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Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des eleveurs de bovins de la province du Zoundweogo (Burkina Faso) sur la brucellose et la tuberculose / Wendlassida Brice Armel Ouedraogo (2019)
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Titre : Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des eleveurs de bovins de la province du Zoundweogo (Burkina Faso) sur la brucellose et la tuberculose Type de document : texte imprimé Auteurs : Wendlassida Brice Armel Ouedraogo, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : BRUCELLOSE TUBERCULOSE BOVIN MALADIE DES ANIMAUX BURKINA FASO Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’étude a été réalisée dans l’objectif d’étudier les
connaissances, les attitudes et les pratiques des populations
dans la province du Zoundwéogo en relation avec la
tuberculose et la brucellose chez les bovins. Pour ce faire nous
avons réalisé une enquête CAP par administration d’un
questionnaire à trois cent quatre-vingt-sept (387) éleveurs de
quatre (4) communes de la province du Zoundwéogo.
Respectivement 76,2% et 20 % des éleveurs enquêtés ont déjà
entendu parler de la brucellose chez les bovins et chez
l’homme. Pour la tuberculose, ces pourcentages ont été
respectivement de 96,4% et 50,9%. Les signes cliniques cités
chez les animaux étaient les hygromas (81,4%) pour la
brucellose et la toux (97,3%) pour la tuberculose. L’étude a
aussi révélé que la traite manuelle des vaches était pratiquée
par 82,4% des éleveurs. Par ailleurs, 67,2% des éleveurs ne se
lavaient pas les mains après le contact avec un animal malade.
Le lait cru était consommé par 94,6% des enquêtés. En
revanche, les viandes cadavériques elles l’étaient seulement
pour 11,4% d’entre eux. Une proportion de 64,1% des
éleveurs apportait son assistance aux vaches lors de mise-bas
dystociques et seulement 10% d’entre eux portait de gants lors
de ces opérations. Les annexes embryonnaires étaient
manipulées à mains nues par 52,5% des répondants. Au total,
89,9% des répondants ont observé des avortements de vaches
dans leur exploitation et 60,3% d’entre eux, ont déjà manipulé
les avortons et autres membranes à mains nues. Les
diagrammes de Venn ont montré que certains éleveurs
combinaient des lacunes, des attitudes et des pratiques qui les
exposaient à un risque élevé de transmission de ces zoonoses.
Les résultats de cette étude témoignent d’une bonne
connaissance de la tuberculose et de la brucellose bovine.
Cependant, il y a une forte exposition des éleveurs de la
province du Zoundwéogo aux risques de transmission de la
brucellose et à la tuberculose bovinePRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : M. AYIH-AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’E.I.S.M.V. de Dakar CO-DIRECTEUR : M. DAHOUROU Laibané Dieudonné, Assistant à l’Université de Dédougou (Burkina Faso) /M. OUEDRAOGO Saïdou, Dir Régional des Ressources Animales et Halieutiques du Centre Sud (Burkina Faso) DATE DE SOUTENANCE : 05/07/2019 PAYS : Burkina Faso Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2872 Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des eleveurs de bovins de la province du Zoundweogo (Burkina Faso) sur la brucellose et la tuberculose [texte imprimé] / Wendlassida Brice Armel Ouedraogo, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : BRUCELLOSE TUBERCULOSE BOVIN MALADIE DES ANIMAUX BURKINA FASO Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’étude a été réalisée dans l’objectif d’étudier les
connaissances, les attitudes et les pratiques des populations
dans la province du Zoundwéogo en relation avec la
tuberculose et la brucellose chez les bovins. Pour ce faire nous
avons réalisé une enquête CAP par administration d’un
questionnaire à trois cent quatre-vingt-sept (387) éleveurs de
quatre (4) communes de la province du Zoundwéogo.
Respectivement 76,2% et 20 % des éleveurs enquêtés ont déjà
entendu parler de la brucellose chez les bovins et chez
l’homme. Pour la tuberculose, ces pourcentages ont été
respectivement de 96,4% et 50,9%. Les signes cliniques cités
chez les animaux étaient les hygromas (81,4%) pour la
brucellose et la toux (97,3%) pour la tuberculose. L’étude a
aussi révélé que la traite manuelle des vaches était pratiquée
par 82,4% des éleveurs. Par ailleurs, 67,2% des éleveurs ne se
lavaient pas les mains après le contact avec un animal malade.
Le lait cru était consommé par 94,6% des enquêtés. En
revanche, les viandes cadavériques elles l’étaient seulement
pour 11,4% d’entre eux. Une proportion de 64,1% des
éleveurs apportait son assistance aux vaches lors de mise-bas
dystociques et seulement 10% d’entre eux portait de gants lors
de ces opérations. Les annexes embryonnaires étaient
manipulées à mains nues par 52,5% des répondants. Au total,
89,9% des répondants ont observé des avortements de vaches
dans leur exploitation et 60,3% d’entre eux, ont déjà manipulé
les avortons et autres membranes à mains nues. Les
diagrammes de Venn ont montré que certains éleveurs
combinaient des lacunes, des attitudes et des pratiques qui les
exposaient à un risque élevé de transmission de ces zoonoses.
Les résultats de cette étude témoignent d’une bonne
connaissance de la tuberculose et de la brucellose bovine.
Cependant, il y a une forte exposition des éleveurs de la
province du Zoundwéogo aux risques de transmission de la
brucellose et à la tuberculose bovinePRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : M. AYIH-AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’E.I.S.M.V. de Dakar CO-DIRECTEUR : M. DAHOUROU Laibané Dieudonné, Assistant à l’Université de Dédougou (Burkina Faso) /M. OUEDRAOGO Saïdou, Dir Régional des Ressources Animales et Halieutiques du Centre Sud (Burkina Faso) DATE DE SOUTENANCE : 05/07/2019 PAYS : Burkina Faso Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2872 Réservation
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MEM19-20Adobe Acrobat PDFAnalyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel des aires protégées sur les risques de zoonoses associés aux contacts avec la faune sauvage autour du ranch de gibier de NAZINGA (Burkina Faso) / Hamidou Zangré (2019)
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Titre : Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel des aires protégées sur les risques de zoonoses associés aux contacts avec la faune sauvage autour du ranch de gibier de NAZINGA (Burkina Faso) Type de document : texte imprimé Auteurs : Hamidou Zangré, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : ZOONOSE FAUNE FAUNE SAUVAGE RANCH BURKINA FASO Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La faune sauvage fait objet de protection dans les aires protégées qui de
nos jours, constituent les seuls espoirs pour empêcher que de nombreuses
espèces disparaissent. C’est dans cette optique de protection et de
conservation de l’écosystème, que le Burkina Faso a créé de nombreuses
aires protégées dont, le Ranch de Gibier de Nazinga (RGN). Cependant,
dans un contexte d’émergence ou de réémergence de pathogènes, la faune
sauvage se trouve aujourd’hui être l’un des principaux réservoirs de
nombreux agents pathogènes. Ce contexte, où la faune joue un rôle
extrêmement important dans la transmission de pathogènes zoonotiques
à l’homme, le personnel et la communauté riveraine des aires protégées
vivant en contact de la faune se trouvent potentiellement exposés à ces
pathogènes.
C’est dans ce sens que ce travail a été entrepris pour évaluer leurs
connaissances, attitudes et pratiques à risque dans la transmission de
pathogènes zoonotiques à partir de la faune sauvage. Pour ce faire, une
enquête a été réalisée et elle a concerné 358 personnes dans 10 villages
riverains et auprès du personnel du RGN entre décembre 2018 et février
2019.
Les résultats révèlent que, plus de 40 % des interviewés avaient un âge
compris entre 20 à 40 ans ; 17,3 % étaient des femmes. La population
étudiée était majoritairement des Gourounsi (62,6 %) et ils avaient pour
principales activités, l’agriculture et l’élevage. La majorité de la
population riveraine (81%) affirmait avoir un accès au RGN et y organise
souvent leurs cérémonies culturelles (29,3%). Quant au personnel du
RGN, la majorité (86%) dit n’avoir jamais reçu une formation sur les
pathologies et les risques sanitaires liés à la faune sauvage. Par ailleurs,
61% d’entre eux reconnaissent que leur activité professionnel les expose
aux pathogènes d’origine faunique. La majorité des riverains et du
personnel du RGN (82 %), affirment avoir déjà vu une carcasse
d’animaux sauvages dans le Ranch ou dans les ZOVIC. Quant à l’usage,
qu’ils en font, environ la moitié laisse la carcasse des animaux sur place
(50,9 %) et 43 % la ramassent pour la consommation. L’étude a
également révélé que la manipulation de la viande et des carcasses
d’animaux sauvages se faisait sans aucune protection (92,4 %) et dans
72,4 % des cas, la viande de brousse est consommée sans une inspection
sanitaire et de salubrité. Plus de la moitié des personnes interviewées
(61%), partagent souvent les mêmes sources d’eau avec les animaux
sauvages à travers la consommation de l’eau dans les barrages. La
majorité du personnel enquêté (82%) affirment qu’il n’existe pas de
surveillance sanitaire de la faune sauvage au niveau du RGN. Au sujet de
l’interface entre la faune sauvage, 78,4% affirment que les animaux
sauvages et domestiques sont souvent en contacts.
Au regard de l’ensemble des résultats de l’étude, il serait nécessaire de
poursuivre l’étude pour déterminer les dominantes pathologiques de la
faune du Ranch et dépister des pathogènes zoonotiques susceptibles de
circuler au sein de la population riveraine et du personnel du ranch.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) CO-DIRECTEUR : M. DAHOUROU Laibané Dieudonné, Assistant à l’Université de Dédougou (Burkina Faso)/M. YAMEOGO Dieudonné, Dir du Ranch de Gibier de Nazinga (Burkina Faso) DATE DE SOUTENANCE : 05/07/2019 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2871 Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel des aires protégées sur les risques de zoonoses associés aux contacts avec la faune sauvage autour du ranch de gibier de NAZINGA (Burkina Faso) [texte imprimé] / Hamidou Zangré, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : ZOONOSE FAUNE FAUNE SAUVAGE RANCH BURKINA FASO Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La faune sauvage fait objet de protection dans les aires protégées qui de
nos jours, constituent les seuls espoirs pour empêcher que de nombreuses
espèces disparaissent. C’est dans cette optique de protection et de
conservation de l’écosystème, que le Burkina Faso a créé de nombreuses
aires protégées dont, le Ranch de Gibier de Nazinga (RGN). Cependant,
dans un contexte d’émergence ou de réémergence de pathogènes, la faune
sauvage se trouve aujourd’hui être l’un des principaux réservoirs de
nombreux agents pathogènes. Ce contexte, où la faune joue un rôle
extrêmement important dans la transmission de pathogènes zoonotiques
à l’homme, le personnel et la communauté riveraine des aires protégées
vivant en contact de la faune se trouvent potentiellement exposés à ces
pathogènes.
C’est dans ce sens que ce travail a été entrepris pour évaluer leurs
connaissances, attitudes et pratiques à risque dans la transmission de
pathogènes zoonotiques à partir de la faune sauvage. Pour ce faire, une
enquête a été réalisée et elle a concerné 358 personnes dans 10 villages
riverains et auprès du personnel du RGN entre décembre 2018 et février
2019.
Les résultats révèlent que, plus de 40 % des interviewés avaient un âge
compris entre 20 à 40 ans ; 17,3 % étaient des femmes. La population
étudiée était majoritairement des Gourounsi (62,6 %) et ils avaient pour
principales activités, l’agriculture et l’élevage. La majorité de la
population riveraine (81%) affirmait avoir un accès au RGN et y organise
souvent leurs cérémonies culturelles (29,3%). Quant au personnel du
RGN, la majorité (86%) dit n’avoir jamais reçu une formation sur les
pathologies et les risques sanitaires liés à la faune sauvage. Par ailleurs,
61% d’entre eux reconnaissent que leur activité professionnel les expose
aux pathogènes d’origine faunique. La majorité des riverains et du
personnel du RGN (82 %), affirment avoir déjà vu une carcasse
d’animaux sauvages dans le Ranch ou dans les ZOVIC. Quant à l’usage,
qu’ils en font, environ la moitié laisse la carcasse des animaux sur place
(50,9 %) et 43 % la ramassent pour la consommation. L’étude a
également révélé que la manipulation de la viande et des carcasses
d’animaux sauvages se faisait sans aucune protection (92,4 %) et dans
72,4 % des cas, la viande de brousse est consommée sans une inspection
sanitaire et de salubrité. Plus de la moitié des personnes interviewées
(61%), partagent souvent les mêmes sources d’eau avec les animaux
sauvages à travers la consommation de l’eau dans les barrages. La
majorité du personnel enquêté (82%) affirment qu’il n’existe pas de
surveillance sanitaire de la faune sauvage au niveau du RGN. Au sujet de
l’interface entre la faune sauvage, 78,4% affirment que les animaux
sauvages et domestiques sont souvent en contacts.
Au regard de l’ensemble des résultats de l’étude, il serait nécessaire de
poursuivre l’étude pour déterminer les dominantes pathologiques de la
faune du Ranch et dépister des pathogènes zoonotiques susceptibles de
circuler au sein de la population riveraine et du personnel du ranch.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) CO-DIRECTEUR : M. DAHOUROU Laibané Dieudonné, Assistant à l’Université de Dédougou (Burkina Faso)/M. YAMEOGO Dieudonné, Dir du Ranch de Gibier de Nazinga (Burkina Faso) DATE DE SOUTENANCE : 05/07/2019 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2871 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M335 MEM19-19 Mémoire Bibliothèque (SID) Mémoires de Master Disponible Documents numériques
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MEM19-19Adobe Acrobat PDFAnalyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel du Parc National W-Niger sur les risques zoonotiques associés aux contacts avec la faune sauvage / Guero Hamidou Abdoul-Wahab Moussa (2019)
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Titre : Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel du Parc National W-Niger sur les risques zoonotiques associés aux contacts avec la faune sauvage Type de document : texte imprimé Auteurs : Guero Hamidou Abdoul-Wahab Moussa, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : FAUNE FAUNE SAUVAGE ZOONOSE TRANSMISSION DES MALADIES PARC NATIONAL W NIGER NIGER Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’objectif général de ce travail est d’analyser le niveau de
connaissances, des attitudes et pratiques du personnel du
parc de W et des communautés riveraines sur les
zoonoses liées à la faune sauvage au Niger. Il s’est agi de
manière spécifique (i) de caractériser les populations
enquêtée, (ii) d’évaluer les connaissances du personnel du
parc de W et des communautés riveraines sur les
zoonoses liées à la faune ;(iii) d’identifier les attitudes et
les pratiques des populations et du personnel forestier
autour du parc W en relation avec les agents pathogènes
provenant de la faune sauvage. L’étude a porté sur 615
personnes réparties dans 41 villages et hameaux.
L’analyse des résultats nous a permis de faire un état de
lieux sur les paramètres suivants : 50% des personnes
interrogées avaient un âge compris entre 40 à 60 ans, Les
populations sont composées d’agriculteurs 65% et
pratiquent principalement l’islam (90.2%), La population
enquêtée était majoritairement des zarma-songhai
(40,8%), plus de 90% de la population enquêtée n’était
pas scolarisée. Sur 615 personnes enquêtées, 47,8%
savaient que les animaux peuvent transmettre des
maladies à l’homme et 28,6% et 17,5% affirmaient
respectivement que les singes et les phacochères sont
impliqués dans la transmission des zoonoses. La
proportion des personnes qui savaient que les animaux
sauvages peuvent transmettre des maladies à l’homme
était significativement plus élevée chez les hommes (81
%) que les chez les femmes (19 %). En ce qui concerne
les attitudes et les pratiques des populations et agents
forestiers il faut reconnaitre que 9,7% des répondants ont
affirmé qu’ils manipulent les animaux sauvages et
seulement 10% de ces personnes se protègent lors de la
manipulation. En plus, 28,5% ont déclaré avoir
consommé la viande des animaux sauvages, et parmi ces
personnes seulement 1,62% ont attesté que la viande
qu’ils ont consommée a été inspectée. Parmi les animaux
les plus consommés il en ressort que 30,8% ont
consommé le Cob de Buffon, 18,2% le Phacochère et
15,4% le Buffle. La proportion des personnes qui
pensaient qu’il peut y avoir un contact perpétuel entre les
animaux domestiques et les animaux sauvages était
significativement plus élevée (p=0,0001). Enfin 7,64% de
la population consomme de la viande de brousse, ne se
protège pas lors des manipulations des animaux sauvages
et n’inspecte pas les animaux consommés et, 22,72% de
la population possède des animaux domestiques qui sont
en contact avec les animaux sauvages, a été mordue ou
blessée par les animaux sauvages et a consommé des
cadavres d’animaux sauvages.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr Titulaire à l’EISMV – DAKAR MEMBRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar /M. AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) CO-DIRECTEUR : M. DAHOUROU Laibané Dieudonné, Assistant à l’Université de Dédougou (Burkina Faso) ENCADRANT : M. DJIBO Mamane, Dir des Parcs Nationaux et des Réserves au Niger DATE DE SOUTENANCE : 02/08/2019 PAYS : NIGER Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2879 Analyse des connaissances, attitudes et pratiques des populations riveraines et du personnel du Parc National W-Niger sur les risques zoonotiques associés aux contacts avec la faune sauvage [texte imprimé] / Guero Hamidou Abdoul-Wahab Moussa, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : FAUNE FAUNE SAUVAGE ZOONOSE TRANSMISSION DES MALADIES PARC NATIONAL W NIGER NIGER Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’objectif général de ce travail est d’analyser le niveau de
connaissances, des attitudes et pratiques du personnel du
parc de W et des communautés riveraines sur les
zoonoses liées à la faune sauvage au Niger. Il s’est agi de
manière spécifique (i) de caractériser les populations
enquêtée, (ii) d’évaluer les connaissances du personnel du
parc de W et des communautés riveraines sur les
zoonoses liées à la faune ;(iii) d’identifier les attitudes et
les pratiques des populations et du personnel forestier
autour du parc W en relation avec les agents pathogènes
provenant de la faune sauvage. L’étude a porté sur 615
personnes réparties dans 41 villages et hameaux.
L’analyse des résultats nous a permis de faire un état de
lieux sur les paramètres suivants : 50% des personnes
interrogées avaient un âge compris entre 40 à 60 ans, Les
populations sont composées d’agriculteurs 65% et
pratiquent principalement l’islam (90.2%), La population
enquêtée était majoritairement des zarma-songhai
(40,8%), plus de 90% de la population enquêtée n’était
pas scolarisée. Sur 615 personnes enquêtées, 47,8%
savaient que les animaux peuvent transmettre des
maladies à l’homme et 28,6% et 17,5% affirmaient
respectivement que les singes et les phacochères sont
impliqués dans la transmission des zoonoses. La
proportion des personnes qui savaient que les animaux
sauvages peuvent transmettre des maladies à l’homme
était significativement plus élevée chez les hommes (81
%) que les chez les femmes (19 %). En ce qui concerne
les attitudes et les pratiques des populations et agents
forestiers il faut reconnaitre que 9,7% des répondants ont
affirmé qu’ils manipulent les animaux sauvages et
seulement 10% de ces personnes se protègent lors de la
manipulation. En plus, 28,5% ont déclaré avoir
consommé la viande des animaux sauvages, et parmi ces
personnes seulement 1,62% ont attesté que la viande
qu’ils ont consommée a été inspectée. Parmi les animaux
les plus consommés il en ressort que 30,8% ont
consommé le Cob de Buffon, 18,2% le Phacochère et
15,4% le Buffle. La proportion des personnes qui
pensaient qu’il peut y avoir un contact perpétuel entre les
animaux domestiques et les animaux sauvages était
significativement plus élevée (p=0,0001). Enfin 7,64% de
la population consomme de la viande de brousse, ne se
protège pas lors des manipulations des animaux sauvages
et n’inspecte pas les animaux consommés et, 22,72% de
la population possède des animaux domestiques qui sont
en contact avec les animaux sauvages, a été mordue ou
blessée par les animaux sauvages et a consommé des
cadavres d’animaux sauvages.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr Titulaire à l’EISMV – DAKAR MEMBRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar /M. AKAKPO Ayayi Justin, Pr à l’EISMV de Dakar (Sénégal) CO-DIRECTEUR : M. DAHOUROU Laibané Dieudonné, Assistant à l’Université de Dédougou (Burkina Faso) ENCADRANT : M. DJIBO Mamane, Dir des Parcs Nationaux et des Réserves au Niger DATE DE SOUTENANCE : 02/08/2019 PAYS : NIGER Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2879 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M343 MEM19-27 Mémoire Bibliothèque (SID) Mémoires de Master Disponible Documents numériques
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MEM19-27Adobe Acrobat PDFAnalyse du fonctionnement et de la gestion des marchés à bétail autogérés au Niger : cas du marché à bétail de Berno / Djafarou Amadou (2019)
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Titre : Analyse du fonctionnement et de la gestion des marchés à bétail autogérés au Niger : cas du marché à bétail de Berno Type de document : texte imprimé Auteurs : Djafarou Amadou, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : COMMERCIALISATION BETAIL NIGER Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La présente étude a pour objectif d’analyse le
fonctionnement et la gestion du marché à bétail de
Bermo. Ce modèle de gestion inspirée des marchés à
bétail autogérés au Nord bénin, est en cours d’exécution
au Niger, notamment dans sa phase pilote.
L’étude descriptive transversale a été réalisée à Bermo
sur un échantillon de 11 groupes d’acteurs constitués de
160 personnes.
Les résultats obtenus ont révélé un investissement
physique important, une bonne organisation et
structuration du marché et de ses acteurs. On note
également une diversité ethnolinguistique et culturelle
des acteurs qui sont en majorité âgés de 35 à 55 ans
(62.5%). Il faut en outre noter que les femmes sont
minoritaires dans l’animation et la gestion des marchés
à bétail. Elles sont rencontrées parmi les éleveurs et les
commerçants où elles représentent respectivement 12,2
et 31% de ces derniers.
Les résultats ont montré également que ce mode de
gestion a eu le mérite d’améliorer les présentations et
ventes des animaux avec une forte domination des ovins
(43,03%) suivis des caprins (31,36%) et bovins
(23,12%). La majorité des éleveurs (90%) fréquentent le
marché à cause de la transparence et le prix des
animaux qui serait relativement supérieur à ceux des
autres marchés.
Il ressort également de cette étude que l’autogestion du
marché de Bermo a eu un impact positif sur le
développement économique de la collectivité et les
acteurs avec respectivement 30 et 25% des recettes
versées. Les recettes de la mairie sont passées du simple
au double depuis que le marché est confié au GIE/KLD.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Dr OSSEBI Walter, Maitre-Assistant à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. ASSANE Moussa, Pr à l’EISMV de Dakar /M. NDIAYE Amadou, Maître de conférences à l’UGB CO-DIRECTEUR : Dr. ADAM Mamadou, Chercheur à l’INRAN Niamey/Niger DATE DE SOUTENANCE : 28/03/2019 PAYS : NIGER Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2813 Analyse du fonctionnement et de la gestion des marchés à bétail autogérés au Niger : cas du marché à bétail de Berno [texte imprimé] / Djafarou Amadou, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : COMMERCIALISATION BETAIL NIGER Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La présente étude a pour objectif d’analyse le
fonctionnement et la gestion du marché à bétail de
Bermo. Ce modèle de gestion inspirée des marchés à
bétail autogérés au Nord bénin, est en cours d’exécution
au Niger, notamment dans sa phase pilote.
L’étude descriptive transversale a été réalisée à Bermo
sur un échantillon de 11 groupes d’acteurs constitués de
160 personnes.
Les résultats obtenus ont révélé un investissement
physique important, une bonne organisation et
structuration du marché et de ses acteurs. On note
également une diversité ethnolinguistique et culturelle
des acteurs qui sont en majorité âgés de 35 à 55 ans
(62.5%). Il faut en outre noter que les femmes sont
minoritaires dans l’animation et la gestion des marchés
à bétail. Elles sont rencontrées parmi les éleveurs et les
commerçants où elles représentent respectivement 12,2
et 31% de ces derniers.
Les résultats ont montré également que ce mode de
gestion a eu le mérite d’améliorer les présentations et
ventes des animaux avec une forte domination des ovins
(43,03%) suivis des caprins (31,36%) et bovins
(23,12%). La majorité des éleveurs (90%) fréquentent le
marché à cause de la transparence et le prix des
animaux qui serait relativement supérieur à ceux des
autres marchés.
Il ressort également de cette étude que l’autogestion du
marché de Bermo a eu un impact positif sur le
développement économique de la collectivité et les
acteurs avec respectivement 30 et 25% des recettes
versées. Les recettes de la mairie sont passées du simple
au double depuis que le marché est confié au GIE/KLD.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Dr OSSEBI Walter, Maitre-Assistant à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. ASSANE Moussa, Pr à l’EISMV de Dakar /M. NDIAYE Amadou, Maître de conférences à l’UGB CO-DIRECTEUR : Dr. ADAM Mamadou, Chercheur à l’INRAN Niamey/Niger DATE DE SOUTENANCE : 28/03/2019 PAYS : NIGER Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2813 Réservation
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MEM19-6Adobe Acrobat PDFAnalyse du marché des intrants zootechniques en aviculture moderne en Guinée / Mamadou Lamarana Ba (2019)
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Titre : Analyse du marché des intrants zootechniques en aviculture moderne en Guinée Type de document : texte imprimé Auteurs : Mamadou Lamarana Ba, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : AVICULTURE MODERNE AVICULTURE POULET ZOOTECHNIE GUINEE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La présente étude dont l’objectif est de décrire le marché des intrants zootechniques de l’aviculture moderne en Guinée a été réalisée dans la zone périurbaine de Conakry (Coyah, Dubréka, Forécariah et Kindia) en raison de sa forte concentration en élevages avicoles modernes et en structures de production d’aliment et de commercialisation d’intrants. Elle a concerné 25 aviculteurs, 15 importateurs et commerçants d’intrants zootechniques ainsi que 8 fabriques d’aliments.
Les résultats de l’étude ont montré que le marché des intrants zootechniques de l’aviculture moderne en Guinée est mal organisé. Cependant, beaucoup d’intermédiaires vivent au dépend de cette filière notamment dans les zones périurbaines où elle contribue à la sécurité alimentaire. Toutefois les revenus des acteurs sont faibles et mal repartis. La filière avicole est dépendante de l’extérieur, la production locale d’intrants alimentaires est faible ajoutée à un manque de production de poussins. Le prix de l’aliment volaille est influencé par les saisons. Les résultats ont montré également, l’absence de laboratoires d’analyses bromatologiques et de fabrication de médicaments.
En somme, le marché des intrants zootechniques est très promoteur en Guinée. Il crée de l’emploi et constitue un moyen de renforcement de la sécurité alimentaire et de lutte contre la pauvreté. Il est important donc, de développer des programmes efficaces en faveur de la commercialisation des intrants zootechniques et de promouvoir des actions dynamiques pour soutenir la filière avicole moderne dans la perspective d’un développement durable.PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Ayao MISSOHOU MEMBRE : Mme Rianatou Bada ALAMBEDJI/M. Moussa ASSANE/M. Walter OSSEBI DATE DE SOUTENANCE : 02/05/2019 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2815 Analyse du marché des intrants zootechniques en aviculture moderne en Guinée [texte imprimé] / Mamadou Lamarana Ba, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : AVICULTURE MODERNE AVICULTURE POULET ZOOTECHNIE GUINEE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La présente étude dont l’objectif est de décrire le marché des intrants zootechniques de l’aviculture moderne en Guinée a été réalisée dans la zone périurbaine de Conakry (Coyah, Dubréka, Forécariah et Kindia) en raison de sa forte concentration en élevages avicoles modernes et en structures de production d’aliment et de commercialisation d’intrants. Elle a concerné 25 aviculteurs, 15 importateurs et commerçants d’intrants zootechniques ainsi que 8 fabriques d’aliments.
Les résultats de l’étude ont montré que le marché des intrants zootechniques de l’aviculture moderne en Guinée est mal organisé. Cependant, beaucoup d’intermédiaires vivent au dépend de cette filière notamment dans les zones périurbaines où elle contribue à la sécurité alimentaire. Toutefois les revenus des acteurs sont faibles et mal repartis. La filière avicole est dépendante de l’extérieur, la production locale d’intrants alimentaires est faible ajoutée à un manque de production de poussins. Le prix de l’aliment volaille est influencé par les saisons. Les résultats ont montré également, l’absence de laboratoires d’analyses bromatologiques et de fabrication de médicaments.
En somme, le marché des intrants zootechniques est très promoteur en Guinée. Il crée de l’emploi et constitue un moyen de renforcement de la sécurité alimentaire et de lutte contre la pauvreté. Il est important donc, de développer des programmes efficaces en faveur de la commercialisation des intrants zootechniques et de promouvoir des actions dynamiques pour soutenir la filière avicole moderne dans la perspective d’un développement durable.PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Ayao MISSOHOU MEMBRE : Mme Rianatou Bada ALAMBEDJI/M. Moussa ASSANE/M. Walter OSSEBI DATE DE SOUTENANCE : 02/05/2019 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2815 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M324 MEM19-8 Mémoire Bibliothèque (SID) Mémoires de Master Disponible Documents numériques
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MEM19-8Adobe Acrobat PDFAnalyse et spatialisation du risque d’introduction et d’exposition du virus de la peste porcine africaine en Côte d’Ivoire en 2018 / Douyeri Thierry Ouattara (2019)
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PermalinkAppréciation de la fiabilité des suspicions lésionnelles de la PPCB à l’abattoir à l’aide de la PCR au laboratoire / Idi Hamadou Moumouni (2019)
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PermalinkPermalinkCaractérisation de l’antibio-résistance de souches de salmonella spp isolées de produits d’origine animale au Sénégal / Maimouna Nguissaly Ndiaye (2019)
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PermalinkCaractérisation génétique des races ovines au Sénégal à l’aide des marqueurs SNP / Basse Kabore (2019)
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PermalinkPermalinkDétection du beta hydroxybutyrate (BHB), de l’urée et du taux cellulaire dans le lait des vaches laitières de la région de Saint-Louis (Sénégal) / Aissatou Coulibaly (2019)
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PermalinkDiagnostic de l’inspection sanitaire et de salubrité des animaux et des viandes aux abattoirs de Dakar / Bocar Hanne (2019)
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PermalinkDistribution des médicaments vétérinaires et pharmacovigilance vétérinaire en Guinée-Bissau / Bernardo Cassama (2019)
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PermalinkDiversité et fréquence des parasites gastro-intestinaux à potentiel zoonotique des Singes Verts dans la réserve de Bandia (Sénégal) / Kacou Martial N’da (2019)
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