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Détection du beta hydroxybutyrate (BHB), de l’urée et du taux cellulaire dans le lait des vaches laitières de la région de Saint-Louis (Sénégal) / Aissatou Coulibaly (2019)
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Titre : Détection du beta hydroxybutyrate (BHB), de l’urée et du taux cellulaire dans le lait des vaches laitières de la région de Saint-Louis (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Aissatou Coulibaly, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : DETECTION BETA HYDROXYBUTYRATE (BHB) UREE LAIT VACHE LAITIERE VACHE SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La production laitière est toujours inférieure à la demande au
Sénégal en raison de plusieurs facteurs dont l’alimentation et les
maladies parmi lesquels les maladies métaboliques et les mammites
sub-cliniques.
Face à ce déficit en lait et produits dérivés, l’une des options
envisagée, pour augmenter cette production, est d’améliorer
l’alimentation des vaches laitières afin d’éviter l’impact néfaste de
ces maladies.
L’objectif général de cette étude est de détecter la concentration de
corps cétoniques et de l’urée ainsi que des taux cellulaires dans le
lait des vaches au sénégal .
Notre étude a porté sur 50 vaches laitières dont 10 Holsteins, 22
Montbéliardes, 08 Normandes, 04 Brunes des Alpes et les 06 autres
sont des métisses. Elle s’est déroulée du 20 Septembre au 05
Octobre 2017 dans différentes fermes de la région de Saint Louis.
Les concentrations en urée dans le lait ont varié entre 0,11 et 0,36
g /l dans la ferme C ,0,24 et 0,36 g/l dans la ferme E,0,11 et 0,36 g/l
dans la ferme F, 0,11 et 0,36 g/l dans la ferme B et 0,11 et 0,24g/l
dans la ferme A. Dix pour cents (%) des vaches ont une
concentration d’urée supérieure à la norme contrairement aux 90%
qui ont une concentration d’urée inférieure à la norme.
La concentration de corps cétoniques (BHB) dans le lait a varié
entre 0 et 200 µmol/l dans la ferme C, 0 et 100 µmol/l dans les
fermes F et A. La concentration en corps cétoniques n’a pas varié
(100 µmol/l) dans les fermes E et B. Au total 80 % des vaches
présentent des traces de corps cétoniques dans le lait et 18 % ne
présentent pas de corps cétoniques dans le lait contrairement à 2%
des vaches qui présentent des corps cétoniques dans leur lait. Seule
une race Holstein présente des traces de corps cétoniques dans le
lait. Par ailleurs, les vaches dont la concentration d’urée est
inférieure à la normale ne présentent pas de corps cétoniques dans
leur lait et les vaches dont la concentration d’urée est supérieure à
la norme ont aussi quatre vaches qui présentent des traces de corps
cétoniques et une seule vache présente des corps cétoniques dans
le lait avec une différence statistiquement significative. La
détection des mammites sub-cliniques avec le test de CMT a
donné, en moyenne, des pourcentages de 14,29% à 71,43%. La
ferme D est la plus affectée par les mammites sub-cliniques par
rapport aux autres fermes. La race Montbéliarde est la plus sensible
aux mammites par rapport aux autres races. La Note d’Etat
Corporel moyenne a été est de 2,75 à 3,73. Les vaches qui ont une
note d’état corporel trop bas ont une concentration d’urée
supérieure à la norme avec une différence significative. La quantité
de lait moyenne produite par jour est 7 ,84 ; 8,99 ; 8 ; 6,99 ; 9,9 et
3,33 Litres respectivement dans les fermes B, A, E, D, C.
En définitive, bien que la note d’Etat Corporel soit dans la normale
ou en dessous, la quantité de lait produite par ces vaches est
toujours très faible.
Il serait judicieux de poursuivre cette étude afin de cerner tous les
facteurs nutritionnels et environnementaux favorisant l’apparition
des maladies métaboliques et la baisse de la production laitière des
vaches hautes productives de lait dans la région de Saint-Louis.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. KANE Yaghouba, Maître de Conférences agrégé à l’EISMV de Dakar RAPPORTEUR : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EIMSV de Dakar (Sénégal)/M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. ASSANE Moussa, Pr à l’EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : Dr DIEYE Abdoulaye DATE DE SOUTENANCE : 28/03/2019 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2812 Détection du beta hydroxybutyrate (BHB), de l’urée et du taux cellulaire dans le lait des vaches laitières de la région de Saint-Louis (Sénégal) [texte imprimé] / Aissatou Coulibaly, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : DETECTION BETA HYDROXYBUTYRATE (BHB) UREE LAIT VACHE LAITIERE VACHE SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La production laitière est toujours inférieure à la demande au
Sénégal en raison de plusieurs facteurs dont l’alimentation et les
maladies parmi lesquels les maladies métaboliques et les mammites
sub-cliniques.
Face à ce déficit en lait et produits dérivés, l’une des options
envisagée, pour augmenter cette production, est d’améliorer
l’alimentation des vaches laitières afin d’éviter l’impact néfaste de
ces maladies.
L’objectif général de cette étude est de détecter la concentration de
corps cétoniques et de l’urée ainsi que des taux cellulaires dans le
lait des vaches au sénégal .
Notre étude a porté sur 50 vaches laitières dont 10 Holsteins, 22
Montbéliardes, 08 Normandes, 04 Brunes des Alpes et les 06 autres
sont des métisses. Elle s’est déroulée du 20 Septembre au 05
Octobre 2017 dans différentes fermes de la région de Saint Louis.
Les concentrations en urée dans le lait ont varié entre 0,11 et 0,36
g /l dans la ferme C ,0,24 et 0,36 g/l dans la ferme E,0,11 et 0,36 g/l
dans la ferme F, 0,11 et 0,36 g/l dans la ferme B et 0,11 et 0,24g/l
dans la ferme A. Dix pour cents (%) des vaches ont une
concentration d’urée supérieure à la norme contrairement aux 90%
qui ont une concentration d’urée inférieure à la norme.
La concentration de corps cétoniques (BHB) dans le lait a varié
entre 0 et 200 µmol/l dans la ferme C, 0 et 100 µmol/l dans les
fermes F et A. La concentration en corps cétoniques n’a pas varié
(100 µmol/l) dans les fermes E et B. Au total 80 % des vaches
présentent des traces de corps cétoniques dans le lait et 18 % ne
présentent pas de corps cétoniques dans le lait contrairement à 2%
des vaches qui présentent des corps cétoniques dans leur lait. Seule
une race Holstein présente des traces de corps cétoniques dans le
lait. Par ailleurs, les vaches dont la concentration d’urée est
inférieure à la normale ne présentent pas de corps cétoniques dans
leur lait et les vaches dont la concentration d’urée est supérieure à
la norme ont aussi quatre vaches qui présentent des traces de corps
cétoniques et une seule vache présente des corps cétoniques dans
le lait avec une différence statistiquement significative. La
détection des mammites sub-cliniques avec le test de CMT a
donné, en moyenne, des pourcentages de 14,29% à 71,43%. La
ferme D est la plus affectée par les mammites sub-cliniques par
rapport aux autres fermes. La race Montbéliarde est la plus sensible
aux mammites par rapport aux autres races. La Note d’Etat
Corporel moyenne a été est de 2,75 à 3,73. Les vaches qui ont une
note d’état corporel trop bas ont une concentration d’urée
supérieure à la norme avec une différence significative. La quantité
de lait moyenne produite par jour est 7 ,84 ; 8,99 ; 8 ; 6,99 ; 9,9 et
3,33 Litres respectivement dans les fermes B, A, E, D, C.
En définitive, bien que la note d’Etat Corporel soit dans la normale
ou en dessous, la quantité de lait produite par ces vaches est
toujours très faible.
Il serait judicieux de poursuivre cette étude afin de cerner tous les
facteurs nutritionnels et environnementaux favorisant l’apparition
des maladies métaboliques et la baisse de la production laitière des
vaches hautes productives de lait dans la région de Saint-Louis.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. KANE Yaghouba, Maître de Conférences agrégé à l’EISMV de Dakar RAPPORTEUR : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EIMSV de Dakar (Sénégal)/M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. ASSANE Moussa, Pr à l’EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : Dr DIEYE Abdoulaye DATE DE SOUTENANCE : 28/03/2019 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2812 Réservation
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MEM19-5Adobe Acrobat PDFEvaluation de l’efficacité du Kamarr dans la détection des chaleurs naturelles des vaches laitières dans les petits élevages de la région de Kaolack (Sénégal) / Kadjanna Zé Albert Traoré (2015)
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Titre : Evaluation de l’efficacité du Kamarr dans la détection des chaleurs naturelles des vaches laitières dans les petits élevages de la région de Kaolack (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Kadjanna Zé Albert Traoré, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2015 Importance : 61 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2015 Mots-clés : REPRODUCTION INSEMINATION ARTIFICIELLE BOVIN OESTRUS DETECTION PHYSIOLOGIE DE LA REPRODUCTION KAMARr SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Au Sénégal, la production laitière peine toujours à couvrir les besoins de la consommation locale. Cela rend nécessaire l’amélioration génétique du cheptel autochtone par le biais de la biotechnologie de l’insémination artificielle. Malheureusement, les résultats enregistrés par différents programmes d’insémination artificielle au Sénégal montrent une faiblesse des taux de réussite. L’une des principales raisons de la difficulté de l’IA est la détection préalable des chaleurs naturelles. C’est pourquoi ce travail expérimental, qui s’est déroulé sur 7 mois, consistait à estimer l’efficacité technique de l’utilisation du Kamar® pour la détection des chaleurs naturelles des vaches laitières au sein des petits élevages de la région de Kaolack (Sénégal). Dans cette optique, sur des critères bien définis 34 Vaches laitières ont été sélectionnés et réparties dans deux lots (un témoin et un expérimental). Les données récoltées par l’entremise des éleveurs sont issues à la fois d’un questionnaire élaboré grâce au logiciel EPI data3.1 et des fiches d’exploitation. Toutes ces données ont fait l’objet d’analyse en utilisant le logiciel Rcmdr3.1.0. Ainsi, il ressort que l’utilisation du Kamar® (lot expérimental) permet de détecter 41,66% des chaleurs naturelles contre 27,27% de chaleurs naturelles détectées par observation visuelles (lot témoin). Dans le lot expérimental, le taux de réussite de l’IA sur CN était de 40% contre 20% dans le lot témoin. Au cours de notre étude le coût associé à notre technique d’IA sur chaleurs naturelles pour une vache appartenant au lot témoin était 76 466 FCFA et le coût pour une vache du lot expérimental était de 81 365 FCFA. Sans montrer une différence significative dans le taux de détection des chaleurs avec le lot témoin, l’utilisation du Kamar® engendre un coût supplémentaire de 23FCFA de plus par vache et par jour. Mais avec le Kamar®, on a obtenu un taux de réussite de l’IA sur chaleurs naturelles 2 fois meilleur. L’utilisation du Kamar®, pour être à son maximum, nécessite des conditions d’accompagnement tel qu’une bonne ration alimentaire, la stabulation des animaux, un suivi sanitaire des élevages et une maitrise de la technique de détection des chaleurs naturelles par les éleveurs. C’est ainsi que pour une meilleure performance de cette technique une approche participative des acteurs de l’élevage et un renforcement de leur capacité doit être envisagé. Ce n’est que par cela, que l’on obtiendra de meilleurs résultats et par voie de conséquence une amélioration de la productivité et de la compétitivité de la filière laitière au Sénégal. PRESIDENT DE JURY : M. CISSE Moussa Fafa, Pr à la Faculté de Médecine Pharmacie-OdontoStomatologie Dakar-Sénégal DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar- Sénégal RAPPORTEUR : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar- Sénégal MEMBRE : M. Yalacé Yamba KABORET Professeur à l’E.I.S.M.V de Dakar- Sénégal CO-DIRECTEUR : M. SOW Adama, Maître Assistant à l’E.I.S.M.V de Dakar-Sénégal DATE DE SOUTENANCE : 10/05/2015 PAYS : BURKINA FASO Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1850 Evaluation de l’efficacité du Kamarr dans la détection des chaleurs naturelles des vaches laitières dans les petits élevages de la région de Kaolack (Sénégal) [texte imprimé] / Kadjanna Zé Albert Traoré, Auteur . - Dakar : EISMV, 2015 . - 61 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2015 Mots-clés : REPRODUCTION INSEMINATION ARTIFICIELLE BOVIN OESTRUS DETECTION PHYSIOLOGIE DE LA REPRODUCTION KAMARr SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Au Sénégal, la production laitière peine toujours à couvrir les besoins de la consommation locale. Cela rend nécessaire l’amélioration génétique du cheptel autochtone par le biais de la biotechnologie de l’insémination artificielle. Malheureusement, les résultats enregistrés par différents programmes d’insémination artificielle au Sénégal montrent une faiblesse des taux de réussite. L’une des principales raisons de la difficulté de l’IA est la détection préalable des chaleurs naturelles. C’est pourquoi ce travail expérimental, qui s’est déroulé sur 7 mois, consistait à estimer l’efficacité technique de l’utilisation du Kamar® pour la détection des chaleurs naturelles des vaches laitières au sein des petits élevages de la région de Kaolack (Sénégal). Dans cette optique, sur des critères bien définis 34 Vaches laitières ont été sélectionnés et réparties dans deux lots (un témoin et un expérimental). Les données récoltées par l’entremise des éleveurs sont issues à la fois d’un questionnaire élaboré grâce au logiciel EPI data3.1 et des fiches d’exploitation. Toutes ces données ont fait l’objet d’analyse en utilisant le logiciel Rcmdr3.1.0. Ainsi, il ressort que l’utilisation du Kamar® (lot expérimental) permet de détecter 41,66% des chaleurs naturelles contre 27,27% de chaleurs naturelles détectées par observation visuelles (lot témoin). Dans le lot expérimental, le taux de réussite de l’IA sur CN était de 40% contre 20% dans le lot témoin. Au cours de notre étude le coût associé à notre technique d’IA sur chaleurs naturelles pour une vache appartenant au lot témoin était 76 466 FCFA et le coût pour une vache du lot expérimental était de 81 365 FCFA. Sans montrer une différence significative dans le taux de détection des chaleurs avec le lot témoin, l’utilisation du Kamar® engendre un coût supplémentaire de 23FCFA de plus par vache et par jour. Mais avec le Kamar®, on a obtenu un taux de réussite de l’IA sur chaleurs naturelles 2 fois meilleur. L’utilisation du Kamar®, pour être à son maximum, nécessite des conditions d’accompagnement tel qu’une bonne ration alimentaire, la stabulation des animaux, un suivi sanitaire des élevages et une maitrise de la technique de détection des chaleurs naturelles par les éleveurs. C’est ainsi que pour une meilleure performance de cette technique une approche participative des acteurs de l’élevage et un renforcement de leur capacité doit être envisagé. Ce n’est que par cela, que l’on obtiendra de meilleurs résultats et par voie de conséquence une amélioration de la productivité et de la compétitivité de la filière laitière au Sénégal. PRESIDENT DE JURY : M. CISSE Moussa Fafa, Pr à la Faculté de Médecine Pharmacie-OdontoStomatologie Dakar-Sénégal DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar- Sénégal RAPPORTEUR : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar- Sénégal MEMBRE : M. Yalacé Yamba KABORET Professeur à l’E.I.S.M.V de Dakar- Sénégal CO-DIRECTEUR : M. SOW Adama, Maître Assistant à l’E.I.S.M.V de Dakar-Sénégal DATE DE SOUTENANCE : 10/05/2015 PAYS : BURKINA FASO Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1850 Réservation
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TD15-4Adobe Acrobat PDFInsémination artificielle bovine basée sur la détection des chaleurs naturelles par les éleveurs dans les régions de Fatick, Kaolack et Louga / Gilles Landry HAKOU TCHAMNDA (2006)
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Titre : Insémination artificielle bovine basée sur la détection des chaleurs naturelles par les éleveurs dans les régions de Fatick, Kaolack et Louga Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Landry HAKOU TCHAMNDA, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2006 Importance : 152 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2006 Mots-clés : REPRODUCTION INSEMINATION ARTIFICIELLE BOVIN OESTRUS DETECTION PHYSIOLOGIE DE LA REPRODUCTION SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Au Sénégal, depuis quelques années, un vaste programme d’IA bovine a été lancé dans la perspective d’une amélioration de la production laitière locale. Depuis toujours, cette stratégie a été basée sur une IA sur chaleurs induites par les hormones, avec comme acteur l’inséminateur. En plus du coût de cette stratégie, la non implication des éleveurs a limité lesuccès des opérations. C’est dans ce contexte, qu’il a été envisagé de mettre au point une nouvelle stratégie d’IA sur chaleurs naturelles, impliquant davantage les éleveurs (détection des chaleurs, conduite des animaux). L’étude menée dans les régions de Fatick, Kaolack et Louga, a porté sur un effectif de 215 vaches locales et métisses inséminées avec de la semence importée, dont 108 sur chaleurs induites par les hormones et 107 sur chaleurs naturelles détectées par les éleveurs. En une seule insémination, 37,11% de taux de gestation ont été obtenus sur chaleurs induites et 35,82 % sur chaleurs naturelles (avec quelques cas de reprises). Ces résultats confirment la possibilité de réussir une IA en milieu rural, sur chaleurs naturelles détectées par les éleveurs, dans les mêmes proportions que sur chaleurs induites. Les difficultés rencontrées quant à la détection des chaleurs par les éleveurs, de même que le non respect scrupuleux des conditions de la stabulation des animaux lié au déficit alimentaire, et l’insuffisance de la collaboration éleveur-inséminateur, ont été les principaux facteurs limitants de l’efficience de cette nouvelle stratégie d’IA. PRESIDENT DE JURY : M. BADIANE Mamadou Keith, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Odonto-stomatologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. ASSANE Moussa, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar. RAPPORTEUR : M. ASSANE Moussa, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar. MEMBRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar /M. MISSOHOU Ayao, Pr à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 21/07/2006 PAYS : Cameroun Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1470 Insémination artificielle bovine basée sur la détection des chaleurs naturelles par les éleveurs dans les régions de Fatick, Kaolack et Louga [texte imprimé] / Gilles Landry HAKOU TCHAMNDA, Auteur . - Dakar : EISMV, 2006 . - 152 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2006 Mots-clés : REPRODUCTION INSEMINATION ARTIFICIELLE BOVIN OESTRUS DETECTION PHYSIOLOGIE DE LA REPRODUCTION SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Au Sénégal, depuis quelques années, un vaste programme d’IA bovine a été lancé dans la perspective d’une amélioration de la production laitière locale. Depuis toujours, cette stratégie a été basée sur une IA sur chaleurs induites par les hormones, avec comme acteur l’inséminateur. En plus du coût de cette stratégie, la non implication des éleveurs a limité lesuccès des opérations. C’est dans ce contexte, qu’il a été envisagé de mettre au point une nouvelle stratégie d’IA sur chaleurs naturelles, impliquant davantage les éleveurs (détection des chaleurs, conduite des animaux). L’étude menée dans les régions de Fatick, Kaolack et Louga, a porté sur un effectif de 215 vaches locales et métisses inséminées avec de la semence importée, dont 108 sur chaleurs induites par les hormones et 107 sur chaleurs naturelles détectées par les éleveurs. En une seule insémination, 37,11% de taux de gestation ont été obtenus sur chaleurs induites et 35,82 % sur chaleurs naturelles (avec quelques cas de reprises). Ces résultats confirment la possibilité de réussir une IA en milieu rural, sur chaleurs naturelles détectées par les éleveurs, dans les mêmes proportions que sur chaleurs induites. Les difficultés rencontrées quant à la détection des chaleurs par les éleveurs, de même que le non respect scrupuleux des conditions de la stabulation des animaux lié au déficit alimentaire, et l’insuffisance de la collaboration éleveur-inséminateur, ont été les principaux facteurs limitants de l’efficience de cette nouvelle stratégie d’IA. PRESIDENT DE JURY : M. BADIANE Mamadou Keith, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Odonto-stomatologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. ASSANE Moussa, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar. RAPPORTEUR : M. ASSANE Moussa, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar. MEMBRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar /M. MISSOHOU Ayao, Pr à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 21/07/2006 PAYS : Cameroun Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1470 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T916 TD06-29 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
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TD06-29Adobe Acrobat PDFOptimisation de l’Insémination Artificielle Bovine sur Chaleurs Naturelles dans les Petits Elevages de Kaolack au Sénégal, par l’utilisation de deux Techniques de détection de chaleurs / Zounongo Marcelin Zabre (2016)
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Titre : Optimisation de l’Insémination Artificielle Bovine sur Chaleurs Naturelles dans les Petits Elevages de Kaolack au Sénégal, par l’utilisation de deux Techniques de détection de chaleurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Zounongo Marcelin Zabre, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2016 Importance : 30 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2016 Mots-clés : INSEMINATION ARTIFICIELLE BOVIN PHYSIOLOGIE DE LA REPRODUCTION DETECTION OEUSTRUS REPRODUCTION SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’étude s’est déroulée en saison sèche (Novembre 2013-Mai 2014) dans la
région de Kaolack (Bassin arachidier) au Sénégal. L’échantillon d'étude était
composé de 102 vaches. L’analyse des résultats nous a permis d'enregistrer 24%
de vaches métisses avec une prédominance de la race Guzerat (48%). L’âge
moyen des vaches sélectionnées était de 7,14±2,14 ans. En fonction des
différentes techniques d'observation de chaleurs naturelles utilisées, notre étude
confirme que l'observation visuelle directe reste la technique la plus efficace
chez les vaches (100%,) contrairement à l’observation indirecte avec le ‘Kamar’.
Elle nous a révélé aussi que le taux de réussite observé est de 36,36% en
première Insémination Artificielle, et la durée moyenne de l'intervalle dernier
vêlage-premier retour en chaleurs est de 99,33 jours. En vue d'améliorer
considérablement ces résultats, le respect scrupuleux de la stabulation libre des
animaux sélectionnés doit être renforcé.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. R. KAMGA - WALADJO Alain, Pr à L’EISMV de Dakar/M. SOW Adama, Maître -Assistant à l’EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : Dr Moctar Mouiche. M Moliom , Assistant à l’ESMV, Cameroun/Dr SOW Adama, Maître -Assistant à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 01/07/2016 PAYS : Burkina Faso Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1921 Optimisation de l’Insémination Artificielle Bovine sur Chaleurs Naturelles dans les Petits Elevages de Kaolack au Sénégal, par l’utilisation de deux Techniques de détection de chaleurs [texte imprimé] / Zounongo Marcelin Zabre, Auteur . - Dakar : EISMV, 2016 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2016 Mots-clés : INSEMINATION ARTIFICIELLE BOVIN PHYSIOLOGIE DE LA REPRODUCTION DETECTION OEUSTRUS REPRODUCTION SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’étude s’est déroulée en saison sèche (Novembre 2013-Mai 2014) dans la
région de Kaolack (Bassin arachidier) au Sénégal. L’échantillon d'étude était
composé de 102 vaches. L’analyse des résultats nous a permis d'enregistrer 24%
de vaches métisses avec une prédominance de la race Guzerat (48%). L’âge
moyen des vaches sélectionnées était de 7,14±2,14 ans. En fonction des
différentes techniques d'observation de chaleurs naturelles utilisées, notre étude
confirme que l'observation visuelle directe reste la technique la plus efficace
chez les vaches (100%,) contrairement à l’observation indirecte avec le ‘Kamar’.
Elle nous a révélé aussi que le taux de réussite observé est de 36,36% en
première Insémination Artificielle, et la durée moyenne de l'intervalle dernier
vêlage-premier retour en chaleurs est de 99,33 jours. En vue d'améliorer
considérablement ces résultats, le respect scrupuleux de la stabulation libre des
animaux sélectionnés doit être renforcé.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. R. KAMGA - WALADJO Alain, Pr à L’EISMV de Dakar/M. SOW Adama, Maître -Assistant à l’EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : Dr Moctar Mouiche. M Moliom , Assistant à l’ESMV, Cameroun/Dr SOW Adama, Maître -Assistant à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 01/07/2016 PAYS : Burkina Faso Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1921 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M267 MEM16-26 Mémoire Bibliothèque (SID) Mémoires de Master Disponible Documents numériques
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MEM16-26Adobe Acrobat PDFInsémination artificielle sur chaleurs naturelles dans la région de Kolda au Sénégal en saison chaude / Abdou Khoudoss Diop (2015)
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Titre : Insémination artificielle sur chaleurs naturelles dans la région de Kolda au Sénégal en saison chaude : cas du PDESOC Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdou Khoudoss Diop, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2015 Importance : 100 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2015 Mots-clés : REPRODUCTION INSEMINATION ARTIFICIELLE OESTRUS DETECTION PHYSIOLOGIE DE LA REPRODUCTION BOVIN PDESOC SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Au Sénégal, depuis quelques décennies, de nombreux programmes d’insémination artificielle ont été effectués dans le but d’améliorer la production laitière locale. Cependant les taux de réussite obtenus restent toujours peu satisfaisants. Le coût de la synchronisation, la mortalité des veaux nés doubles ou triples, la non implication et le travail fastidieux des éleveurs sont entre autres les contraintes qui limitent la bonne exécution des programmes. Pour lever ces contraintes, le PDESOC en partenariat avec l’EISMV, ont expérimenté l’insémination artificielle sur chaleurs naturelles dans la région de Kolda. L’étude a été menée sur des vaches N’dama et quelques métisses. Ainsi, sur 163 vaches sélectionnées, 74 ont été mises en observation de chaleurs, 31 étaient venues en chaleurs et inséminées. Sur ces 31 vaches inséminées, 30 ont été présentes au DG et 12 ont été diagnostiquées positives soit un taux de réussite de 40%. De nombreuses contraintes notamment le non respect des conditions de stabulation lié au déficit alimentaire, le manque de volonté des éleveurs, les difficultés rencontrées dans la reconnaissance des signes de chaleurs, la non confirmation des chaleurs avant l’IA, la défaillance de l’encadrement des éleveurs et le manque de collaboration entre inséminateurs et agents de l’état ont été enregistrées. Toutefois, les résultats obtenus à travers cette étude montrent que l’insémination artificielle sur chaleurs naturelles peut être mise en œuvre dans la zone sud du Sénégal, en prenant en compte les recommandations faites. Ainsi, nous recommandons vivement à tous les acteurs de l’élevage bovin de la zone sud notamment le PDESOC, d’organiser les IA sur chaleurs naturelles pendant les périodes favorables à l’alimentation, encadrer les éleveurs dans la stabulation et la détection des chaleurs et faire de l’IA sur chaleurs naturelles un service proximité continue tout en impliquant les agents de l’état. PRESIDENT DE JURY : M. MBODJ Mamadou, Pr à la faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Odontologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. KAMGA WALADJO Alain Richi, Maître de conférences agrégé à l’EISMV de Dakar RAPPORTEUR : M. KAMGA WALADJO Alain Richi, Maître de conférences agrégé à l’EISMV de Dakar MEMBRE : M. DIOP Papa EL Hassane, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar- Sénégal CO-DIRECTEUR : M. CISSE Paly, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar- Sénégal DATE DE SOUTENANCE : 11/07/2015 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1874 Insémination artificielle sur chaleurs naturelles dans la région de Kolda au Sénégal en saison chaude : cas du PDESOC [texte imprimé] / Abdou Khoudoss Diop, Auteur . - Dakar : EISMV, 2015 . - 100 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2015 Mots-clés : REPRODUCTION INSEMINATION ARTIFICIELLE OESTRUS DETECTION PHYSIOLOGIE DE LA REPRODUCTION BOVIN PDESOC SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Au Sénégal, depuis quelques décennies, de nombreux programmes d’insémination artificielle ont été effectués dans le but d’améliorer la production laitière locale. Cependant les taux de réussite obtenus restent toujours peu satisfaisants. Le coût de la synchronisation, la mortalité des veaux nés doubles ou triples, la non implication et le travail fastidieux des éleveurs sont entre autres les contraintes qui limitent la bonne exécution des programmes. Pour lever ces contraintes, le PDESOC en partenariat avec l’EISMV, ont expérimenté l’insémination artificielle sur chaleurs naturelles dans la région de Kolda. L’étude a été menée sur des vaches N’dama et quelques métisses. Ainsi, sur 163 vaches sélectionnées, 74 ont été mises en observation de chaleurs, 31 étaient venues en chaleurs et inséminées. Sur ces 31 vaches inséminées, 30 ont été présentes au DG et 12 ont été diagnostiquées positives soit un taux de réussite de 40%. De nombreuses contraintes notamment le non respect des conditions de stabulation lié au déficit alimentaire, le manque de volonté des éleveurs, les difficultés rencontrées dans la reconnaissance des signes de chaleurs, la non confirmation des chaleurs avant l’IA, la défaillance de l’encadrement des éleveurs et le manque de collaboration entre inséminateurs et agents de l’état ont été enregistrées. Toutefois, les résultats obtenus à travers cette étude montrent que l’insémination artificielle sur chaleurs naturelles peut être mise en œuvre dans la zone sud du Sénégal, en prenant en compte les recommandations faites. Ainsi, nous recommandons vivement à tous les acteurs de l’élevage bovin de la zone sud notamment le PDESOC, d’organiser les IA sur chaleurs naturelles pendant les périodes favorables à l’alimentation, encadrer les éleveurs dans la stabulation et la détection des chaleurs et faire de l’IA sur chaleurs naturelles un service proximité continue tout en impliquant les agents de l’état. PRESIDENT DE JURY : M. MBODJ Mamadou, Pr à la faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Odontologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. KAMGA WALADJO Alain Richi, Maître de conférences agrégé à l’EISMV de Dakar RAPPORTEUR : M. KAMGA WALADJO Alain Richi, Maître de conférences agrégé à l’EISMV de Dakar MEMBRE : M. DIOP Papa EL Hassane, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar- Sénégal CO-DIRECTEUR : M. CISSE Paly, Pr à l’E.I.S.M.V de Dakar- Sénégal DATE DE SOUTENANCE : 11/07/2015 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1874 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1280 TD15-24 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
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TD15-24Adobe Acrobat PDFEvaluation du degré d’adoption de l’insémination artificielle sur chaleurs naturelles et la perception de la qualité du lait par les acteurs de la chaine de valeur lait dans la région de Kaolack (Sénégal) / Omar Hakizimana (2015)
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PermalinkEvaluation financière de l’insémination artificielle sur chaleurs naturelles dans les petits élevages traditionnels de la région de Kaolack au Sénégal / Kalandi Miguiri (2011)
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