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Biologie et génétique du lamantin ouest africain, Trichechus senegalensis (Link, 1795) au Sénégal / Andrée Prisca Ndjoug Ndour (2010)
Titre : Biologie et génétique du lamantin ouest africain, Trichechus senegalensis (Link, 1795) au Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Andrée Prisca Ndjoug Ndour, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2010 Importance : 161 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2010 Mots-clés : LAMANTIN GENETIQUE BIOLOGIE ESPECE EN DANGER Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Le lamantin ouest africain (Trichechus senegalensis, Link, 1975) est un Sirenidae, unique ordre de mammifères herbivores aquatiques. Sa population est répartie le long du littoral de la frontière mauritano-sénégalaise à l’Angola, au Mali, au Niger et au Tchad. Comme la majorité de tous les siréniens, le lamantin ouest africain est menacé de disparition d’où la nécessité de le protéger. Il est le moins connu des mammifères marins à cause de l’insuffisance des données scientifiques ce qui constitue un réel défit pour sa sauvegarde et sa protection. Pour palier cette insuffisance de données scientifiques, des travaux ont été entrepris sur le lamantin ouest africain au Sénégal. Ces recherches ont porté sur la biologie et le statut du lamantin, sur le comportement migratoire dans la Vallée du Fleuve Sénégal et sur les caractéristiques génétiques de l’espèce au Sénégal. Des enquêtes ont été réalisées auprès des populations riveraines sur les connaissances de l’animal puis un suivi satellitaire des déplacements des animaux a été effectué de Janvier à Août 2009. Il ressort de ces travaux que le lamantin est bien connu des populations locales; il a une place de choix dans les cultures des communautés en particulier au Saloum et ce malgré les multiples menaces pesant sur sa vie. Le suivi à l’aide des balises a permis d’identifier les facteurs conditionnant les mouvements de l’animal dans le fleuve et aussi son aptitude à se déplacer sur de centaines de kilomètres. L’analyse génétique réalisée pour la première fois sur des prélèvements du Sénégal, de la République de Guinée et du Cameroun a permis de découvrir trois nouveaux haplotypes, dont l’un n’est pour l’instant, identifié qu’au Sénégal. Ces résultats ne sont que préliminaires et méritent d’être poursuivis afin d’améliorer les connaissances sur le lamantin ouest africain, Trichechus senegalensis. PRESIDENT DE JURY : Monsieur DIOP Bernard Marcel DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur AKAKPO Ayayi Justin RAPPORTEUR : Monsieur AKAKPO Ayayi Justin MEMBRE : Monsieur BAKOU Serge Niangoran/Monsieur SAMBOU Bienvenu DATE DE SOUTENANCE : 02/07/2010 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1662 Biologie et génétique du lamantin ouest africain, Trichechus senegalensis (Link, 1795) au Sénégal [texte imprimé] / Andrée Prisca Ndjoug Ndour, Auteur . - Dakar : EISMV, 2010 . - 161 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2010 Mots-clés : LAMANTIN GENETIQUE BIOLOGIE ESPECE EN DANGER Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Le lamantin ouest africain (Trichechus senegalensis, Link, 1975) est un Sirenidae, unique ordre de mammifères herbivores aquatiques. Sa population est répartie le long du littoral de la frontière mauritano-sénégalaise à l’Angola, au Mali, au Niger et au Tchad. Comme la majorité de tous les siréniens, le lamantin ouest africain est menacé de disparition d’où la nécessité de le protéger. Il est le moins connu des mammifères marins à cause de l’insuffisance des données scientifiques ce qui constitue un réel défit pour sa sauvegarde et sa protection. Pour palier cette insuffisance de données scientifiques, des travaux ont été entrepris sur le lamantin ouest africain au Sénégal. Ces recherches ont porté sur la biologie et le statut du lamantin, sur le comportement migratoire dans la Vallée du Fleuve Sénégal et sur les caractéristiques génétiques de l’espèce au Sénégal. Des enquêtes ont été réalisées auprès des populations riveraines sur les connaissances de l’animal puis un suivi satellitaire des déplacements des animaux a été effectué de Janvier à Août 2009. Il ressort de ces travaux que le lamantin est bien connu des populations locales; il a une place de choix dans les cultures des communautés en particulier au Saloum et ce malgré les multiples menaces pesant sur sa vie. Le suivi à l’aide des balises a permis d’identifier les facteurs conditionnant les mouvements de l’animal dans le fleuve et aussi son aptitude à se déplacer sur de centaines de kilomètres. L’analyse génétique réalisée pour la première fois sur des prélèvements du Sénégal, de la République de Guinée et du Cameroun a permis de découvrir trois nouveaux haplotypes, dont l’un n’est pour l’instant, identifié qu’au Sénégal. Ces résultats ne sont que préliminaires et méritent d’être poursuivis afin d’améliorer les connaissances sur le lamantin ouest africain, Trichechus senegalensis. PRESIDENT DE JURY : Monsieur DIOP Bernard Marcel DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur AKAKPO Ayayi Justin RAPPORTEUR : Monsieur AKAKPO Ayayi Justin MEMBRE : Monsieur BAKOU Serge Niangoran/Monsieur SAMBOU Bienvenu DATE DE SOUTENANCE : 02/07/2010 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1662 Réservation
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TD10-4Adobe Acrobat PDF Contribution à l’étude des échouages des cétacés sur les côtes sénégalaises / Rosalie Martine Ndew Seck (2009)
Titre : Contribution à l’étude des échouages des cétacés sur les côtes sénégalaises Type de document : texte imprimé Auteurs : Rosalie Martine Ndew Seck, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2009 Importance : 115 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2009 Mots-clés : CETACE SENEGAL ESPECE PROTEGEE ESPECE EN DANGER Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Les cétacés (baleines, dauphins, marsouins) sont des mammifères aquatiques grégaires de structure sociale très complexe, la taille des groupes varie en fonction de l’espèce (10 à 100 individus). Les membres du groupe sont dirigés par un chef qu’ils suivent quelques soit les obstacles. Les cétacés sont présents dans toutes les mers du monde. Ce sont des animaux migrateurs. Ils font de nombreux déplacements (migrations) au cours desquels ils sont sujets à plusieurs menaces (pollutions, collision avec les engins de pêche, etc.) pouvant les conduire à l’échouage.
Les échouages de cétacés sont souvent observés sur les côtes européennes, en revanche, ils sont très rares sur les côtes sénégalaises. Un échouage est un drame écologique surtout lorsqu’il est massif, une mine d’information scientifique sur le plan de la biométrie de l’anatomie, de l’alimentation, des causes des échouages Au Sénégal les derniers échouages massif observés avant 2008 remontent en 1977.
Toute fois il faut savoir que des cas isolés sont aussi observés sur les côtes sénégalaises. L’échouage massif des globicéphales (Globicephala macrorhyncus) 115 sur les plages de Yoff Tonghor a motivé les scientifiques et les médias. Les scientifiques se sont mobilisés dans la recherche des causes de ces échouages. C’est dans cette optique que notre étude a été engagée.
L’enquête réalisée auprès de 50 habitants, âgés de 15 à plus de 60 ans, nous a permis d’une part de déterminer les insuffisances de la gestion des échouages et d’autre part d’évaluer les savoirs locaux des populations lébou sur les échouages. Cependant les résultats de nos examens ne permettent pas véritablement de déterminer les causes des échouages. C’est ainsi que nous faisons des recommandations à l’endroit de l’Etat, de l’EISMV, des populations, et des autres acteurs afin d’améliorer la gestion des échouages de cétacés sur les côtes sénégalaises.PRESIDENT DE JURY : Monsieur DIOP Bernard Marcel DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur KABORET Yalacé Yamba RAPPORTEUR : Monsieur KABORET Yalacé Yamba MEMBRE : Monsieur BAKOU Serge Niangoran CO-DIRECTEUR : Monsieur FALL Massal DATE DE SOUTENANCE : 29/07/2009 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1641 Contribution à l’étude des échouages des cétacés sur les côtes sénégalaises [texte imprimé] / Rosalie Martine Ndew Seck, Auteur . - Dakar : EISMV, 2009 . - 115 p.
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Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2009 Mots-clés : CETACE SENEGAL ESPECE PROTEGEE ESPECE EN DANGER Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Les cétacés (baleines, dauphins, marsouins) sont des mammifères aquatiques grégaires de structure sociale très complexe, la taille des groupes varie en fonction de l’espèce (10 à 100 individus). Les membres du groupe sont dirigés par un chef qu’ils suivent quelques soit les obstacles. Les cétacés sont présents dans toutes les mers du monde. Ce sont des animaux migrateurs. Ils font de nombreux déplacements (migrations) au cours desquels ils sont sujets à plusieurs menaces (pollutions, collision avec les engins de pêche, etc.) pouvant les conduire à l’échouage.
Les échouages de cétacés sont souvent observés sur les côtes européennes, en revanche, ils sont très rares sur les côtes sénégalaises. Un échouage est un drame écologique surtout lorsqu’il est massif, une mine d’information scientifique sur le plan de la biométrie de l’anatomie, de l’alimentation, des causes des échouages Au Sénégal les derniers échouages massif observés avant 2008 remontent en 1977.
Toute fois il faut savoir que des cas isolés sont aussi observés sur les côtes sénégalaises. L’échouage massif des globicéphales (Globicephala macrorhyncus) 115 sur les plages de Yoff Tonghor a motivé les scientifiques et les médias. Les scientifiques se sont mobilisés dans la recherche des causes de ces échouages. C’est dans cette optique que notre étude a été engagée.
L’enquête réalisée auprès de 50 habitants, âgés de 15 à plus de 60 ans, nous a permis d’une part de déterminer les insuffisances de la gestion des échouages et d’autre part d’évaluer les savoirs locaux des populations lébou sur les échouages. Cependant les résultats de nos examens ne permettent pas véritablement de déterminer les causes des échouages. C’est ainsi que nous faisons des recommandations à l’endroit de l’Etat, de l’EISMV, des populations, et des autres acteurs afin d’améliorer la gestion des échouages de cétacés sur les côtes sénégalaises.PRESIDENT DE JURY : Monsieur DIOP Bernard Marcel DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur KABORET Yalacé Yamba RAPPORTEUR : Monsieur KABORET Yalacé Yamba MEMBRE : Monsieur BAKOU Serge Niangoran CO-DIRECTEUR : Monsieur FALL Massal DATE DE SOUTENANCE : 29/07/2009 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1641 Réservation
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Titre : La Fibropapillomatose des tortues marines : étude bibliographique Type de document : texte imprimé Auteurs : Saïd Eroume Kerbaï, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2010 Importance : 128 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2010 Mots-clés : TORTUE FIBROPAPILLOMATOSE ESPECE EN DANGER MALADIE DES ANIMAUX Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La fibropapillomatose des tortues marines est une maladie débilitante, marquée par présence de multiples tumeurs (fibropapillomes) sur la peau et occasionnellement dans les organes internes (fibromes). Découverte à la fin des années 1930, les premiers cas africains ont été confirmés proches des côtes Gabonaises dans les années 2000. De nos jours, sa distribution est globale avec des cas signalés sur tous les continents. Les tortues vertes sont les espèces les plus sensibles, présentant parfois des épidémies dans certaines régions du monde. Les juvéniles et les femelles sont plus sensibles que les mâles. De multiples facteurs liés aux hôtes et à l’environnement, joueraient un rôle dans l’apparition de la FP. Malgré le fait que l’étiologie exacte n’est pas connue, il a été prouvé qu’elle fait intervenir un virus. Plusieurs recherches suggèrent que la FP serait causé par un Alphaherpesvirus. Cette éventualité, pourrait ouvrir une perspective nouvelle, sur l’étude du rôle des herpès virus dans l’induction des fibropapillomes. Les méthodes moléculaires ont permis de faire des avancées notoires dans la confirmation de cette étiologie. Sur le plan clinique le signe majeur et caractéristique est l’apparition de fibropapillomes de tailles variables, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres. L’évolution aboutit vers la débilitation et un trouble des fonctions vitales pour la forme externe et vers la mort pour les fibromes internes. Certains cas de régressions spontanées ont pu être observés. Le diagnostic de laboratoire fait souvent appel à l’histopathologie et aux méthodes moléculaires, notamment la PCR (pour caractériser l’ADN tumorale).
En plus d’être une menace pour la santé des tortues, cette maladie émergente représente une menace pour le renouvellement des populations des tortues de mer. Constituant donc, une entrave supplémentaire à la conservation de ces espèces déjà considérées comme menacés et en danger d’extinction.PRESIDENT DE JURY : Mme GAYE Gisèle WOTO DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monseur KANE Yaghouba RAPPORTEUR : Monsieur KABORET Yalacé Y. MEMBRE : Monsieur ASSANE Moussa /Monsieur BAKOU Serge Niangoran DATE DE SOUTENANCE : 20/12/2010 PAYS : Cameroun Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1680 La Fibropapillomatose des tortues marines : étude bibliographique [texte imprimé] / Saïd Eroume Kerbaï, Auteur . - Dakar : EISMV, 2010 . - 128 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2010 Mots-clés : TORTUE FIBROPAPILLOMATOSE ESPECE EN DANGER MALADIE DES ANIMAUX Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La fibropapillomatose des tortues marines est une maladie débilitante, marquée par présence de multiples tumeurs (fibropapillomes) sur la peau et occasionnellement dans les organes internes (fibromes). Découverte à la fin des années 1930, les premiers cas africains ont été confirmés proches des côtes Gabonaises dans les années 2000. De nos jours, sa distribution est globale avec des cas signalés sur tous les continents. Les tortues vertes sont les espèces les plus sensibles, présentant parfois des épidémies dans certaines régions du monde. Les juvéniles et les femelles sont plus sensibles que les mâles. De multiples facteurs liés aux hôtes et à l’environnement, joueraient un rôle dans l’apparition de la FP. Malgré le fait que l’étiologie exacte n’est pas connue, il a été prouvé qu’elle fait intervenir un virus. Plusieurs recherches suggèrent que la FP serait causé par un Alphaherpesvirus. Cette éventualité, pourrait ouvrir une perspective nouvelle, sur l’étude du rôle des herpès virus dans l’induction des fibropapillomes. Les méthodes moléculaires ont permis de faire des avancées notoires dans la confirmation de cette étiologie. Sur le plan clinique le signe majeur et caractéristique est l’apparition de fibropapillomes de tailles variables, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres. L’évolution aboutit vers la débilitation et un trouble des fonctions vitales pour la forme externe et vers la mort pour les fibromes internes. Certains cas de régressions spontanées ont pu être observés. Le diagnostic de laboratoire fait souvent appel à l’histopathologie et aux méthodes moléculaires, notamment la PCR (pour caractériser l’ADN tumorale).
En plus d’être une menace pour la santé des tortues, cette maladie émergente représente une menace pour le renouvellement des populations des tortues de mer. Constituant donc, une entrave supplémentaire à la conservation de ces espèces déjà considérées comme menacés et en danger d’extinction.PRESIDENT DE JURY : Mme GAYE Gisèle WOTO DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monseur KANE Yaghouba RAPPORTEUR : Monsieur KABORET Yalacé Y. MEMBRE : Monsieur ASSANE Moussa /Monsieur BAKOU Serge Niangoran DATE DE SOUTENANCE : 20/12/2010 PAYS : Cameroun Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1680 Réservation
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TD10-21Adobe Acrobat PDF Conservation et gestion de la faune sauvage au Nord et à 'Extrème-Nord Cameroun / Samuel Bouba (1988)
Titre : Conservation et gestion de la faune sauvage au Nord et à 'Extrème-Nord Cameroun : propositions d'exploitation Type de document : texte imprimé Auteurs : Samuel Bouba, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 1988 Importance : 57 p. Note générale : PAYS: Cameroun
DSOUT: 13/06/1988
Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:1988 Mots-clés : FAUNE ET FLORE SAUVAGES FAUNE CONSERVATION ESPECE EN DANGER CAMEROUN Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=685 Conservation et gestion de la faune sauvage au Nord et à 'Extrème-Nord Cameroun : propositions d'exploitation [texte imprimé] / Samuel Bouba, Auteur . - Dakar : EISMV, 1988 . - 57 p.
PAYS: Cameroun
DSOUT: 13/06/1988
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Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:1988 Mots-clés : FAUNE ET FLORE SAUVAGES FAUNE CONSERVATION ESPECE EN DANGER CAMEROUN Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=685 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T284 TD88-24 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Rôle des lycaons et des léopards dans les conflits homme-faune à la périphérie du Parc National du Niokolo Koba / Basse Kabore (2018)
Titre : Rôle des lycaons et des léopards dans les conflits homme-faune à la périphérie du Parc National du Niokolo Koba Type de document : texte imprimé Auteurs : Basse Kabore, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2018 Importance : 105 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2018 Mots-clés : FAUNE FAUNE ET FLORE SAUVAGE CONSERVATION ESPECE EN DANGER PARC NATIONAL DE NIOKOLO KOBA PARC NATIONAL LYCAONS LEOPARD Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Note de contenu : La présente étude a pour objectif général d’étudier les conflits hommes grands carnivores sauvages à la périphérie du parc national de Niokolo Koba afin de contribuer à une meilleure gestion du parc. Elle s’est déroulée du 02 au 30 Aout 2017. Elle a concerné 305 personnes dans 26 villages. L’âge des enquêtés a varié de 20 à plus de 60 ans. Plus de la moitié des enquêtés (52,80%) avait un âge compris entre 20 et 40 ans. En plus 10,2 % des enquêtées étaient des femmes. La population enquêtée était majoritairement des Peuls (82,62) ; suivi des Djahankés (16,39%) et les Bassari
(0,98%). L’étude a révélé une population d’agriculteurs dont 99% pratiquaient l’élevage comme activité secondaire. Selon les enquêtés, respectivement 85,9 % ; 86,9 % ; 90, 5% ; 82% et 83,3 % des mortalités des bovins, des ovins, des caprins, des ânes et des volailles est due aux maladies. Parmi les répondants, 88% et 81 % disposaient d’un
logement, respectivement pour les bovins et la volaille. Cependant, (62,76%) d’entre eux ont affirmé que les petits ruminants étaient attachés autour des cases. Parmi les enquêtés, 11 % disposaient de chien à domicile et seulement 7 % d'entre eux utilisaient ces chiens pour la surveillance des troupeaux au pâturage. Selon les enquêtées, les hyènes, les chacals, les lycaons, les léopards et les lions ont été respectivement impliqués dans 85,6 %, 33,40%, 24,9 %, 3,3 % et 8,2 % des attaques du bétail. En plus des carnivores, certaines espèces comme les babouins, les civettes, les pythons attaquent aussi le bétail. Pour protéger leur bétail contre la prédation, les éleveurs utilisent des stratégies comme l’emploi d’un berger pour garder le troupeau (95%). Ensuite, d’autres éleveurs (80%) ont attesté qu'ils allument des lampes et émettent des cris lors des attaques pour faire fuir le prédateur. Certains éleveurs (63 %) utilisent le feu près des habitats des animaux pour faire peur aux prédateurs. les grands carnivores ont attaqué au total 723 bovins, 612 petits ruminants, 176 ânes, 6 chevaux et 291 volailles avec un coût estimé à 224 330395 FCFA pendant ces 10 dernières années. Les pertes économiques causées par les léopards s’élevaient à 23 543 944 FCFA, celui des Lycaons à 10 517 860 FCFA, celui des Lions à 2 106 8310 FCFA, celui des Hyènes à 159 515 416 FCFA et celui du Chacal à 9 684 865. Au vu des résultats obtenus, des recommandations ont été élaborée et ces recommandations ont pour but d’améliorer l’élevage et la conservation des aires protégées au Sénégal.PRESIDENT DE JURY : Monsieur Gora MBAYE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur Oubri Bassa GBATI RAPPORTEUR : Monsieur Oubri Bassa GBATI MEMBRE : Monsieur Yaghouba KANE CO-DIRECTEUR : Dr Laibané Dieudonné DAHOUROU DATE DE SOUTENANCE : 04/07/2018 PAYS : Cote d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2033 Rôle des lycaons et des léopards dans les conflits homme-faune à la périphérie du Parc National du Niokolo Koba [texte imprimé] / Basse Kabore, Auteur . - Dakar : EISMV, 2018 . - 105 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2018 Mots-clés : FAUNE FAUNE ET FLORE SAUVAGE CONSERVATION ESPECE EN DANGER PARC NATIONAL DE NIOKOLO KOBA PARC NATIONAL LYCAONS LEOPARD Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Note de contenu : La présente étude a pour objectif général d’étudier les conflits hommes grands carnivores sauvages à la périphérie du parc national de Niokolo Koba afin de contribuer à une meilleure gestion du parc. Elle s’est déroulée du 02 au 30 Aout 2017. Elle a concerné 305 personnes dans 26 villages. L’âge des enquêtés a varié de 20 à plus de 60 ans. Plus de la moitié des enquêtés (52,80%) avait un âge compris entre 20 et 40 ans. En plus 10,2 % des enquêtées étaient des femmes. La population enquêtée était majoritairement des Peuls (82,62) ; suivi des Djahankés (16,39%) et les Bassari
(0,98%). L’étude a révélé une population d’agriculteurs dont 99% pratiquaient l’élevage comme activité secondaire. Selon les enquêtés, respectivement 85,9 % ; 86,9 % ; 90, 5% ; 82% et 83,3 % des mortalités des bovins, des ovins, des caprins, des ânes et des volailles est due aux maladies. Parmi les répondants, 88% et 81 % disposaient d’un
logement, respectivement pour les bovins et la volaille. Cependant, (62,76%) d’entre eux ont affirmé que les petits ruminants étaient attachés autour des cases. Parmi les enquêtés, 11 % disposaient de chien à domicile et seulement 7 % d'entre eux utilisaient ces chiens pour la surveillance des troupeaux au pâturage. Selon les enquêtées, les hyènes, les chacals, les lycaons, les léopards et les lions ont été respectivement impliqués dans 85,6 %, 33,40%, 24,9 %, 3,3 % et 8,2 % des attaques du bétail. En plus des carnivores, certaines espèces comme les babouins, les civettes, les pythons attaquent aussi le bétail. Pour protéger leur bétail contre la prédation, les éleveurs utilisent des stratégies comme l’emploi d’un berger pour garder le troupeau (95%). Ensuite, d’autres éleveurs (80%) ont attesté qu'ils allument des lampes et émettent des cris lors des attaques pour faire fuir le prédateur. Certains éleveurs (63 %) utilisent le feu près des habitats des animaux pour faire peur aux prédateurs. les grands carnivores ont attaqué au total 723 bovins, 612 petits ruminants, 176 ânes, 6 chevaux et 291 volailles avec un coût estimé à 224 330395 FCFA pendant ces 10 dernières années. Les pertes économiques causées par les léopards s’élevaient à 23 543 944 FCFA, celui des Lycaons à 10 517 860 FCFA, celui des Lions à 2 106 8310 FCFA, celui des Hyènes à 159 515 416 FCFA et celui du Chacal à 9 684 865. Au vu des résultats obtenus, des recommandations ont été élaborée et ces recommandations ont pour but d’améliorer l’élevage et la conservation des aires protégées au Sénégal.PRESIDENT DE JURY : Monsieur Gora MBAYE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur Oubri Bassa GBATI RAPPORTEUR : Monsieur Oubri Bassa GBATI MEMBRE : Monsieur Yaghouba KANE CO-DIRECTEUR : Dr Laibané Dieudonné DAHOUROU DATE DE SOUTENANCE : 04/07/2018 PAYS : Cote d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2033 Réservation
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