOUF Issa, Maitre assistant à l’INSTA au Tchad MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. TOGUEBAYE Bhen Sikina, Pr à la FST à l’UCAD /M. SOW Racine Samba, Chargé d’Enseignement à l’Université Gaston -Berger à Saint-Louis DATE DE SOUTENANCE : 25/01/2016 PAYS : TCHAD Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1636 Caractérisation des systèmes d’élevage caprin dans la zone urbaine et périurbaine d’Abéché (Tchad) [texte imprimé] / Romain Daïba Ahmota, Auteur . - Dakar : EISMV, 2016 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2016 Mots-clés : CHEVRE CAPRIN METHODE D’ELEVAGE TCHAD Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Cette étude a pour but d’approfondir les connaissances sur les
systèmes d’élevage des caprins au Tchad. Une enquête a été
réalisée à cet effet dans la zone urbaine et périurbaine
d’Abéché de Janvier à Avril 2015. 133 éleveurs des caprins
ont été enquêtés. Les résultats montrent que l’élevage des
caprins est pratiqué par 82,71% des hommes âgés en
moyenne de 44,85±10,54 ans mariés (86,50%) et à 75,19%
analphabètes. 96,20% des producteurs pratiquent l’élevage
comme activité secondaire. Le troupeau est constitué
uniquement des caprins sahéliens (100%) et souvent associé à
d’autres animaux domestiques (77,44%). Le nombre de têtes
de chèvres par élevage varie de 10 à 40 pour 71,43% des
élevages. La conduite de l’élevage est axée sur la divagation
(54,14%), claustration (15,79%) et mixte (30,08%). Le
logement des caprins est inexistant dans la quasi-totalité des
élevages (93,98%), seulement 6,02% dorment dans les cases
traditionnelles. L’alimentation est basée sur l’exploitation du
pâturage naturel (56,39%), la paille séchée (30,59%) et les
résidus de récolte et les sous produits ménagers (9,02%), la
complémentation est pratiquée par 96,24% des éleveurs dont
87,22% utilisent le son de céréales, 41,35% des céréales,
23,21% de natron, 15,04% des tourteaux et 6,02% des résidus
ménagers. L’abreuvement des animaux est fait généralement
aux puits traditionnels (90,23%), et seulement 9,77% au
robinet ou forage de la Société Tchadienne des Eaux.
Il ressort également de ces enquêtes que l’âge moyen de la
1
ère mise-bas est de 1,36±0,20 an. La durée de lactation est de
4 mois avec une production moyenne de 0,74±0,31l/j de lait.
Les principales pathologies sont des affections pulmonaires et
des problèmes digestifs dus aux parasites respectivement pour
97,74 et 70,68% des cas de maladies. Les principales
contraintes telles qu’exprimées par 98,85%, 83,46%, 81,15%
des éleveurs sont le manque de formule alimentaire, le
manque de pâturage et de l’eau d’abreuvement, et des
mortalités des chevreaux respectivement. Le but de l’élevage
est pour 52,63% à la fois alimentaire et source de revenus et
45,86% uniquement source de revenus. La principale raison
de la vente est pour 84,96% des besoins financiers et 15,04%
de reformes. L’effectif moyen des animaux vendu par an et
par élevage est de 4 têtes au prix unitaire de 21 639,10±4 449
F CFA.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. MISSOHOU Ayao, Pr à l’EISMV de Dakar, M. YOUSSOUF Issa, Maitre assistant à l’INSTA au Tchad MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. TOGUEBAYE Bhen Sikina, Pr à la FST à l’UCAD /M. SOW Racine Samba, Chargé d’Enseignement à l’Université Gaston -Berger à Saint-Louis DATE DE SOUTENANCE : 25/01/2016 PAYS : TCHAD Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1636 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M242 MEM16-1 Mémoire Bibliothèque (SID) Mémoires de Master Disponible Documents numériques
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MEM16-1Adobe Acrobat PDFCaractéristiques de l’élevage traditionnel caprin dans la préfecture de l’Ombella M’Poko (République Centrafricaine) / Patrick Ningata-Djita (2001)
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Titre : Caractéristiques de l’élevage traditionnel caprin dans la préfecture de l’Ombella M’Poko (République Centrafricaine) Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Ningata-Djita, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2001 Importance : 74 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2001 Mots-clés : CAPRIN METHODE D’ELEVAGE ELEVAGE TRADITIONNEL CENTRAFRIQUE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Cette étude est faite dans la préfecture de l'Ombella M'Poko ( République Centrafricaine ) pour mieux connaitre les risques de l'élevage caprin en milieu traditionnel une quete a lieu en janvier 2001 au niveau de 36 concessions suite a la quelle un suivi de quatre mois (12 janvier -15 mai 2001) a été éffectué dans ces meme concessions . De nos résultats , il ressort que l'élevage traditionnel caprin des pratiqué par des éleveurs qui sont en majorités des hommes (97,2%) .La taille du chapel est de 21,8 tétes et les techniques et les techniques d'élevages sont encore sommaires .On note un taux de prolificité de 156,88 % dans les première jours de leur vie .Les chevreaus présent 1,64kg , a trois mois d'age 7,12 kg soit un GMQ 80,33 = 10,04 g . L'améliotation de cette productivités peut se faire par une mise en place des actions au niveau du millieu de l'animal et de l'homme qui sont les trios facteurs de la production . PRESIDENT DE JURY : M. BADIANE Salif, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Odonto - Stomatologie de Dakar · DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. MISSOHOU Ayao, Maître Assistant à l'E.I.S.M.V. de Dakar RAPPORTEUR : M. LY Cheikh, Maître de Conférences agrégé à l'E.I.S.M.V. de Dakar MEMBRE : M. DIOP Papa El Hassane, Pr à l'E.I. S.M. V. de Dakar /M. ASSANE Moussa, Pr à l'E.I.S.M.V. de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 31/07/2001 PAYS : Centrafrique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1266 Caractéristiques de l’élevage traditionnel caprin dans la préfecture de l’Ombella M’Poko (République Centrafricaine) [texte imprimé] / Patrick Ningata-Djita, Auteur . - Dakar : EISMV, 2001 . - 74 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2001 Mots-clés : CAPRIN METHODE D’ELEVAGE ELEVAGE TRADITIONNEL CENTRAFRIQUE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Cette étude est faite dans la préfecture de l'Ombella M'Poko ( République Centrafricaine ) pour mieux connaitre les risques de l'élevage caprin en milieu traditionnel une quete a lieu en janvier 2001 au niveau de 36 concessions suite a la quelle un suivi de quatre mois (12 janvier -15 mai 2001) a été éffectué dans ces meme concessions . De nos résultats , il ressort que l'élevage traditionnel caprin des pratiqué par des éleveurs qui sont en majorités des hommes (97,2%) .La taille du chapel est de 21,8 tétes et les techniques et les techniques d'élevages sont encore sommaires .On note un taux de prolificité de 156,88 % dans les première jours de leur vie .Les chevreaus présent 1,64kg , a trois mois d'age 7,12 kg soit un GMQ 80,33 = 10,04 g . L'améliotation de cette productivités peut se faire par une mise en place des actions au niveau du millieu de l'animal et de l'homme qui sont les trios facteurs de la production . PRESIDENT DE JURY : M. BADIANE Salif, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Odonto - Stomatologie de Dakar · DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. MISSOHOU Ayao, Maître Assistant à l'E.I.S.M.V. de Dakar RAPPORTEUR : M. LY Cheikh, Maître de Conférences agrégé à l'E.I.S.M.V. de Dakar MEMBRE : M. DIOP Papa El Hassane, Pr à l'E.I. S.M. V. de Dakar /M. ASSANE Moussa, Pr à l'E.I.S.M.V. de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 31/07/2001 PAYS : Centrafrique Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1266 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T753 TD01-15 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
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TD01-15Adobe Acrobat PDFCaractéristiques technico- économiques de l’élevage de la pintade Galor en milieu paysan : cas des départements de Tibiri et Birni N’gaouré (Niger) / Mohamed Yacouba Omar Albachir (2016)
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Titre : Caractéristiques technico- économiques de l’élevage de la pintade Galor en milieu paysan : cas des départements de Tibiri et Birni N’gaouré (Niger) Type de document : texte imprimé Auteurs : Mohamed Yacouba Omar Albachir, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2016 Importance : 30 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2016 Mots-clés : PINTADE PINTADE GALOR METHODE D’ELEVAGE ELEVAGE TRADITIONNEL NIGER Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Dans le but d’augmenter le revenu et d’améliorer les conditions nutritionnelles des
ménages vulnérables, l’Etat du Niger à travers le PA/PSSA II, a introduit des pintades
Galor en milieu paysan notamment dans les départements de Tibiri et Birni N’gaouré
(Région de Dosso).
Cette étude, conduite sous forme d’enquête exploratoire et ponctuelle au niveau des
30 bénéficiaires, a consisté à analyser les caractéristiques technique et économique
des élevages de la pintade Galor en milieu paysan.
De manière générale, ces élevages ont révélé une faible performance de reproduction
et de taux de mortalité et de morbidité élevées. Ces faibles performances sont
consécutives au non-respect des recommandations du projet par les éleveurs en
matière d’habitat, de conduite sanitaire et d’alimentation.
La faible performance de reproduction se traduit par un faible taux d’éclosion qui est
23,93%, un poids moyen de l’œuf de 40,09±4,81g et un âge d’entrée en ponte de
6,96±0,2 mois.
Le taux de mortalité atteint 85,99% chez les pintadeaux et 34,3% chez les adultes.
Les causes de mortalités liées à la maladie ont occupé la plus grande proportion soit
62,5% suivi de la prédation pour 22,5%.
La commercialisation des produits se fait au niveau des exploitations. Malgré des prix
de vente élevés qui varient en moyenne de 4000 à 9500 F CFA pour la pintade adulte
et de 200 à 240 F CFA pour l’œuf, l’élevage de la pintade Galor dans ces deux
localités du Niger, n’a pas été économiquement rentable pour les bénéficiaires.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. ASSANE Moussa, Pr à l’EISMV de Dakar, Dr BOUBACAR Soumana, Enseignant chercheur à la FA(UAM) de Niamey MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. N’DIAYE Amadou, Maître Assistant (Ph D) à l’UGB de Saint Louis DATE DE SOUTENANCE : 10/02/2016 PAYS : NIGER Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1638 Caractéristiques technico- économiques de l’élevage de la pintade Galor en milieu paysan : cas des départements de Tibiri et Birni N’gaouré (Niger) [texte imprimé] / Mohamed Yacouba Omar Albachir, Auteur . - Dakar : EISMV, 2016 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2016 Mots-clés : PINTADE PINTADE GALOR METHODE D’ELEVAGE ELEVAGE TRADITIONNEL NIGER Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Dans le but d’augmenter le revenu et d’améliorer les conditions nutritionnelles des
ménages vulnérables, l’Etat du Niger à travers le PA/PSSA II, a introduit des pintades
Galor en milieu paysan notamment dans les départements de Tibiri et Birni N’gaouré
(Région de Dosso).
Cette étude, conduite sous forme d’enquête exploratoire et ponctuelle au niveau des
30 bénéficiaires, a consisté à analyser les caractéristiques technique et économique
des élevages de la pintade Galor en milieu paysan.
De manière générale, ces élevages ont révélé une faible performance de reproduction
et de taux de mortalité et de morbidité élevées. Ces faibles performances sont
consécutives au non-respect des recommandations du projet par les éleveurs en
matière d’habitat, de conduite sanitaire et d’alimentation.
La faible performance de reproduction se traduit par un faible taux d’éclosion qui est
23,93%, un poids moyen de l’œuf de 40,09±4,81g et un âge d’entrée en ponte de
6,96±0,2 mois.
Le taux de mortalité atteint 85,99% chez les pintadeaux et 34,3% chez les adultes.
Les causes de mortalités liées à la maladie ont occupé la plus grande proportion soit
62,5% suivi de la prédation pour 22,5%.
La commercialisation des produits se fait au niveau des exploitations. Malgré des prix
de vente élevés qui varient en moyenne de 4000 à 9500 F CFA pour la pintade adulte
et de 200 à 240 F CFA pour l’œuf, l’élevage de la pintade Galor dans ces deux
localités du Niger, n’a pas été économiquement rentable pour les bénéficiaires.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. ASSANE Moussa, Pr à l’EISMV de Dakar, Dr BOUBACAR Soumana, Enseignant chercheur à la FA(UAM) de Niamey MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. N’DIAYE Amadou, Maître Assistant (Ph D) à l’UGB de Saint Louis DATE DE SOUTENANCE : 10/02/2016 PAYS : NIGER Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1638 Réservation
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MEM16-3Adobe Acrobat PDFContribution à l’étude des contraintes à la production laitière de la vache zébu Azawak en milieu réel / Abdoul Aziz Abdourahmane (1997)
PermalinkContribution à l’évaluation du programme spécial sécurité alimentaire (PSSA) de la FAO / Kane Souliyatou Illa (2005)
PermalinkContribution au suivi et à l'évaluation du Programme Spécial pour la sécurité Alimentaire de la F.A.O. / Ahou Catherine Kramo (2000)
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PermalinkPermalinkEtat des lieux des pratiques d’élevage de l’âne au Sénégal, pathologies fréquentes et méthodes de lutte / Omar Ngalla Diouf (2017)
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