Titre : |
Insémination artificielle bovine basée sur la détection des chaleurs naturelles par les éleveurs dans les régions de Fatick, Kaolack et Louga |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gilles Landry HAKOU TCHAMNDA, Auteur |
Editeur : |
Dakar : EISMV |
Année de publication : |
2006 |
Importance : |
152 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2006
|
Mots-clés : |
REPRODUCTION INSEMINATION ARTIFICIELLE BOVIN OESTRUS DETECTION PHYSIOLOGIE DE LA REPRODUCTION SENEGAL |
Index. décimale : |
TD-THESE DE DOCTORAT |
Résumé : |
Au Sénégal, depuis quelques années, un vaste programme d’IA bovine a été lancé dans la perspective d’une amélioration de la production laitière locale. Depuis toujours, cette stratégie a été basée sur une IA sur chaleurs induites par les hormones, avec comme acteur l’inséminateur. En plus du coût de cette stratégie, la non implication des éleveurs a limité lesuccès des opérations. C’est dans ce contexte, qu’il a été envisagé de mettre au point une nouvelle stratégie d’IA sur chaleurs naturelles, impliquant davantage les éleveurs (détection des chaleurs, conduite des animaux). L’étude menée dans les régions de Fatick, Kaolack et Louga, a porté sur un effectif de 215 vaches locales et métisses inséminées avec de la semence importée, dont 108 sur chaleurs induites par les hormones et 107 sur chaleurs naturelles détectées par les éleveurs. En une seule insémination, 37,11% de taux de gestation ont été obtenus sur chaleurs induites et 35,82 % sur chaleurs naturelles (avec quelques cas de reprises). Ces résultats confirment la possibilité de réussir une IA en milieu rural, sur chaleurs naturelles détectées par les éleveurs, dans les mêmes proportions que sur chaleurs induites. Les difficultés rencontrées quant à la détection des chaleurs par les éleveurs, de même que le non respect scrupuleux des conditions de la stabulation des animaux lié au déficit alimentaire, et l’insuffisance de la collaboration éleveur-inséminateur, ont été les principaux facteurs limitants de l’efficience de cette nouvelle stratégie d’IA. |
PRESIDENT DE JURY : |
Monsieur BADIANE Mamadou |
DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : |
Monsieur ASSANE Moussa |
RAPPORTEUR : |
Monsieur ASSANE Moussa |
MEMBRE : |
Monsieur SAWADOGO Germain Jérôme /Monsieur MISSOHOU Ayao |
DATE DE SOUTENANCE : |
21/07/2006 |
PAYS : |
Cameroun |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=1470 |
Insémination artificielle bovine basée sur la détection des chaleurs naturelles par les éleveurs dans les régions de Fatick, Kaolack et Louga [texte imprimé] / Gilles Landry HAKOU TCHAMNDA, Auteur . - Dakar : EISMV, 2006 . - 152 p. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2006
|
Mots-clés : |
REPRODUCTION INSEMINATION ARTIFICIELLE BOVIN OESTRUS DETECTION PHYSIOLOGIE DE LA REPRODUCTION SENEGAL |
Index. décimale : |
TD-THESE DE DOCTORAT |
Résumé : |
Au Sénégal, depuis quelques années, un vaste programme d’IA bovine a été lancé dans la perspective d’une amélioration de la production laitière locale. Depuis toujours, cette stratégie a été basée sur une IA sur chaleurs induites par les hormones, avec comme acteur l’inséminateur. En plus du coût de cette stratégie, la non implication des éleveurs a limité lesuccès des opérations. C’est dans ce contexte, qu’il a été envisagé de mettre au point une nouvelle stratégie d’IA sur chaleurs naturelles, impliquant davantage les éleveurs (détection des chaleurs, conduite des animaux). L’étude menée dans les régions de Fatick, Kaolack et Louga, a porté sur un effectif de 215 vaches locales et métisses inséminées avec de la semence importée, dont 108 sur chaleurs induites par les hormones et 107 sur chaleurs naturelles détectées par les éleveurs. En une seule insémination, 37,11% de taux de gestation ont été obtenus sur chaleurs induites et 35,82 % sur chaleurs naturelles (avec quelques cas de reprises). Ces résultats confirment la possibilité de réussir une IA en milieu rural, sur chaleurs naturelles détectées par les éleveurs, dans les mêmes proportions que sur chaleurs induites. Les difficultés rencontrées quant à la détection des chaleurs par les éleveurs, de même que le non respect scrupuleux des conditions de la stabulation des animaux lié au déficit alimentaire, et l’insuffisance de la collaboration éleveur-inséminateur, ont été les principaux facteurs limitants de l’efficience de cette nouvelle stratégie d’IA. |
PRESIDENT DE JURY : |
Monsieur BADIANE Mamadou |
DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : |
Monsieur ASSANE Moussa |
RAPPORTEUR : |
Monsieur ASSANE Moussa |
MEMBRE : |
Monsieur SAWADOGO Germain Jérôme /Monsieur MISSOHOU Ayao |
DATE DE SOUTENANCE : |
21/07/2006 |
PAYS : |
Cameroun |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=1470 |
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