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Titre : Etat des modes de vie des éleveurs face aux changements climatiques à Djibouti Type de document : texte imprimé Auteurs : Isse Abdo Alawan, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2012 Importance : 97 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2012 Mots-clés : METHODE D’ELEVAGE CHANGEMENT CLIMATIQUE NOMADISME PASTORALISME DJIBOUTI Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : A Djibouti, l'élevage constitue l'activité prédominante au sein du monde rural et 90 % de cet élevage est de type pastoral extensif basé sur la recherche de pâturages sur des parcours naturels. Or dans les pays désertiques et semi-désertiques comme Djibouti, la productivité des parcours naturels est très fluctuante en raison du caractère instable des conditions climatiques. En effet, les dernières sécheresses, de plus en plus fréquentes et intenses, ont dégradé l'état des parcours et ont engendré des changements au sein du monde rural et en particulier chez les éleveurs. C’est pourquoi, on note un accroissement de l'élevage sédentaire qui est de plus en plus pratiqué autour des villes et des points d'eau au détriment de l'élevage transhumants. L'objectif de notre travail était de déterminer les modes d'élevage actuels à Djibouti. Pour ce faire, une enquête a été menée, de décembre 2011 à février 2012, auprès de 69 éleveurs répartis dans différents districts de Djibouti. Ainsi, il est ressorti de notre travail que: - L’élevage à Djibouti est de type pastoral extensif (99%) et est pratiqué essentiellement par les hommes (80%, sex-ratio de 5,27) . La majorité des éleveurs n’ont que l’élevage comme source de revenus (78%), d’où leur dépendance à cette activité. Au sein de ces éleveurs, la majorité est sédentaire (61%) contre 39% des éleveurs transhumants. Par ailleurs, peu d’éleveurs (7%) ont accès aux soins vétérinaires. - Les données sur la gestion des parcours indiquent une faible disponibilité fourragère et une surexploitation des parcours notamment dans des régions où la gestion des parcours n'est pas réglementée. Par ailleurs, il a été signalé une détérioration de la qualité de l'eau (83%) avec un mauvais entretien (54%) et une mauvaise gestion. Enfin, la sécheresse participe à l'aggravation des situations déjà fragiles du monde pastoral à Djibouti. Cette dégradation des parcours du bétail constitue donc un facteur de risque important pour le développement de l'élevage. Il est de ce fait nécessaire de les réglementer et d’élaborer un plan de mise en œuvre des gestions de parcours naturels. Des recommandations sont donc faites à l’endroit des autorités étatiques, des éleveurs et des chercheurs afin de trouver des solutions acceptables pour tous et applicables à long terme. C’est la condition sine qua non pour atténuer les effets néfastes du changement climatique à Djibouti. PRESIDENT DE JURY : M. BASSENE Emmanuel, Pr à la faculté de Médecine, de Pharmacie et d’odonto-stomatologie DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. KANE Yaghouba, Maître de conférences agrégé à l’EISMV de Dakar RAPPORTEUR : M. KANE Yaghouba, Maître de conférences agrégé à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 31/07/2012 PAYS : DJIBOUTI Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1755 Etat des modes de vie des éleveurs face aux changements climatiques à Djibouti [texte imprimé] / Isse Abdo Alawan, Auteur . - Dakar : EISMV, 2012 . - 97 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2012 Mots-clés : METHODE D’ELEVAGE CHANGEMENT CLIMATIQUE NOMADISME PASTORALISME DJIBOUTI Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : A Djibouti, l'élevage constitue l'activité prédominante au sein du monde rural et 90 % de cet élevage est de type pastoral extensif basé sur la recherche de pâturages sur des parcours naturels. Or dans les pays désertiques et semi-désertiques comme Djibouti, la productivité des parcours naturels est très fluctuante en raison du caractère instable des conditions climatiques. En effet, les dernières sécheresses, de plus en plus fréquentes et intenses, ont dégradé l'état des parcours et ont engendré des changements au sein du monde rural et en particulier chez les éleveurs. C’est pourquoi, on note un accroissement de l'élevage sédentaire qui est de plus en plus pratiqué autour des villes et des points d'eau au détriment de l'élevage transhumants. L'objectif de notre travail était de déterminer les modes d'élevage actuels à Djibouti. Pour ce faire, une enquête a été menée, de décembre 2011 à février 2012, auprès de 69 éleveurs répartis dans différents districts de Djibouti. Ainsi, il est ressorti de notre travail que: - L’élevage à Djibouti est de type pastoral extensif (99%) et est pratiqué essentiellement par les hommes (80%, sex-ratio de 5,27) . La majorité des éleveurs n’ont que l’élevage comme source de revenus (78%), d’où leur dépendance à cette activité. Au sein de ces éleveurs, la majorité est sédentaire (61%) contre 39% des éleveurs transhumants. Par ailleurs, peu d’éleveurs (7%) ont accès aux soins vétérinaires. - Les données sur la gestion des parcours indiquent une faible disponibilité fourragère et une surexploitation des parcours notamment dans des régions où la gestion des parcours n'est pas réglementée. Par ailleurs, il a été signalé une détérioration de la qualité de l'eau (83%) avec un mauvais entretien (54%) et une mauvaise gestion. Enfin, la sécheresse participe à l'aggravation des situations déjà fragiles du monde pastoral à Djibouti. Cette dégradation des parcours du bétail constitue donc un facteur de risque important pour le développement de l'élevage. Il est de ce fait nécessaire de les réglementer et d’élaborer un plan de mise en œuvre des gestions de parcours naturels. Des recommandations sont donc faites à l’endroit des autorités étatiques, des éleveurs et des chercheurs afin de trouver des solutions acceptables pour tous et applicables à long terme. C’est la condition sine qua non pour atténuer les effets néfastes du changement climatique à Djibouti. PRESIDENT DE JURY : M. BASSENE Emmanuel, Pr à la faculté de Médecine, de Pharmacie et d’odonto-stomatologie DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. KANE Yaghouba, Maître de conférences agrégé à l’EISMV de Dakar RAPPORTEUR : M. KANE Yaghouba, Maître de conférences agrégé à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 31/07/2012 PAYS : DJIBOUTI Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1755 Réservation
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Titre : Etude séro-épidémiologique de la brucellose animale dans la République de Djibouti Type de document : texte imprimé Auteurs : Hebano Hasta Araita, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2013 Importance : 101 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2013 Mots-clés : BRUCELLOSE BOVIN OVIN CAPRIN CAMELIN DJIBOUTI Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Cette étude s’est déroulée sur six (6) mois (octobre 2012 à mars 2013) dans toutes les régions du pays. Elle avait pour objectif général de déterminer la prévalence de la brucellose au sein des élevages de RDD, d’une manière spécifique il s’agissait d’évaluer, la séroprévalence chez les ruminants et la connaissance sur la brucellose au niveau des éleveurs. Pour atteindre cet objectif, un échantillon de 852 (266 Bovins, 229 camelins, 299 Caprins et 56 ovins), a été testé par l’épreuve à l’antigène tamponné. De plus 102 éleveurs ont été interviewés à l’aide d’une fiche d’enquête, pour l’évaluation de l’état de connaissance sur la brucellose. Nous avons obtenu une prévalence globale de 1,17 ± 0,57 (IC : 95%), soit : - Prévalence bovine : 1,88 ± 1,1 (IC : 95%) ; - Prévalence cameline : 0,44 ± 0,41 (IC : 95%) ; - Prévalence caprine : 1,34 ± 0,9 (IC : 95%) ; - Aucun animal n’a été révélé positif chez les ovins. Les éleveurs interviewés, ignoraient totalement la brucellose animale ainsi que le mode de transmission. Ils sont exposés à la maladie, d’une part par des manipulations des avortons ou des placentas et d’autre part par la consommation du lait non pasteurisé qui se fait quotidiennement. Des recommandations sont donc faites à l’endroit des autorités sanitaires et vétérinaires, des éleveurs et des chercheurs afin d’éradiquer la brucellose animale et d’atténuer le risque de transmission chez les humains. PRESIDENT DE JURY : M. BASSENE Emmanuel, Pr Titulaire à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. KONE Philippe, Maitre-Assistant à l’E.I.S.M.V. de Dakar RAPPORTEUR : Mme. BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’Ecole Inter-Etats des Sciences et Médecine Vétérinaires de Dakar MEMBRE : M. BAKOU Serge Niangoran, Pr à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 20/07/2013 PAYS : DJIBOUTI Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1792 Etude séro-épidémiologique de la brucellose animale dans la République de Djibouti [texte imprimé] / Hebano Hasta Araita, Auteur . - Dakar : EISMV, 2013 . - 101 p.
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Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2013 Mots-clés : BRUCELLOSE BOVIN OVIN CAPRIN CAMELIN DJIBOUTI Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Cette étude s’est déroulée sur six (6) mois (octobre 2012 à mars 2013) dans toutes les régions du pays. Elle avait pour objectif général de déterminer la prévalence de la brucellose au sein des élevages de RDD, d’une manière spécifique il s’agissait d’évaluer, la séroprévalence chez les ruminants et la connaissance sur la brucellose au niveau des éleveurs. Pour atteindre cet objectif, un échantillon de 852 (266 Bovins, 229 camelins, 299 Caprins et 56 ovins), a été testé par l’épreuve à l’antigène tamponné. De plus 102 éleveurs ont été interviewés à l’aide d’une fiche d’enquête, pour l’évaluation de l’état de connaissance sur la brucellose. Nous avons obtenu une prévalence globale de 1,17 ± 0,57 (IC : 95%), soit : - Prévalence bovine : 1,88 ± 1,1 (IC : 95%) ; - Prévalence cameline : 0,44 ± 0,41 (IC : 95%) ; - Prévalence caprine : 1,34 ± 0,9 (IC : 95%) ; - Aucun animal n’a été révélé positif chez les ovins. Les éleveurs interviewés, ignoraient totalement la brucellose animale ainsi que le mode de transmission. Ils sont exposés à la maladie, d’une part par des manipulations des avortons ou des placentas et d’autre part par la consommation du lait non pasteurisé qui se fait quotidiennement. Des recommandations sont donc faites à l’endroit des autorités sanitaires et vétérinaires, des éleveurs et des chercheurs afin d’éradiquer la brucellose animale et d’atténuer le risque de transmission chez les humains. PRESIDENT DE JURY : M. BASSENE Emmanuel, Pr Titulaire à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. KONE Philippe, Maitre-Assistant à l’E.I.S.M.V. de Dakar RAPPORTEUR : Mme. BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’Ecole Inter-Etats des Sciences et Médecine Vétérinaires de Dakar MEMBRE : M. BAKOU Serge Niangoran, Pr à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 20/07/2013 PAYS : DJIBOUTI Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1792 Réservation
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Titre : Appréciation de la qualité bactériologique des plats cuisinés servis dans un restaurant moderne de Djibouti Type de document : texte imprimé Auteurs : Djire Saad Okie, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2018 Importance : 30 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2018 Mots-clés : ANALYSE BACTERIOLOGIQUE CONTROLE DE QUALITE RESTAURATION COLLECTIVE DJIBOUTI Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Dans le but d’apprécier la qualité bactériologique
des repas servis par un restaurant moderne de
Djibouti. Une enquête (des visites techniques du
restaurant) ainsi que des analyses
bactériologiques des repas ont été effectuées au
laboratoire de microbiologie alimentaire de
Djibouti (LANAA).
Ces analyses ont été faites selon les méthodes
horizontales d’AFNOR règlement (CE) N°
1441/2007 du 5 décembre 2007 concernant les
critères microbiologiques applicables aux
denrées alimentaires. Les germes recherchés
sont : FMAT, E.coli, Staphylocoque aureus,
Clostriduim perfringens et Salmonelle.
Notre enquête a porté sur les différents aspects de
l’hygiène en appliquant la règle des 5M. Ce qui a
permis de constater ce qui suit :
le personnel est pratiquement ignorant
des règles élémentaires d’hygiène, ou
quand il le sait, ne se sent pas contraint de
les appliquer.
les sanitaires du personnel sont sous
équipés et mal entretenus
A côté de l’enquête, 100 échantillons dont 64
repas chauds et 36 repas froids ont été analysés.
-Sur les 64 repas chauds, 2 sont non satisfaisants
pour excès de la FMAT.
-Sur les 36 repas froids, 4 sont non satisfaisants
pour excès de la FMAT et enfin 6 non conformes
pour excès d’Escherichia coli.
Les résultats sont non conformes même si le
nivaux de contamination est faible. Car la
présence de ces germes témoins du non-respect
d’hygiène. C’est pourquoi la sensibilisation et la
formation du personnel en matière d’hygiène et
de qualité des aliments, s’avèrent nécessaires
pour améliorer la qualité des repas.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. SEYDI Malang, Pr à l' EISMV MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. SYLLA Khalifa Serigne Babacar, Maître de conférences agrégé à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 10/01/2018 PAYS : DJIBOUTI Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2043 Appréciation de la qualité bactériologique des plats cuisinés servis dans un restaurant moderne de Djibouti [texte imprimé] / Djire Saad Okie, Auteur . - Dakar : EISMV, 2018 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2018 Mots-clés : ANALYSE BACTERIOLOGIQUE CONTROLE DE QUALITE RESTAURATION COLLECTIVE DJIBOUTI Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Dans le but d’apprécier la qualité bactériologique
des repas servis par un restaurant moderne de
Djibouti. Une enquête (des visites techniques du
restaurant) ainsi que des analyses
bactériologiques des repas ont été effectuées au
laboratoire de microbiologie alimentaire de
Djibouti (LANAA).
Ces analyses ont été faites selon les méthodes
horizontales d’AFNOR règlement (CE) N°
1441/2007 du 5 décembre 2007 concernant les
critères microbiologiques applicables aux
denrées alimentaires. Les germes recherchés
sont : FMAT, E.coli, Staphylocoque aureus,
Clostriduim perfringens et Salmonelle.
Notre enquête a porté sur les différents aspects de
l’hygiène en appliquant la règle des 5M. Ce qui a
permis de constater ce qui suit :
le personnel est pratiquement ignorant
des règles élémentaires d’hygiène, ou
quand il le sait, ne se sent pas contraint de
les appliquer.
les sanitaires du personnel sont sous
équipés et mal entretenus
A côté de l’enquête, 100 échantillons dont 64
repas chauds et 36 repas froids ont été analysés.
-Sur les 64 repas chauds, 2 sont non satisfaisants
pour excès de la FMAT.
-Sur les 36 repas froids, 4 sont non satisfaisants
pour excès de la FMAT et enfin 6 non conformes
pour excès d’Escherichia coli.
Les résultats sont non conformes même si le
nivaux de contamination est faible. Car la
présence de ces germes témoins du non-respect
d’hygiène. C’est pourquoi la sensibilisation et la
formation du personnel en matière d’hygiène et
de qualité des aliments, s’avèrent nécessaires
pour améliorer la qualité des repas.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. SEYDI Malang, Pr à l' EISMV MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. SYLLA Khalifa Serigne Babacar, Maître de conférences agrégé à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 10/01/2018 PAYS : DJIBOUTI Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2043 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M294 MEM18-2 Mémoire Bibliothèque (SID) Mémoires de Master Disponible Documents numériques
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