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'FAUNE SAUVAGE' 




Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel des aires protégées sur les risques de zoonoses associés aux contacts avec la faune sauvage autour du ranch de gibier de NAZINGA (Burkina Faso) / Hamidou Zangré (2019)
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Titre : Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel des aires protégées sur les risques de zoonoses associés aux contacts avec la faune sauvage autour du ranch de gibier de NAZINGA (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Hamidou Zangré, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : ZOONOSE FAUNE FAUNE SAUVAGE RANCH BURKINA FASO Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La faune sauvage fait objet de protection dans les aires protégées qui de
nos jours, constituent les seuls espoirs pour empêcher que de nombreuses
espèces disparaissent. C’est dans cette optique de protection et de
conservation de l’écosystème, que le Burkina Faso a créé de nombreuses
aires protégées dont, le Ranch de Gibier de Nazinga (RGN). Cependant,
dans un contexte d’émergence ou de réémergence de pathogènes, la faune
sauvage se trouve aujourd’hui être l’un des principaux réservoirs de
nombreux agents pathogènes. Ce contexte, où la faune joue un rôle
extrêmement important dans la transmission de pathogènes zoonotiques
à l’homme, le personnel et la communauté riveraine des aires protégées
vivant en contact de la faune se trouvent potentiellement exposés à ces
pathogènes.
C’est dans ce sens que ce travail a été entrepris pour évaluer leurs
connaissances, attitudes et pratiques à risque dans la transmission de
pathogènes zoonotiques à partir de la faune sauvage. Pour ce faire, une
enquête a été réalisée et elle a concerné 358 personnes dans 10 villages
riverains et auprès du personnel du RGN entre décembre 2018 et février
2019.
Les résultats révèlent que, plus de 40 % des interviewés avaient un âge
compris entre 20 à 40 ans ; 17,3 % étaient des femmes. La population
étudiée était majoritairement des Gourounsi (62,6 %) et ils avaient pour
principales activités, l’agriculture et l’élevage. La majorité de la
population riveraine (81%) affirmait avoir un accès au RGN et y organise
souvent leurs cérémonies culturelles (29,3%). Quant au personnel du
RGN, la majorité (86%) dit n’avoir jamais reçu une formation sur les
pathologies et les risques sanitaires liés à la faune sauvage. Par ailleurs,
61% d’entre eux reconnaissent que leur activité professionnel les expose
aux pathogènes d’origine faunique. La majorité des riverains et du
personnel du RGN (82 %), affirment avoir déjà vu une carcasse
d’animaux sauvages dans le Ranch ou dans les ZOVIC. Quant à l’usage,
qu’ils en font, environ la moitié laisse la carcasse des animaux sur place
(50,9 %) et 43 % la ramassent pour la consommation. L’étude a
également révélé que la manipulation de la viande et des carcasses
d’animaux sauvages se faisait sans aucune protection (92,4 %) et dans
72,4 % des cas, la viande de brousse est consommée sans une inspection
sanitaire et de salubrité. Plus de la moitié des personnes interviewées
(61%), partagent souvent les mêmes sources d’eau avec les animaux
sauvages à travers la consommation de l’eau dans les barrages. La
majorité du personnel enquêté (82%) affirment qu’il n’existe pas de
surveillance sanitaire de la faune sauvage au niveau du RGN. Au sujet de
l’interface entre la faune sauvage, 78,4% affirment que les animaux
sauvages et domestiques sont souvent en contacts.
Au regard de l’ensemble des résultats de l’étude, il serait nécessaire de
poursuivre l’étude pour déterminer les dominantes pathologiques de la
faune du Ranch et dépister des pathogènes zoonotiques susceptibles de
circuler au sein de la population riveraine et du personnel du ranch.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) CO-DIRECTEUR : M. DAHOUROU Laibané Dieudonné, Assistant à l’Université de Dédougou (Burkina Faso)/M. YAMEOGO Dieudonné, Dir du Ranch de Gibier de Nazinga (Burkina Faso) DATE DE SOUTENANCE : 05/07/2019 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2871 Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel des aires protégées sur les risques de zoonoses associés aux contacts avec la faune sauvage autour du ranch de gibier de NAZINGA (Burkina Faso) [texte imprimé] / Hamidou Zangré, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : ZOONOSE FAUNE FAUNE SAUVAGE RANCH BURKINA FASO Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La faune sauvage fait objet de protection dans les aires protégées qui de
nos jours, constituent les seuls espoirs pour empêcher que de nombreuses
espèces disparaissent. C’est dans cette optique de protection et de
conservation de l’écosystème, que le Burkina Faso a créé de nombreuses
aires protégées dont, le Ranch de Gibier de Nazinga (RGN). Cependant,
dans un contexte d’émergence ou de réémergence de pathogènes, la faune
sauvage se trouve aujourd’hui être l’un des principaux réservoirs de
nombreux agents pathogènes. Ce contexte, où la faune joue un rôle
extrêmement important dans la transmission de pathogènes zoonotiques
à l’homme, le personnel et la communauté riveraine des aires protégées
vivant en contact de la faune se trouvent potentiellement exposés à ces
pathogènes.
C’est dans ce sens que ce travail a été entrepris pour évaluer leurs
connaissances, attitudes et pratiques à risque dans la transmission de
pathogènes zoonotiques à partir de la faune sauvage. Pour ce faire, une
enquête a été réalisée et elle a concerné 358 personnes dans 10 villages
riverains et auprès du personnel du RGN entre décembre 2018 et février
2019.
Les résultats révèlent que, plus de 40 % des interviewés avaient un âge
compris entre 20 à 40 ans ; 17,3 % étaient des femmes. La population
étudiée était majoritairement des Gourounsi (62,6 %) et ils avaient pour
principales activités, l’agriculture et l’élevage. La majorité de la
population riveraine (81%) affirmait avoir un accès au RGN et y organise
souvent leurs cérémonies culturelles (29,3%). Quant au personnel du
RGN, la majorité (86%) dit n’avoir jamais reçu une formation sur les
pathologies et les risques sanitaires liés à la faune sauvage. Par ailleurs,
61% d’entre eux reconnaissent que leur activité professionnel les expose
aux pathogènes d’origine faunique. La majorité des riverains et du
personnel du RGN (82 %), affirment avoir déjà vu une carcasse
d’animaux sauvages dans le Ranch ou dans les ZOVIC. Quant à l’usage,
qu’ils en font, environ la moitié laisse la carcasse des animaux sur place
(50,9 %) et 43 % la ramassent pour la consommation. L’étude a
également révélé que la manipulation de la viande et des carcasses
d’animaux sauvages se faisait sans aucune protection (92,4 %) et dans
72,4 % des cas, la viande de brousse est consommée sans une inspection
sanitaire et de salubrité. Plus de la moitié des personnes interviewées
(61%), partagent souvent les mêmes sources d’eau avec les animaux
sauvages à travers la consommation de l’eau dans les barrages. La
majorité du personnel enquêté (82%) affirment qu’il n’existe pas de
surveillance sanitaire de la faune sauvage au niveau du RGN. Au sujet de
l’interface entre la faune sauvage, 78,4% affirment que les animaux
sauvages et domestiques sont souvent en contacts.
Au regard de l’ensemble des résultats de l’étude, il serait nécessaire de
poursuivre l’étude pour déterminer les dominantes pathologiques de la
faune du Ranch et dépister des pathogènes zoonotiques susceptibles de
circuler au sein de la population riveraine et du personnel du ranch.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) CO-DIRECTEUR : M. DAHOUROU Laibané Dieudonné, Assistant à l’Université de Dédougou (Burkina Faso)/M. YAMEOGO Dieudonné, Dir du Ranch de Gibier de Nazinga (Burkina Faso) DATE DE SOUTENANCE : 05/07/2019 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2871 Réservation
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MEM19-19Adobe Acrobat PDFAnalyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel du Parc National W-Niger sur les risques zoonotiques associés aux contacts avec la faune sauvage / Guero Hamidou Abdoul-Wahab Moussa (2019)
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Titre : Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel du Parc National W-Niger sur les risques zoonotiques associés aux contacts avec la faune sauvage Type de document : texte imprimé Auteurs : Guero Hamidou Abdoul-Wahab Moussa, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : FAUNE FAUNE SAUVAGE ZOONOSE TRANSMISSION DES MALADIES PARC NATIONAL W NIGER NIGER Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’objectif général de ce travail est d’analyser le niveau de
connaissances, des attitudes et pratiques du personnel du
parc de W et des communautés riveraines sur les
zoonoses liées à la faune sauvage au Niger. Il s’est agi de
manière spécifique (i) de caractériser les populations
enquêtée, (ii) d’évaluer les connaissances du personnel du
parc de W et des communautés riveraines sur les
zoonoses liées à la faune ;(iii) d’identifier les attitudes et
les pratiques des populations et du personnel forestier
autour du parc W en relation avec les agents pathogènes
provenant de la faune sauvage. L’étude a porté sur 615
personnes réparties dans 41 villages et hameaux.
L’analyse des résultats nous a permis de faire un état de
lieux sur les paramètres suivants : 50% des personnes
interrogées avaient un âge compris entre 40 à 60 ans, Les
populations sont composées d’agriculteurs 65% et
pratiquent principalement l’islam (90.2%), La population
enquêtée était majoritairement des zarma-songhai
(40,8%), plus de 90% de la population enquêtée n’était
pas scolarisée. Sur 615 personnes enquêtées, 47,8%
savaient que les animaux peuvent transmettre des
maladies à l’homme et 28,6% et 17,5% affirmaient
respectivement que les singes et les phacochères sont
impliqués dans la transmission des zoonoses. La
proportion des personnes qui savaient que les animaux
sauvages peuvent transmettre des maladies à l’homme
était significativement plus élevée chez les hommes (81
%) que les chez les femmes (19 %). En ce qui concerne
les attitudes et les pratiques des populations et agents
forestiers il faut reconnaitre que 9,7% des répondants ont
affirmé qu’ils manipulent les animaux sauvages et
seulement 10% de ces personnes se protègent lors de la
manipulation. En plus, 28,5% ont déclaré avoir
consommé la viande des animaux sauvages, et parmi ces
personnes seulement 1,62% ont attesté que la viande
qu’ils ont consommée a été inspectée. Parmi les animaux
les plus consommés il en ressort que 30,8% ont
consommé le Cob de Buffon, 18,2% le Phacochère et
15,4% le Buffle. La proportion des personnes qui
pensaient qu’il peut y avoir un contact perpétuel entre les
animaux domestiques et les animaux sauvages était
significativement plus élevée (p=0,0001). Enfin 7,64% de
la population consomme de la viande de brousse, ne se
protège pas lors des manipulations des animaux sauvages
et n’inspecte pas les animaux consommés et, 22,72% de
la population possède des animaux domestiques qui sont
en contact avec les animaux sauvages, a été mordue ou
blessée par les animaux sauvages et a consommé des
cadavres d’animaux sauvages.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr Titulaire à l’EISMV – DAKAR MEMBRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar /M. AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) CO-DIRECTEUR : M. DAHOUROU Laibané Dieudonné, Assistant à l’Université de Dédougou (Burkina Faso) ENCADRANT : M. DJIBO Mamane, Dir des Parcs Nationaux et des Réserves au Niger DATE DE SOUTENANCE : 02/08/2019 PAYS : NIGER Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2879 Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel du Parc National W-Niger sur les risques zoonotiques associés aux contacts avec la faune sauvage [texte imprimé] / Guero Hamidou Abdoul-Wahab Moussa, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : FAUNE FAUNE SAUVAGE ZOONOSE TRANSMISSION DES MALADIES PARC NATIONAL W NIGER NIGER Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’objectif général de ce travail est d’analyser le niveau de
connaissances, des attitudes et pratiques du personnel du
parc de W et des communautés riveraines sur les
zoonoses liées à la faune sauvage au Niger. Il s’est agi de
manière spécifique (i) de caractériser les populations
enquêtée, (ii) d’évaluer les connaissances du personnel du
parc de W et des communautés riveraines sur les
zoonoses liées à la faune ;(iii) d’identifier les attitudes et
les pratiques des populations et du personnel forestier
autour du parc W en relation avec les agents pathogènes
provenant de la faune sauvage. L’étude a porté sur 615
personnes réparties dans 41 villages et hameaux.
L’analyse des résultats nous a permis de faire un état de
lieux sur les paramètres suivants : 50% des personnes
interrogées avaient un âge compris entre 40 à 60 ans, Les
populations sont composées d’agriculteurs 65% et
pratiquent principalement l’islam (90.2%), La population
enquêtée était majoritairement des zarma-songhai
(40,8%), plus de 90% de la population enquêtée n’était
pas scolarisée. Sur 615 personnes enquêtées, 47,8%
savaient que les animaux peuvent transmettre des
maladies à l’homme et 28,6% et 17,5% affirmaient
respectivement que les singes et les phacochères sont
impliqués dans la transmission des zoonoses. La
proportion des personnes qui savaient que les animaux
sauvages peuvent transmettre des maladies à l’homme
était significativement plus élevée chez les hommes (81
%) que les chez les femmes (19 %). En ce qui concerne
les attitudes et les pratiques des populations et agents
forestiers il faut reconnaitre que 9,7% des répondants ont
affirmé qu’ils manipulent les animaux sauvages et
seulement 10% de ces personnes se protègent lors de la
manipulation. En plus, 28,5% ont déclaré avoir
consommé la viande des animaux sauvages, et parmi ces
personnes seulement 1,62% ont attesté que la viande
qu’ils ont consommée a été inspectée. Parmi les animaux
les plus consommés il en ressort que 30,8% ont
consommé le Cob de Buffon, 18,2% le Phacochère et
15,4% le Buffle. La proportion des personnes qui
pensaient qu’il peut y avoir un contact perpétuel entre les
animaux domestiques et les animaux sauvages était
significativement plus élevée (p=0,0001). Enfin 7,64% de
la population consomme de la viande de brousse, ne se
protège pas lors des manipulations des animaux sauvages
et n’inspecte pas les animaux consommés et, 22,72% de
la population possède des animaux domestiques qui sont
en contact avec les animaux sauvages, a été mordue ou
blessée par les animaux sauvages et a consommé des
cadavres d’animaux sauvages.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr Titulaire à l’EISMV – DAKAR MEMBRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar /M. AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) CO-DIRECTEUR : M. DAHOUROU Laibané Dieudonné, Assistant à l’Université de Dédougou (Burkina Faso) ENCADRANT : M. DJIBO Mamane, Dir des Parcs Nationaux et des Réserves au Niger DATE DE SOUTENANCE : 02/08/2019 PAYS : NIGER Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2879 Réservation
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Titre : Contribution au système de surveillance épidémiologique des maladies animales : mise en place d’un Réseau intégré d’Epidémio Surveillance de la Faune Sauvage Sauvage du Sénégal (RESFS) Type de document : texte imprimé Auteurs : Thialao Sarr, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE MALADIE DES ANIMAUX FAUNE FAUNE SAUVAGE SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Le contrôle des maladies animales dépend de la maîtrise des risques de contact avec la faune
sauvage. A cela s’ajoute les mutations dues aux changements climatiques et à la
mondialisation.
Le Sénégal a un Système National de Surveillance Epidémiologique (SNSE) qui permet
de surveiller la situation sanitaire et d'adapter le contrôle des maladies animales.
Son réseau de plus d’une dizaine d’aires protégées qui hébergent une importante biodiversité,
rend spécifique la surveillance des maladies animales, parce qu'il joue un rôle très important
dans le maintien et la transmission des maladies. A cet effet, la Direction des Parcs Nationaux
en collaboration avec tous les acteurs veut mettre en place un réseau de surveillance
épidémiologique plus spécifique des animaux sauvages afin de contribuer au contrôle des
maladies animales.
La méthodologie de l’étude consiste à élaborer et administrer un questionnaire à cinq
structures impliquées dans la gestion de la santé animale et à quatre institutions de recherche.
Les données ont été saisies dans le logiciel Sphinx V5 puis analysées. La population cible est
constituée des agents de la santé humaine (région médicale, poste, case de santé, cabinets
privés), des Vétérinaires publiques et privés, des chercheurs, des agents des projets de santé
animale et de conservation des ressources naturelles, et enfin des populations périphériques
des parcs et réserves (écogardes, chasseurs, pisteurs, éleveurs, agriculteurs).
Un choix de cinq personnes de vingt-deux structures impliquées dans la gestion de la santé
des animaux sauvages et la conservation des ressources naturelles des six différentes zones
éco géographiques du Sénégal a été fait au hasard. La taille de l’échantillon a été : n = 5 x 22
= 110 + 4 (Institution de Recherches) = 114 personnes. Un atelier de partage des résultats
de l’étude a été organisé avec l'aide de la FAO ECTAD. Les résultats ont permis d’identifier
les acteurs du réseau et leurs rôles, les outils de collecte, les normes de transmissions et
moyens de transport des prélèvements, le circuit de partage de l’information sanitaire de la
faune sauvage. Le RESFS dispose de trois niveaux avec des personnes accréditées. Des
recommandations de prendre deux arrêtés portant création de la division santé animale à la
DPN, la subdivision du territoire national en six zones éco géographiques ont été formulées.
A cela s’ajoutent, le renforcement des capacités opérationnelles (équipement et formation), la
vulgarisation et enfin l’organisation d’un exercice de simulation. La fréquence élevée des non
réponses à certaines questions de l’enquête s’expliquent par la méconnaissance des
interlocuteurs de la surveillance sanitaire de la faune sauvage.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) MEMBRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. GBATI Oubri Bassa, Maitre de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : Vétérinaire Lt Colonel YOUM Babacar NGor, Dir Adjoint des parcs nationaux (Sénégal)/Dr NDIAYE Youssou, Expert en épidémiologie à la FAO, ECTAD (Sénégal) PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2880 Contribution au système de surveillance épidémiologique des maladies animales : mise en place d’un Réseau intégré d’Epidémio Surveillance de la Faune Sauvage Sauvage du Sénégal (RESFS) [texte imprimé] / Thialao Sarr, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 30 p.
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Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE MALADIE DES ANIMAUX FAUNE FAUNE SAUVAGE SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Le contrôle des maladies animales dépend de la maîtrise des risques de contact avec la faune
sauvage. A cela s’ajoute les mutations dues aux changements climatiques et à la
mondialisation.
Le Sénégal a un Système National de Surveillance Epidémiologique (SNSE) qui permet
de surveiller la situation sanitaire et d'adapter le contrôle des maladies animales.
Son réseau de plus d’une dizaine d’aires protégées qui hébergent une importante biodiversité,
rend spécifique la surveillance des maladies animales, parce qu'il joue un rôle très important
dans le maintien et la transmission des maladies. A cet effet, la Direction des Parcs Nationaux
en collaboration avec tous les acteurs veut mettre en place un réseau de surveillance
épidémiologique plus spécifique des animaux sauvages afin de contribuer au contrôle des
maladies animales.
La méthodologie de l’étude consiste à élaborer et administrer un questionnaire à cinq
structures impliquées dans la gestion de la santé animale et à quatre institutions de recherche.
Les données ont été saisies dans le logiciel Sphinx V5 puis analysées. La population cible est
constituée des agents de la santé humaine (région médicale, poste, case de santé, cabinets
privés), des Vétérinaires publiques et privés, des chercheurs, des agents des projets de santé
animale et de conservation des ressources naturelles, et enfin des populations périphériques
des parcs et réserves (écogardes, chasseurs, pisteurs, éleveurs, agriculteurs).
Un choix de cinq personnes de vingt-deux structures impliquées dans la gestion de la santé
des animaux sauvages et la conservation des ressources naturelles des six différentes zones
éco géographiques du Sénégal a été fait au hasard. La taille de l’échantillon a été : n = 5 x 22
= 110 + 4 (Institution de Recherches) = 114 personnes. Un atelier de partage des résultats
de l’étude a été organisé avec l'aide de la FAO ECTAD. Les résultats ont permis d’identifier
les acteurs du réseau et leurs rôles, les outils de collecte, les normes de transmissions et
moyens de transport des prélèvements, le circuit de partage de l’information sanitaire de la
faune sauvage. Le RESFS dispose de trois niveaux avec des personnes accréditées. Des
recommandations de prendre deux arrêtés portant création de la division santé animale à la
DPN, la subdivision du territoire national en six zones éco géographiques ont été formulées.
A cela s’ajoutent, le renforcement des capacités opérationnelles (équipement et formation), la
vulgarisation et enfin l’organisation d’un exercice de simulation. La fréquence élevée des non
réponses à certaines questions de l’enquête s’expliquent par la méconnaissance des
interlocuteurs de la surveillance sanitaire de la faune sauvage.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) MEMBRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. GBATI Oubri Bassa, Maitre de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : Vétérinaire Lt Colonel YOUM Babacar NGor, Dir Adjoint des parcs nationaux (Sénégal)/Dr NDIAYE Youssou, Expert en épidémiologie à la FAO, ECTAD (Sénégal) PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2880 Réservation
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MEM19-28Adobe Acrobat PDFÉtude ethno-zoologique de l’exploitation de la faune sauvage au Bénin / Bérenger Dimas VITOULEY (2022)
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Titre : Étude ethno-zoologique de l’exploitation de la faune sauvage au Bénin Type de document : texte imprimé Auteurs : Bérenger Dimas VITOULEY, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2022 Importance : 105p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2022 Mots-clés : FAUNE SAUVAGE ETHNOZOOLOGIE ZOOTHERAPIE ZOONOSE BENIN Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Le contact Homme – Faune sauvage (ethnozoologie) est toujours d’actualité dans le monde et les risques zoonotiques potentiels qui en découlent sont énormes. Ce qui nous pousse à faire une étude ethno-zoologique et les risques zoonotiques potentiels de la faune sauvage au Bénin. Cette étude a été conduite par la combinaison de deux approches : l’observation, l’enquête d’opinion et l’enquête participative inclusive. Une enquête descriptive transversale a été faite en visant la caractérisation de l’exploitation de la faune sauvage terrestre béninoise par les populations ainsi que les connaissances endogènes desdits utilisateurs sur les risques zoonotiques liés à la manipulation et ou la consommation des gibiers. La participation personnelle à des activités d’exploitation de la faune sauvage (parties de chasses réelles, écotourisme et ethnopharmacologie) a été le principal moyen d’investigation dans cette étude. Ladite étude s’est déroulée sur le territoire Béninois et plus précisément dans la région septentrionale en zone riveraine des parcs nationaux (le parc Penjari et le parc W) et dans les métropoles du centre et du sud du pays.
Cette étude nous a permis de résulter que les principales formes d’utilisation de la faune sauvage au Bénin sont la chasse et le tourisme. La chasse fournit aux populations béninoises l’essentiel de viandes de brousse et de pièces anatomiques très utilisées comme drogues animales dans le traitement de maladies humaines. Ces utilisations procèdent des connaissances et pratiques ethno-zoologiques des sociétés africaines et donnent lieu en un véritable tissu économique local. Par ailleurs, la faune béninoise permet le développement de circuits touristiques de vision dans les aires protégées. Mais les récentes incursions de djihadistes qui ont faits de nombreuses victimes aux rangs des forces de sécurités dans et autour des réserves ont mis en mal ce secteur d’exploitation. Si les populations ont bonne conscience des avantages qu’il y a dans l’exploitation de la faune, elles n’ont aucune idée des dangers qu’elles encourent à travers leurs activités et habitudes alimentaires impliquant les gibiers.
Dans ces contextes, il s’avère indispensable que l’État Béninois reconsidère le cadre légal et règlementaire des activités concernant la chasse. Il serait judicieux d’impliquer les populations locales et autochtones dans la gestion durable des aires protégées et des zones cynégétiques et d’adopter une stratégie durable valorisant toutes les richesses naturelles des aires protégées du pays par le tourisme cynégétique et l’écotourisme. Ces recommandations ne sont envisageables que sur la base d’une liste très restrictive d’espèces autorisées à la chasse suivant la saison et les régions, et sur la base des quotas très stricts de ventes de la viande de brousse par personne et par jour. Tout en mettant en oeuvre un contrôle visuel (inspection post mortem, contrôle rigoureux sur les lieux de vente), suivi dans la mesure du possible de contrôles inspirés, dans un premier temps, de la méthode « HACCP » pour la qualité des produits sur le marché.PRESIDENT DE JURY : Mme SYLLA GUEYE Rokhaya, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. ATTINDEHOU Sabbas, Maître de Conférences Agrégé à l’UNA de Porto-Novo Monsieur Rock Allister LAPO RAPPORTEUR : M. GBATI Oubri Bassa, Maître de Conférences agrégé à l'EISMV de Dakar MEMBRE : M. LAPO Rock Allister, Maître de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar ENCADRANT : M. ATTINDEHOU Sabbas, Maître de Conférences Agrégé à l’UNA de Porto-Novo Monsieur Rock Allister LAPO CO-ENCADRANT : M. N’DA Kacou Martial, ATER à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 27/12/2022 PAYS : Bénin Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4997 Étude ethno-zoologique de l’exploitation de la faune sauvage au Bénin [texte imprimé] / Bérenger Dimas VITOULEY, Auteur . - Dakar : EISMV, 2022 . - 105p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2022 Mots-clés : FAUNE SAUVAGE ETHNOZOOLOGIE ZOOTHERAPIE ZOONOSE BENIN Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Le contact Homme – Faune sauvage (ethnozoologie) est toujours d’actualité dans le monde et les risques zoonotiques potentiels qui en découlent sont énormes. Ce qui nous pousse à faire une étude ethno-zoologique et les risques zoonotiques potentiels de la faune sauvage au Bénin. Cette étude a été conduite par la combinaison de deux approches : l’observation, l’enquête d’opinion et l’enquête participative inclusive. Une enquête descriptive transversale a été faite en visant la caractérisation de l’exploitation de la faune sauvage terrestre béninoise par les populations ainsi que les connaissances endogènes desdits utilisateurs sur les risques zoonotiques liés à la manipulation et ou la consommation des gibiers. La participation personnelle à des activités d’exploitation de la faune sauvage (parties de chasses réelles, écotourisme et ethnopharmacologie) a été le principal moyen d’investigation dans cette étude. Ladite étude s’est déroulée sur le territoire Béninois et plus précisément dans la région septentrionale en zone riveraine des parcs nationaux (le parc Penjari et le parc W) et dans les métropoles du centre et du sud du pays.
Cette étude nous a permis de résulter que les principales formes d’utilisation de la faune sauvage au Bénin sont la chasse et le tourisme. La chasse fournit aux populations béninoises l’essentiel de viandes de brousse et de pièces anatomiques très utilisées comme drogues animales dans le traitement de maladies humaines. Ces utilisations procèdent des connaissances et pratiques ethno-zoologiques des sociétés africaines et donnent lieu en un véritable tissu économique local. Par ailleurs, la faune béninoise permet le développement de circuits touristiques de vision dans les aires protégées. Mais les récentes incursions de djihadistes qui ont faits de nombreuses victimes aux rangs des forces de sécurités dans et autour des réserves ont mis en mal ce secteur d’exploitation. Si les populations ont bonne conscience des avantages qu’il y a dans l’exploitation de la faune, elles n’ont aucune idée des dangers qu’elles encourent à travers leurs activités et habitudes alimentaires impliquant les gibiers.
Dans ces contextes, il s’avère indispensable que l’État Béninois reconsidère le cadre légal et règlementaire des activités concernant la chasse. Il serait judicieux d’impliquer les populations locales et autochtones dans la gestion durable des aires protégées et des zones cynégétiques et d’adopter une stratégie durable valorisant toutes les richesses naturelles des aires protégées du pays par le tourisme cynégétique et l’écotourisme. Ces recommandations ne sont envisageables que sur la base d’une liste très restrictive d’espèces autorisées à la chasse suivant la saison et les régions, et sur la base des quotas très stricts de ventes de la viande de brousse par personne et par jour. Tout en mettant en oeuvre un contrôle visuel (inspection post mortem, contrôle rigoureux sur les lieux de vente), suivi dans la mesure du possible de contrôles inspirés, dans un premier temps, de la méthode « HACCP » pour la qualité des produits sur le marché.PRESIDENT DE JURY : Mme SYLLA GUEYE Rokhaya, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. ATTINDEHOU Sabbas, Maître de Conférences Agrégé à l’UNA de Porto-Novo Monsieur Rock Allister LAPO RAPPORTEUR : M. GBATI Oubri Bassa, Maître de Conférences agrégé à l'EISMV de Dakar MEMBRE : M. LAPO Rock Allister, Maître de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar ENCADRANT : M. ATTINDEHOU Sabbas, Maître de Conférences Agrégé à l’UNA de Porto-Novo Monsieur Rock Allister LAPO CO-ENCADRANT : M. N’DA Kacou Martial, ATER à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 27/12/2022 PAYS : Bénin Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4997 Réservation
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TD22-68Adobe Acrobat PDFOne health: the theory and practice of integrated health approaches / J. Zinsstag (2018)
Titre : One health: the theory and practice of integrated health approaches Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Zinsstag, Auteur Editeur : Wallingford : CABI Année de publication : 2018 Importance : 147 p. Langues : Français (fre) Catégories : DOCUMENTATION MEDECINE VETERINAIRE ET PRODUCTION ANIMALE:Pathologie Mots-clés : SANTE PUBLIQUE VACCINATION FAUNE SAUVAGE BIEN ETRE ANIMAL Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4633 One health: the theory and practice of integrated health approaches [texte imprimé] / J. Zinsstag, Auteur . - Wallingford : CABI, 2018 . - 147 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : DOCUMENTATION MEDECINE VETERINAIRE ET PRODUCTION ANIMALE:Pathologie Mots-clés : SANTE PUBLIQUE VACCINATION FAUNE SAUVAGE BIEN ETRE ANIMAL Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4633 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité D2769 PT271/272 Livre Bibliothèque (SID) Documentaires Disponible One health : the theory and practice of integrated health approaches / J. Zinsstag (2018)
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