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Rôle du porc des élevages traditionnels dans l’épidémiologie de la toxoplasmose dans le sud-est de la côte d’ivoire en 2019 / Gbohounou Fabrice Gnali (2023)
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Titre : Rôle du porc des élevages traditionnels dans l’épidémiologie de la toxoplasmose dans le sud-est de la côte d’ivoire en 2019 Type de document : texte imprimé Auteurs : Gbohounou Fabrice Gnali, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 21p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ELEVAGE TRADITIONNEL TOXOPLASMOSE EPIDEMIOLOGIE PORC COTE D'IVOIRE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La toxoplasmose est une anthropozoonose cosmopolite due à un protozoaire intracellulaire obligatoire, Toxoplasmagondii. Elle motive depuis longtemps de nombreuses études épidémiologiques afin d’identifier les réservoirs et les modes de transmission.Pourmieux comprendre l’épidémiologie de l’infection humaine en Côte d’Ivoire, l’estimation de la prévalence du parasite dans les viandes d’animaux destinées à la consommation humaine est fondamentale. La viande porcine étant la deuxième viande la plus consommée en Côte d’Ivoire, une étude transversale a été entreprise en 2019, chez des porcs élevés en divagation dans le sud de la Côte d’Ivoire afin de déterminer la séroprévalence et les facteurs de risques associés. Au cours de ces enquêtes, des 2 485 porcs dénombrés dans les localités, un échantillon de 331 porcs a été déterminité et proportionnellement réparti entre les trois départements du sud de la Côte d’Ivoire : 82 à Aboisso, 161 à Agboville et 87 à Dabou. Un titrage des anticorps spécifiques par la technique de test d’agglutination modifié (MAT) a été effectué sur tous les prélèvements de sang, et les facteurs de risque appréciés par rapport à l’âge, au sexe, à la race et à leur origine géographique. L’enquête a permis de mettre en évidence une séroprévalence de globale de 44,1%. Les femelles (47,56%) ont été plus infectées que les mâles de même que les adultes de plus d’un an (56,25%) par rapport aux plus jeunes. Il n’y a, cependant, pas de différence significative entre l’infection des métisses et des races locales. Concernant l’origine géographique des échantillons, de fortes variations de séroprévalence ont été mises en évidence par rapport aux départements. Par ordre d’importance, Agboville (49,69%) était plus infecté suivi d’Aboisso (46,99%) puis Dabou (31,03%). Un lien de causalité a été établi à l’analyse univariée (p<5%) entre la séropositivité à Toxoplasma gondii et les facteurs tels que le sexe, l’âge et la zone de prélèvement (département). L’analyse multivariée des facteurs d’associations montre que l’âge et le sexe femelle sont des facteurs de risque d’infection a Toxoplasmagondii (p<0,05 et OR>1). Ces résultats offrent une image représentative de la contamination par T. gondii dans les élevages porcins dont la viande est destinée à la consommation humaine en Côte d’Ivoire. Des investigations complémentaires sont nécessaires afin de comprendre le mécanisme de contamination des animaux et définir des recommandations en matière de conduite d’élevage. De même, des enquêtes de prévalence doivent être poursuivies chez tous les animaux domestiques et le gibier afin d’identifier les viandes les plus à risque. Aussi, des investigations devront-elles être menées pour l’isolement des souches de parasite circulant en Côte d’Ivoire et leurs typages dans le long terme. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Madi SAVADOGO CO-DIRECTEUR : Mme Andrée Prisca Ndjoug NDOUR/M. Ronan JAMBOU DATE DE SOUTENANCE : 31/03/2023 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5011 Rôle du porc des élevages traditionnels dans l’épidémiologie de la toxoplasmose dans le sud-est de la côte d’ivoire en 2019 [texte imprimé] / Gbohounou Fabrice Gnali, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 21p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ELEVAGE TRADITIONNEL TOXOPLASMOSE EPIDEMIOLOGIE PORC COTE D'IVOIRE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La toxoplasmose est une anthropozoonose cosmopolite due à un protozoaire intracellulaire obligatoire, Toxoplasmagondii. Elle motive depuis longtemps de nombreuses études épidémiologiques afin d’identifier les réservoirs et les modes de transmission.Pourmieux comprendre l’épidémiologie de l’infection humaine en Côte d’Ivoire, l’estimation de la prévalence du parasite dans les viandes d’animaux destinées à la consommation humaine est fondamentale. La viande porcine étant la deuxième viande la plus consommée en Côte d’Ivoire, une étude transversale a été entreprise en 2019, chez des porcs élevés en divagation dans le sud de la Côte d’Ivoire afin de déterminer la séroprévalence et les facteurs de risques associés. Au cours de ces enquêtes, des 2 485 porcs dénombrés dans les localités, un échantillon de 331 porcs a été déterminité et proportionnellement réparti entre les trois départements du sud de la Côte d’Ivoire : 82 à Aboisso, 161 à Agboville et 87 à Dabou. Un titrage des anticorps spécifiques par la technique de test d’agglutination modifié (MAT) a été effectué sur tous les prélèvements de sang, et les facteurs de risque appréciés par rapport à l’âge, au sexe, à la race et à leur origine géographique. L’enquête a permis de mettre en évidence une séroprévalence de globale de 44,1%. Les femelles (47,56%) ont été plus infectées que les mâles de même que les adultes de plus d’un an (56,25%) par rapport aux plus jeunes. Il n’y a, cependant, pas de différence significative entre l’infection des métisses et des races locales. Concernant l’origine géographique des échantillons, de fortes variations de séroprévalence ont été mises en évidence par rapport aux départements. Par ordre d’importance, Agboville (49,69%) était plus infecté suivi d’Aboisso (46,99%) puis Dabou (31,03%). Un lien de causalité a été établi à l’analyse univariée (p<5%) entre la séropositivité à Toxoplasma gondii et les facteurs tels que le sexe, l’âge et la zone de prélèvement (département). L’analyse multivariée des facteurs d’associations montre que l’âge et le sexe femelle sont des facteurs de risque d’infection a Toxoplasmagondii (p<0,05 et OR>1). Ces résultats offrent une image représentative de la contamination par T. gondii dans les élevages porcins dont la viande est destinée à la consommation humaine en Côte d’Ivoire. Des investigations complémentaires sont nécessaires afin de comprendre le mécanisme de contamination des animaux et définir des recommandations en matière de conduite d’élevage. De même, des enquêtes de prévalence doivent être poursuivies chez tous les animaux domestiques et le gibier afin d’identifier les viandes les plus à risque. Aussi, des investigations devront-elles être menées pour l’isolement des souches de parasite circulant en Côte d’Ivoire et leurs typages dans le long terme. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Madi SAVADOGO CO-DIRECTEUR : Mme Andrée Prisca Ndjoug NDOUR/M. Ronan JAMBOU DATE DE SOUTENANCE : 31/03/2023 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5011 Réservation
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MEM23-04Adobe Acrobat PDFAnalyses des pratiques apicoles et principales contraintes de l’apiculture au Sénégal / Gbohounou Fabrice Gnali (2017)
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Titre : Analyses des pratiques apicoles et principales contraintes de l’apiculture au Sénégal : cas des départements de Tivaouane, Mbour Foundiougne et Vélingara. Type de document : texte imprimé Auteurs : Gbohounou Fabrice Gnali, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2017 Importance : 87 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : APICULTURE ABEILLE SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Au Sénégal, l’apiculture est une activité pratiquée par les populations rurale et permet une augmentation de leur revenu monétaire. Une enquête descriptive a été conduite dans les départements de Mbour Tivaouane, Foundiougne et Vélingara auprès de 130 apiculteurs dans
l’objectif de réaliser une caractérisation des pratiques apicoles et d’identifier les contraintes majeures qui freinent le développement de cette activité. La zone d’étude possède d’énormes ressources naturelles adéquates, une longue tradition et culture apicole et une connaissance à plus de 69% de l’importance de l’abeille dans l’environnement. Les apiculteurs enquêtés étaient en majorité des hommes (96 %), avec un
âge moyen de 54 ans. La majorité des apiculteurs, 71% utilisent des ruches contre 29% qui font de la cueillette. Les apiculteurs utilisent 1065 ruches traditionnelles contre 258 ruches modernes qui sont posées majoritairement pendant la saison sèche 60%, en permanence 37% mais très
faiblement pendant la saison des pluies 3%. La récolte quant à elle se fait majoritairement pendant la saison sèche (janvier à juin) 80% et à 20% le reste de l’année. Cependant, la pratique de l’apiculture, par les apiculteurs individuels rencontre des perturbations et des difficultés. Les perturbations à savoir l’abandon des ruches 52%, les mortalités 35%, la réduction de la taille des colonies 11%, entrainent la diminution des
productions des apiculteurs. Les principales contraintes à l’exploitation du potentiel apicole dans la zone sont, le manque
d'équipements apicoles 49%, les problèmes environnementaux à savoir la pénurie de fourrage pour les abeilles par la baisse de la densité forestière 18%, le manque de formation et les mauvaises pratiques apicoles 9% et les difficultés pour écouler le miel produit 9% du fait des difficultés d’accès au réseau routier constitue une préoccupation pour les apiculteurs. Au regard des contraintes rencontrées par les apiculteurs, des actions en faveurs de l’apiculture dans la zone d’étude sont indispensables pour un développement de ce secteur porteur pour l’économie rurale. Ces actions sont celles de fournir aux apiculteurs des équipements à faible coût et créer des infrastructures adéquates. Il est nécessaire voir primordial de faire des investigations sur les maladies, les prédateurs et les ravageurs.
PRESIDENT DE JURY : M. Alassane WELE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : M. Serge Niangoran BAKOU CO-DIRECTEUR : Mme. Fatoumata Barry DATE DE SOUTENANCE : 25/07/2017 PAYS : REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1992 Analyses des pratiques apicoles et principales contraintes de l’apiculture au Sénégal : cas des départements de Tivaouane, Mbour Foundiougne et Vélingara. [texte imprimé] / Gbohounou Fabrice Gnali, Auteur . - Dakar : EISMV, 2017 . - 87 p.
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Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : APICULTURE ABEILLE SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Au Sénégal, l’apiculture est une activité pratiquée par les populations rurale et permet une augmentation de leur revenu monétaire. Une enquête descriptive a été conduite dans les départements de Mbour Tivaouane, Foundiougne et Vélingara auprès de 130 apiculteurs dans
l’objectif de réaliser une caractérisation des pratiques apicoles et d’identifier les contraintes majeures qui freinent le développement de cette activité. La zone d’étude possède d’énormes ressources naturelles adéquates, une longue tradition et culture apicole et une connaissance à plus de 69% de l’importance de l’abeille dans l’environnement. Les apiculteurs enquêtés étaient en majorité des hommes (96 %), avec un
âge moyen de 54 ans. La majorité des apiculteurs, 71% utilisent des ruches contre 29% qui font de la cueillette. Les apiculteurs utilisent 1065 ruches traditionnelles contre 258 ruches modernes qui sont posées majoritairement pendant la saison sèche 60%, en permanence 37% mais très
faiblement pendant la saison des pluies 3%. La récolte quant à elle se fait majoritairement pendant la saison sèche (janvier à juin) 80% et à 20% le reste de l’année. Cependant, la pratique de l’apiculture, par les apiculteurs individuels rencontre des perturbations et des difficultés. Les perturbations à savoir l’abandon des ruches 52%, les mortalités 35%, la réduction de la taille des colonies 11%, entrainent la diminution des
productions des apiculteurs. Les principales contraintes à l’exploitation du potentiel apicole dans la zone sont, le manque
d'équipements apicoles 49%, les problèmes environnementaux à savoir la pénurie de fourrage pour les abeilles par la baisse de la densité forestière 18%, le manque de formation et les mauvaises pratiques apicoles 9% et les difficultés pour écouler le miel produit 9% du fait des difficultés d’accès au réseau routier constitue une préoccupation pour les apiculteurs. Au regard des contraintes rencontrées par les apiculteurs, des actions en faveurs de l’apiculture dans la zone d’étude sont indispensables pour un développement de ce secteur porteur pour l’économie rurale. Ces actions sont celles de fournir aux apiculteurs des équipements à faible coût et créer des infrastructures adéquates. Il est nécessaire voir primordial de faire des investigations sur les maladies, les prédateurs et les ravageurs.
PRESIDENT DE JURY : M. Alassane WELE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : M. Serge Niangoran BAKOU CO-DIRECTEUR : Mme. Fatoumata Barry DATE DE SOUTENANCE : 25/07/2017 PAYS : REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1992 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1385 TD17-27 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
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