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Prévalence des souches de escherichia coli productrices de betalactamases a spectre étendu (BLSE) d’origine animale dans la région de Dakar en 2022 / Christian Diène Faye (2023)
Titre : Prévalence des souches de escherichia coli productrices de betalactamases a spectre étendu (BLSE) d’origine animale dans la région de Dakar en 2022 Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Diène Faye, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 29p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ESCHERICHIA COLI BETALACTAMASES ONE HEALTH Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’émergence de microorganismes multirésistants aux antimicrobiens à l’image des entérobactéries productrices de BLSE constitue une véritable préoccupation en santé publique quant à la mise en œuvre de protocoles thérapeutiques appropriés. En effet, les BLSE sont des enzymes qui confèrent aux entérobactéries la résistance à l'ensemble des bétalactamines à l'exception des céphamycines et des carbapénèmes en plus d'une résistance associée à d'autres familles d'antibiotiques. Cette préoccupation a conduit l’OMS, l’OIE et la FAO, en 2015, à proposer un plan de lutte global endossé en 2016 par l’Assemblée Générale des Nations Unies selon une approche « One Health ». La présente étude rentre dans cette optique de collaboration multisectorielle. Elle a pour objectif général de « Connaitre la prévalence des souches de Escherichia coli productrices de BLSE dans les filières avicole et bovine périurbaines de Dakar ».Pour se faire, une collecte de données sur l'usage des antibiotiques dans 51 fermes avicoles et laitières de la zone périurbaine de Dakar a été associée à 314 prélèvements répartis en écouvillons cloacaux, morceaux de caecum, carcasses de poulets et pots de laits frais de vaches. Les analyses ont été effectuées au LNERV. Au total, trente (30) souches de E. coli, ont été isolées des fermes avicoles par la méthode de screening sur gélose de Mac Conkey + Céfotaxime (0,8uL/ml) et confirmées sur galerie API 20E. Par contre, aucune souche n’a été isolée par screening à partir du lait. La sensibilité de ces isolats a été évaluée vis-à-vis de quinze (15) antibiotiques, appartenant à sept (07) familles différentes, selon la méthode de l’antibiogramme standard par diffusion sur gélose Mueller Hinton suivant les recommandations du CA-SFM. La détection de la production des BLSE sur gélose chez les E. coli a été réalisée par le test de synergie BLSE. Toutes les 30 souches étaient résistantes aux différents antibiotiques testés appartenant à la famille des bétalactamines. Des prévalences de résistances assez élevées ont été notées vis-à-vis de certains antibiotiques d’intérêt tels que les quinolones (acide Nalidixique : 86,66% ; ciprofloxacine : 43,33%), l’association Sulfaméthoxazole+Triméthoprime (43,33%), la gentamicine (40%) entre autres. Parmi les trente (30) souches E. coli, seize (16) étaient à phénotype BLSE soit une prévalence de 53,33%. Issues d’une ferme et de deux sites d’abattage de trois communes (Yenne, Sangalkam et Niacourab) du département de Rufisque, elles sont toutes multirésistantes (à plus de 03 familles d’antibiotiques). Au regard de ces résultats obtenus, des perspectives sur le séquençage des E. coli BLSE sont en vue et des recommandations ont déjà été formulées à l’endroit de tous les acteurs des secteurs concernés par cette étude. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Alpha Amadou DIALLO MEMBRE : M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Rianatou BADA ALAMBEDJI DATE DE SOUTENANCE : 28/03/2023 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4984 Prévalence des souches de escherichia coli productrices de betalactamases a spectre étendu (BLSE) d’origine animale dans la région de Dakar en 2022 [texte imprimé] / Christian Diène Faye, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 29p.
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Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ESCHERICHIA COLI BETALACTAMASES ONE HEALTH Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’émergence de microorganismes multirésistants aux antimicrobiens à l’image des entérobactéries productrices de BLSE constitue une véritable préoccupation en santé publique quant à la mise en œuvre de protocoles thérapeutiques appropriés. En effet, les BLSE sont des enzymes qui confèrent aux entérobactéries la résistance à l'ensemble des bétalactamines à l'exception des céphamycines et des carbapénèmes en plus d'une résistance associée à d'autres familles d'antibiotiques. Cette préoccupation a conduit l’OMS, l’OIE et la FAO, en 2015, à proposer un plan de lutte global endossé en 2016 par l’Assemblée Générale des Nations Unies selon une approche « One Health ». La présente étude rentre dans cette optique de collaboration multisectorielle. Elle a pour objectif général de « Connaitre la prévalence des souches de Escherichia coli productrices de BLSE dans les filières avicole et bovine périurbaines de Dakar ».Pour se faire, une collecte de données sur l'usage des antibiotiques dans 51 fermes avicoles et laitières de la zone périurbaine de Dakar a été associée à 314 prélèvements répartis en écouvillons cloacaux, morceaux de caecum, carcasses de poulets et pots de laits frais de vaches. Les analyses ont été effectuées au LNERV. Au total, trente (30) souches de E. coli, ont été isolées des fermes avicoles par la méthode de screening sur gélose de Mac Conkey + Céfotaxime (0,8uL/ml) et confirmées sur galerie API 20E. Par contre, aucune souche n’a été isolée par screening à partir du lait. La sensibilité de ces isolats a été évaluée vis-à-vis de quinze (15) antibiotiques, appartenant à sept (07) familles différentes, selon la méthode de l’antibiogramme standard par diffusion sur gélose Mueller Hinton suivant les recommandations du CA-SFM. La détection de la production des BLSE sur gélose chez les E. coli a été réalisée par le test de synergie BLSE. Toutes les 30 souches étaient résistantes aux différents antibiotiques testés appartenant à la famille des bétalactamines. Des prévalences de résistances assez élevées ont été notées vis-à-vis de certains antibiotiques d’intérêt tels que les quinolones (acide Nalidixique : 86,66% ; ciprofloxacine : 43,33%), l’association Sulfaméthoxazole+Triméthoprime (43,33%), la gentamicine (40%) entre autres. Parmi les trente (30) souches E. coli, seize (16) étaient à phénotype BLSE soit une prévalence de 53,33%. Issues d’une ferme et de deux sites d’abattage de trois communes (Yenne, Sangalkam et Niacourab) du département de Rufisque, elles sont toutes multirésistantes (à plus de 03 familles d’antibiotiques). Au regard de ces résultats obtenus, des perspectives sur le séquençage des E. coli BLSE sont en vue et des recommandations ont déjà été formulées à l’endroit de tous les acteurs des secteurs concernés par cette étude. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Alpha Amadou DIALLO MEMBRE : M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Rianatou BADA ALAMBEDJI DATE DE SOUTENANCE : 28/03/2023 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4984 Réservation
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MEM-23-03Adobe Acrobat PDF Rôle du porc des élevages traditionnels dans l’épidémiologie de la toxoplasmose dans le sud-est de la côte d’ivoire en 2019 / Gbohounou Fabrice Gnali (2023)
Titre : Rôle du porc des élevages traditionnels dans l’épidémiologie de la toxoplasmose dans le sud-est de la côte d’ivoire en 2019 Type de document : texte imprimé Auteurs : Gbohounou Fabrice Gnali, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 21p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ELEVAGE TRADITIONNEL TOXOPLASMOSE EPIDEMIOLOGIE PORC COTE D'IVOIRE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La toxoplasmose est une anthropozoonose cosmopolite due à un protozoaire intracellulaire obligatoire, Toxoplasmagondii. Elle motive depuis longtemps de nombreuses études épidémiologiques afin d’identifier les réservoirs et les modes de transmission.Pourmieux comprendre l’épidémiologie de l’infection humaine en Côte d’Ivoire, l’estimation de la prévalence du parasite dans les viandes d’animaux destinées à la consommation humaine est fondamentale. La viande porcine étant la deuxième viande la plus consommée en Côte d’Ivoire, une étude transversale a été entreprise en 2019, chez des porcs élevés en divagation dans le sud de la Côte d’Ivoire afin de déterminer la séroprévalence et les facteurs de risques associés. Au cours de ces enquêtes, des 2 485 porcs dénombrés dans les localités, un échantillon de 331 porcs a été déterminité et proportionnellement réparti entre les trois départements du sud de la Côte d’Ivoire : 82 à Aboisso, 161 à Agboville et 87 à Dabou. Un titrage des anticorps spécifiques par la technique de test d’agglutination modifié (MAT) a été effectué sur tous les prélèvements de sang, et les facteurs de risque appréciés par rapport à l’âge, au sexe, à la race et à leur origine géographique. L’enquête a permis de mettre en évidence une séroprévalence de globale de 44,1%. Les femelles (47,56%) ont été plus infectées que les mâles de même que les adultes de plus d’un an (56,25%) par rapport aux plus jeunes. Il n’y a, cependant, pas de différence significative entre l’infection des métisses et des races locales. Concernant l’origine géographique des échantillons, de fortes variations de séroprévalence ont été mises en évidence par rapport aux départements. Par ordre d’importance, Agboville (49,69%) était plus infecté suivi d’Aboisso (46,99%) puis Dabou (31,03%). Un lien de causalité a été établi à l’analyse univariée (p<5%) entre la séropositivité à Toxoplasma gondii et les facteurs tels que le sexe, l’âge et la zone de prélèvement (département). L’analyse multivariée des facteurs d’associations montre que l’âge et le sexe femelle sont des facteurs de risque d’infection a Toxoplasmagondii (p<0,05 et OR>1). Ces résultats offrent une image représentative de la contamination par T. gondii dans les élevages porcins dont la viande est destinée à la consommation humaine en Côte d’Ivoire. Des investigations complémentaires sont nécessaires afin de comprendre le mécanisme de contamination des animaux et définir des recommandations en matière de conduite d’élevage. De même, des enquêtes de prévalence doivent être poursuivies chez tous les animaux domestiques et le gibier afin d’identifier les viandes les plus à risque. Aussi, des investigations devront-elles être menées pour l’isolement des souches de parasite circulant en Côte d’Ivoire et leurs typages dans le long terme. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Madi SAVADOGO CO-DIRECTEUR : Mme Andrée Prisca Ndjoug NDOUR/M. Ronan JAMBOU DATE DE SOUTENANCE : 31/03/2023 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5011 Rôle du porc des élevages traditionnels dans l’épidémiologie de la toxoplasmose dans le sud-est de la côte d’ivoire en 2019 [texte imprimé] / Gbohounou Fabrice Gnali, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 21p.
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Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ELEVAGE TRADITIONNEL TOXOPLASMOSE EPIDEMIOLOGIE PORC COTE D'IVOIRE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La toxoplasmose est une anthropozoonose cosmopolite due à un protozoaire intracellulaire obligatoire, Toxoplasmagondii. Elle motive depuis longtemps de nombreuses études épidémiologiques afin d’identifier les réservoirs et les modes de transmission.Pourmieux comprendre l’épidémiologie de l’infection humaine en Côte d’Ivoire, l’estimation de la prévalence du parasite dans les viandes d’animaux destinées à la consommation humaine est fondamentale. La viande porcine étant la deuxième viande la plus consommée en Côte d’Ivoire, une étude transversale a été entreprise en 2019, chez des porcs élevés en divagation dans le sud de la Côte d’Ivoire afin de déterminer la séroprévalence et les facteurs de risques associés. Au cours de ces enquêtes, des 2 485 porcs dénombrés dans les localités, un échantillon de 331 porcs a été déterminité et proportionnellement réparti entre les trois départements du sud de la Côte d’Ivoire : 82 à Aboisso, 161 à Agboville et 87 à Dabou. Un titrage des anticorps spécifiques par la technique de test d’agglutination modifié (MAT) a été effectué sur tous les prélèvements de sang, et les facteurs de risque appréciés par rapport à l’âge, au sexe, à la race et à leur origine géographique. L’enquête a permis de mettre en évidence une séroprévalence de globale de 44,1%. Les femelles (47,56%) ont été plus infectées que les mâles de même que les adultes de plus d’un an (56,25%) par rapport aux plus jeunes. Il n’y a, cependant, pas de différence significative entre l’infection des métisses et des races locales. Concernant l’origine géographique des échantillons, de fortes variations de séroprévalence ont été mises en évidence par rapport aux départements. Par ordre d’importance, Agboville (49,69%) était plus infecté suivi d’Aboisso (46,99%) puis Dabou (31,03%). Un lien de causalité a été établi à l’analyse univariée (p<5%) entre la séropositivité à Toxoplasma gondii et les facteurs tels que le sexe, l’âge et la zone de prélèvement (département). L’analyse multivariée des facteurs d’associations montre que l’âge et le sexe femelle sont des facteurs de risque d’infection a Toxoplasmagondii (p<0,05 et OR>1). Ces résultats offrent une image représentative de la contamination par T. gondii dans les élevages porcins dont la viande est destinée à la consommation humaine en Côte d’Ivoire. Des investigations complémentaires sont nécessaires afin de comprendre le mécanisme de contamination des animaux et définir des recommandations en matière de conduite d’élevage. De même, des enquêtes de prévalence doivent être poursuivies chez tous les animaux domestiques et le gibier afin d’identifier les viandes les plus à risque. Aussi, des investigations devront-elles être menées pour l’isolement des souches de parasite circulant en Côte d’Ivoire et leurs typages dans le long terme. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Madi SAVADOGO CO-DIRECTEUR : Mme Andrée Prisca Ndjoug NDOUR/M. Ronan JAMBOU DATE DE SOUTENANCE : 31/03/2023 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5011 Réservation
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MEM23-04Adobe Acrobat PDF Séroprévalence et facteurs de risque associés à la Fièvre de la Vallée du Rift chez les ruminants dans le département de Tassara, région de Tahoua au Niger, en 2022 / Nana Barira LAMINOU ZABEIROU (2023)
Titre : Séroprévalence et facteurs de risque associés à la Fièvre de la Vallée du Rift chez les ruminants dans le département de Tassara, région de Tahoua au Niger, en 2022 Type de document : texte imprimé Auteurs : Nana Barira LAMINOU ZABEIROU, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 30p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : FIEVRE DE LA VALLEE DU RIFT SEROPREVALENCE RUMINANT NIGER Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Malgré les efforts fournis dans la lutte et la surveillance de la Fièvre de la Vallée du Rift au Niger, très peu de travaux ont été réalisés sur cette maladie. Le problème qui se pose : La situation épidémiologique de la FVR dans le département de Tassara n’est pas connue. L’objectif de notre étude est de connaître la situation épidémiologique de la FVR dans le département de Tassara en 2022. Ainsi, 497 sérums prélevés dans 17 centres du département de Tassara de la région de Tahoua, ont été analysés avec la technique d’ELISA de compétition pour la détection des anticorps anti nucléoprotéine RVFV ( NP) avec le kit ID.VET ID screenRift Vallery Fever Competition Multi-species ,pour la recherche des IgG témoins d’infection ancienne et l’ ELISA de capture pour la détection des anticorps de types IgM dirigés contre la nucléoprotéine du virus de la fièvre de la vallée du Rift avec le kit ID.VET ID screen Rift Vallery Fever IgM Capture , témoins d’infection récente. Les résultats obtenus montrent une séroprévalence globale de 7%. Toutefois, il a été noté une différence dans les taux de séroprévalence entre sites, le centre de Maya, Tizigar et Tircine sont les centres qui ont eu les séroprévalences élevées respectivement 25%, 19% et 18%. Tafargat et Tamoughniya ont présenté des séroprévalences moyennes de 14% chacun. Les sites d’Egwane, ItihadTassara commune et Inalgafiat ont enregistré des séroprévalences faibles respectivement 11%, 10%, 7,70% et 6,50% tandis que les séroprévalences les plus faibles ont été obtenues à Birmouegam (2,70) et à Amazaram (2,50%). Aucun cas positif n’a été détecté dans les sites de Intiz-Intiz, Louberat, AghazarMakaram, Azanag et Centre Peulh. L’analyse des résultats en fonction des facteurs intrinsèques a montré une variation de la séroprévalence en fonction des espèces, les caprins sont plus infectés (8,90%) que les bovins (6,90%) puis les ovins (6,50%) et une séroprévalence nulle a été notée chez les camelins. La différence de séroprévalence selon l’espèce n’est pas significative (P-value =0,580). En ce qui concerne le sexe, les résultats ont révélé que sur l’ensemble des échantillons testés toutes espèces confondues, les femelles étaient plus infectées que les mâles, soit des séroprévalences respectives de 7,16% et 6,25% ; mais cette différence n’est pas significative (P-value=0.769). De façon générale le site, l’espèce et l’âge sont les facteurs de risque sur le statut du test IgG (Pr(>|z|) = 0,001). En d’autres termes, ces trois facteurs combinés ont un effet significatif sur la maladie. Cependant, de façon spécifique, le site est le seul facteur qui a un effet significatif sur le statut du test IgG au seuil de significativité de 5%. Par conséquent, il est nécessaire d’assurer une épidémio-vigilance efficace dans cette zone d’étude. Il faut aussi redynamiser le réseau de surveillance épidémiologique pour assurer une épidémio surveillance dans les autres régions du Niger, surtout celles proches de Tahoua et assurer une veille épidémiologique, sur toute l’étendue du territoire afin d’éviter à l’avenir une ré-émergence. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme Rianatou BADA-ALAMBEDJI MEMBRE : M. Germain Jerôme SAWADOGO/M. Madi SAVADOGO CO-DIRECTEUR : M. Haladou GAGARA DATE DE SOUTENANCE : 06/06/2023 PAYS : Niger Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5091 Séroprévalence et facteurs de risque associés à la Fièvre de la Vallée du Rift chez les ruminants dans le département de Tassara, région de Tahoua au Niger, en 2022 [texte imprimé] / Nana Barira LAMINOU ZABEIROU, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 30p.
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Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : FIEVRE DE LA VALLEE DU RIFT SEROPREVALENCE RUMINANT NIGER Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Malgré les efforts fournis dans la lutte et la surveillance de la Fièvre de la Vallée du Rift au Niger, très peu de travaux ont été réalisés sur cette maladie. Le problème qui se pose : La situation épidémiologique de la FVR dans le département de Tassara n’est pas connue. L’objectif de notre étude est de connaître la situation épidémiologique de la FVR dans le département de Tassara en 2022. Ainsi, 497 sérums prélevés dans 17 centres du département de Tassara de la région de Tahoua, ont été analysés avec la technique d’ELISA de compétition pour la détection des anticorps anti nucléoprotéine RVFV ( NP) avec le kit ID.VET ID screenRift Vallery Fever Competition Multi-species ,pour la recherche des IgG témoins d’infection ancienne et l’ ELISA de capture pour la détection des anticorps de types IgM dirigés contre la nucléoprotéine du virus de la fièvre de la vallée du Rift avec le kit ID.VET ID screen Rift Vallery Fever IgM Capture , témoins d’infection récente. Les résultats obtenus montrent une séroprévalence globale de 7%. Toutefois, il a été noté une différence dans les taux de séroprévalence entre sites, le centre de Maya, Tizigar et Tircine sont les centres qui ont eu les séroprévalences élevées respectivement 25%, 19% et 18%. Tafargat et Tamoughniya ont présenté des séroprévalences moyennes de 14% chacun. Les sites d’Egwane, ItihadTassara commune et Inalgafiat ont enregistré des séroprévalences faibles respectivement 11%, 10%, 7,70% et 6,50% tandis que les séroprévalences les plus faibles ont été obtenues à Birmouegam (2,70) et à Amazaram (2,50%). Aucun cas positif n’a été détecté dans les sites de Intiz-Intiz, Louberat, AghazarMakaram, Azanag et Centre Peulh. L’analyse des résultats en fonction des facteurs intrinsèques a montré une variation de la séroprévalence en fonction des espèces, les caprins sont plus infectés (8,90%) que les bovins (6,90%) puis les ovins (6,50%) et une séroprévalence nulle a été notée chez les camelins. La différence de séroprévalence selon l’espèce n’est pas significative (P-value =0,580). En ce qui concerne le sexe, les résultats ont révélé que sur l’ensemble des échantillons testés toutes espèces confondues, les femelles étaient plus infectées que les mâles, soit des séroprévalences respectives de 7,16% et 6,25% ; mais cette différence n’est pas significative (P-value=0.769). De façon générale le site, l’espèce et l’âge sont les facteurs de risque sur le statut du test IgG (Pr(>|z|) = 0,001). En d’autres termes, ces trois facteurs combinés ont un effet significatif sur la maladie. Cependant, de façon spécifique, le site est le seul facteur qui a un effet significatif sur le statut du test IgG au seuil de significativité de 5%. Par conséquent, il est nécessaire d’assurer une épidémio-vigilance efficace dans cette zone d’étude. Il faut aussi redynamiser le réseau de surveillance épidémiologique pour assurer une épidémio surveillance dans les autres régions du Niger, surtout celles proches de Tahoua et assurer une veille épidémiologique, sur toute l’étendue du territoire afin d’éviter à l’avenir une ré-émergence. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme Rianatou BADA-ALAMBEDJI MEMBRE : M. Germain Jerôme SAWADOGO/M. Madi SAVADOGO CO-DIRECTEUR : M. Haladou GAGARA DATE DE SOUTENANCE : 06/06/2023 PAYS : Niger Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5091 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M380 MEM23-09 Mémoire Bibliothèque (SID) Mémoires de Master Disponible Documents numériques
MEM23-09Adobe Acrobat PDF Valeurs nutritives et performances d’embouche permises par deux types d’aliments concentrés de complémentation chez des taurillons zébus maures en zone péri-urbaine de Bamako (Mali) / Mady KANOUTE (2022)
Titre : Valeurs nutritives et performances d’embouche permises par deux types d’aliments concentrés de complémentation chez des taurillons zébus maures en zone péri-urbaine de Bamako (Mali) Type de document : texte imprimé Auteurs : Mady KANOUTE, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2022 Importance : 32p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2022 Mots-clés : EMBOUCHE TAURILLON ALIMENT CONCENTRE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Au Mali, l’embouche bovine/ovine est de plus en plus pratiquée mais, cette activité est confrontée à un certain nombre de contraintes dont l’alimentation. En vue d’évaluer les valeurs nutritives et performances zootechniques d’embouche permises par deux types d’aliments concentrés de complémentation chez des taurillons zébus en zone péri-urbaine de Bamako, un essai alimentaire a été conduit en milieu réel pendant 87 jours sur 24 taurillons zébus maures âgés de 12 à 18 mois dans la ferme de Bouya SYLLA. Ces animaux ont été élevés en stabulation libre dans trois ateliers d’embouche de 8 taurillons chacun. Les trois lots d’animaux constitués ont été nourris respectivement avec de la paille et du son de maïs (ration de base témoin, RT), la ration base de base complétée par du tourteau de coton (RTC) et par de l’aliment d’embouche intensive du commerce (RTAC). Les données collectées ont été saisies et traitées dans le tableur Microsoft Excel 2016 avec les paramètres zootechniques et économiques calculés. Elles ont été soumises à une analyse de variance à un facteur à l’aide du logiciel SPSS, complétée par le test de Duncan au seuil de 5% pour situer la différence entre les moyennes des différents paramètres obtenus par traitement alimentaire ou lot. Les résultats ont montré que la composition chimique et la valeur alimentaire des aliments sont variables. La teneur en protéines brutes des concentrés a varié de 16,62% (aliment du commerce) à 19,15% pour le tourteau de coton. Les animaux du lot RTAC ont eu les meilleurs résultats, avec un GMQ de 1061,11±15 g et un taux de conversion de 8,68±10 kg de MS d’aliment par kg de poids vif ; ce qui a permis un gain moyen de poids vif de 90 kg en 87 jours d’embouche, comparés aux 963,19±13 g ; 7,82±20 et 82,5 kg respectifs du lot RTC. Cependant, les coûts de production du kg de poids vif ont été presque similaires au niveau des trois lots et ont été de 1012±177 ; 1059±103 et 991 frs CFA respectivement pour le lot témoin, RTAC et RTC. Les bénéfices ont été similaires et significativement plus élevés avec le lot témoin (47 850±84 FCFA/sujet) et RTC (45 423±44 FCFA/sujet) que celui (23 418±84 FCFA/sujet) du lot RTAC. Au vu de ces résultats, il a été retenu que l’utilisation des aliments concentrés (notamment du commerce) a contribué à augmenter les performances de production des bovins d’embouche, mais n’a pas au plan économique, généré plus de profit comparé au système extensif (lot témoin) qui semble être mieux indiqué pour le maximum de profit. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Simplice Bosco AYSSIWEDE MEMBRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. El Hadji TRAORE CO-DIRECTEUR : M. Drissa Coulibaly DATE DE SOUTENANCE : 02/05/2023 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4987 Valeurs nutritives et performances d’embouche permises par deux types d’aliments concentrés de complémentation chez des taurillons zébus maures en zone péri-urbaine de Bamako (Mali) [texte imprimé] / Mady KANOUTE, Auteur . - Dakar : EISMV, 2022 . - 32p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2022 Mots-clés : EMBOUCHE TAURILLON ALIMENT CONCENTRE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Au Mali, l’embouche bovine/ovine est de plus en plus pratiquée mais, cette activité est confrontée à un certain nombre de contraintes dont l’alimentation. En vue d’évaluer les valeurs nutritives et performances zootechniques d’embouche permises par deux types d’aliments concentrés de complémentation chez des taurillons zébus en zone péri-urbaine de Bamako, un essai alimentaire a été conduit en milieu réel pendant 87 jours sur 24 taurillons zébus maures âgés de 12 à 18 mois dans la ferme de Bouya SYLLA. Ces animaux ont été élevés en stabulation libre dans trois ateliers d’embouche de 8 taurillons chacun. Les trois lots d’animaux constitués ont été nourris respectivement avec de la paille et du son de maïs (ration de base témoin, RT), la ration base de base complétée par du tourteau de coton (RTC) et par de l’aliment d’embouche intensive du commerce (RTAC). Les données collectées ont été saisies et traitées dans le tableur Microsoft Excel 2016 avec les paramètres zootechniques et économiques calculés. Elles ont été soumises à une analyse de variance à un facteur à l’aide du logiciel SPSS, complétée par le test de Duncan au seuil de 5% pour situer la différence entre les moyennes des différents paramètres obtenus par traitement alimentaire ou lot. Les résultats ont montré que la composition chimique et la valeur alimentaire des aliments sont variables. La teneur en protéines brutes des concentrés a varié de 16,62% (aliment du commerce) à 19,15% pour le tourteau de coton. Les animaux du lot RTAC ont eu les meilleurs résultats, avec un GMQ de 1061,11±15 g et un taux de conversion de 8,68±10 kg de MS d’aliment par kg de poids vif ; ce qui a permis un gain moyen de poids vif de 90 kg en 87 jours d’embouche, comparés aux 963,19±13 g ; 7,82±20 et 82,5 kg respectifs du lot RTC. Cependant, les coûts de production du kg de poids vif ont été presque similaires au niveau des trois lots et ont été de 1012±177 ; 1059±103 et 991 frs CFA respectivement pour le lot témoin, RTAC et RTC. Les bénéfices ont été similaires et significativement plus élevés avec le lot témoin (47 850±84 FCFA/sujet) et RTC (45 423±44 FCFA/sujet) que celui (23 418±84 FCFA/sujet) du lot RTAC. Au vu de ces résultats, il a été retenu que l’utilisation des aliments concentrés (notamment du commerce) a contribué à augmenter les performances de production des bovins d’embouche, mais n’a pas au plan économique, généré plus de profit comparé au système extensif (lot témoin) qui semble être mieux indiqué pour le maximum de profit. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Simplice Bosco AYSSIWEDE MEMBRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. El Hadji TRAORE CO-DIRECTEUR : M. Drissa Coulibaly DATE DE SOUTENANCE : 02/05/2023 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4987 Réservation
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