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'FERME LAITIERE' 




Analyse technico-économique d’une ferme laitière dans la zone péri-urbaine de Dakar / Ibrahim Bogre (2019)
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Titre : Analyse technico-économique d’une ferme laitière dans la zone péri-urbaine de Dakar : cas de la ferme Baye N’diaye Type de document : texte imprimé Auteurs : Ibrahim Bogre, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 74 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2019 Mots-clés : FERME LAITIERE VACHE LAITIERE SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La présente étude a pour objectif général d’analyser aux plans technique et économique les paramètres d’une ferme laitière dans la zone périurbaine de Dakar : cas de la ferme Baye. L’approche méthodologique choisie pour atteindre ces objectifs est essentiellement basée sur la collecte des données techniques et financières au moyen des registres de suivi de l’exploitation et des entrevues sur une période de six mois. La ferme Baye N’diaye située dans la zone péri-urbaine de Dakar nous a servi de cadre d’étude. Les résultats de l’analyse des paramètres techniques tels que la reproduction, la santé, l’alimentation, la production laitière quotidienne ont montré que la ferme n’a pas une bonne maitrise de la plupart de ces paramètres conformément aux normes recommandées. Cela, d’autant plus que les paramètres économiques entre autres le chiffre d’affaires, les charges d’exploitation et le compte d’exploitation, qui ont fait l’objet d’analyse ont prouvé aussi que la ferme fonctionne à perte en ce sens que le résultat net a été négatif tout au long de la période de l’étude. En effet, la ferme a connu une perte moyenne de 815 271 FCFA par mois au cours de l’étude. L’analyse des indicateurs du compte d’exploitation a révélé un dysfonctionnement d’ordre gestionnaire lié à la non maîtrise des coûts et les flux. Ainsi, il ressort de l’analyse de la sensibilité faite sur le compte de résultat de la ferme qu’une hausse et baisse simultanée du chiffre d’affaires et des charges d’exploitation à hauteur de 20% se traduiraient par une nette amélioration de la situation économique de l’exploitation. Le résultat brut pourrait ainsi passer de 333 890 à 909 149 FCFA, soit uneévolution de 172%.
Toute chose qui témoigne la nécessité de la mise en application des recommandations d’ordre technique et
économique pour garantir la prospérité de l’exploitation. A cet effet la révision de la politique commerciale, la réduction des charges d’exploitation et l’adoption d’une bonne conduite alimentaire s’avèrent indispensables pour corriger les tensions que connait la trésorerie et accroitre la productivité de l’exploitation. L‘une des difficultés rencontrée au cours de cette étude est l’inexistence des données techniques et comptables préétablies. Pour ainsi dire que la plupart des données ont été reconstituées afin de pouvoir réaliser l’étude. Il pourrait ainsi résulter des biais dans l’estimation de certaines données. Aussi les pistes de sortie qui ont été proposées ici sont de grés avec les réalités quotidiennes de la dite exploitation. Du coup, il sera difficile de prétendre à une généralisation de ces
résultats aux autres fermes. Il serait donc intéressant de réaliser d’autres études similaires élargies à plusieurs exploitations, ce qui permettrait de mettre à la disposition des acteurs des informations utiles et plus fiables.PRESIDENT DE JURY : Monsieur Mamadou FALL DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur Germain J. SAWADOGO RAPPORTEUR : Monsieur Germain J. SAWADOGO MEMBRE : Madame Mireille Cathérine KADJA WONOU CO-DIRECTEUR : Monsieur Walter OSSEBI/Monsieur Miguiri KALANDI DATE DE SOUTENANCE : 15/07/2019 PAYS : Burkina Faso Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2084 Analyse technico-économique d’une ferme laitière dans la zone péri-urbaine de Dakar : cas de la ferme Baye N’diaye [texte imprimé] / Ibrahim Bogre, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 74 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2019 Mots-clés : FERME LAITIERE VACHE LAITIERE SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La présente étude a pour objectif général d’analyser aux plans technique et économique les paramètres d’une ferme laitière dans la zone périurbaine de Dakar : cas de la ferme Baye. L’approche méthodologique choisie pour atteindre ces objectifs est essentiellement basée sur la collecte des données techniques et financières au moyen des registres de suivi de l’exploitation et des entrevues sur une période de six mois. La ferme Baye N’diaye située dans la zone péri-urbaine de Dakar nous a servi de cadre d’étude. Les résultats de l’analyse des paramètres techniques tels que la reproduction, la santé, l’alimentation, la production laitière quotidienne ont montré que la ferme n’a pas une bonne maitrise de la plupart de ces paramètres conformément aux normes recommandées. Cela, d’autant plus que les paramètres économiques entre autres le chiffre d’affaires, les charges d’exploitation et le compte d’exploitation, qui ont fait l’objet d’analyse ont prouvé aussi que la ferme fonctionne à perte en ce sens que le résultat net a été négatif tout au long de la période de l’étude. En effet, la ferme a connu une perte moyenne de 815 271 FCFA par mois au cours de l’étude. L’analyse des indicateurs du compte d’exploitation a révélé un dysfonctionnement d’ordre gestionnaire lié à la non maîtrise des coûts et les flux. Ainsi, il ressort de l’analyse de la sensibilité faite sur le compte de résultat de la ferme qu’une hausse et baisse simultanée du chiffre d’affaires et des charges d’exploitation à hauteur de 20% se traduiraient par une nette amélioration de la situation économique de l’exploitation. Le résultat brut pourrait ainsi passer de 333 890 à 909 149 FCFA, soit uneévolution de 172%.
Toute chose qui témoigne la nécessité de la mise en application des recommandations d’ordre technique et
économique pour garantir la prospérité de l’exploitation. A cet effet la révision de la politique commerciale, la réduction des charges d’exploitation et l’adoption d’une bonne conduite alimentaire s’avèrent indispensables pour corriger les tensions que connait la trésorerie et accroitre la productivité de l’exploitation. L‘une des difficultés rencontrée au cours de cette étude est l’inexistence des données techniques et comptables préétablies. Pour ainsi dire que la plupart des données ont été reconstituées afin de pouvoir réaliser l’étude. Il pourrait ainsi résulter des biais dans l’estimation de certaines données. Aussi les pistes de sortie qui ont été proposées ici sont de grés avec les réalités quotidiennes de la dite exploitation. Du coup, il sera difficile de prétendre à une généralisation de ces
résultats aux autres fermes. Il serait donc intéressant de réaliser d’autres études similaires élargies à plusieurs exploitations, ce qui permettrait de mettre à la disposition des acteurs des informations utiles et plus fiables.PRESIDENT DE JURY : Monsieur Mamadou FALL DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur Germain J. SAWADOGO RAPPORTEUR : Monsieur Germain J. SAWADOGO MEMBRE : Madame Mireille Cathérine KADJA WONOU CO-DIRECTEUR : Monsieur Walter OSSEBI/Monsieur Miguiri KALANDI DATE DE SOUTENANCE : 15/07/2019 PAYS : Burkina Faso Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2084 Réservation
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TD19-11Adobe Acrobat PDFSuivi sanitaire et zootechnique de vaches montbeliardes et des veaux dans une ferme laitière à Rosso (Mauritanie) / Akouèmaho Mathieu Dossou (2017)
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Titre : Suivi sanitaire et zootechnique de vaches montbeliardes et des veaux dans une ferme laitière à Rosso (Mauritanie) Type de document : texte imprimé Auteurs : Akouèmaho Mathieu Dossou, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2017 Importance : 92 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : FERME LAITIERE VACHE VEAU MAURITANIE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : L’objectif général de cette étude est de contribuer à l’amélioration de la conduite d’élevage dans une ferme laitière. De façon spécifique, il s’agit d’une part de décrire les conditions d’élevage et d’adaptation des génisses montbéliardes introduites et d’autre part de faire un suivi sanitaire et zootechnique des vaches et de leurs veaux afin de formuler des recommandations pour une meilleure prise en charge de ces vaches. La présente étude a été réalisée au cours de la période allant du 3 octobre 2016 au 27 février 2017 et est portée sur 32 génisses montbéliardes gestantes importées dans une ferme privée laitière à Rosso en Mauritanie. Le suivi sanitaire a consisté à l’observation, l’examen clinique des vaches et des veaux et à la prise en charge des pathologies. Quant au suivi zootechnique, il a consisté au rationnement de l’alimentation, à l’audit des bâtiments d’élevage, au contrôle de la production laitière et au suivi de la croissance des veaux. Au cours du suivi sanitaire, certaines pathologies ont été notées à savoir chez les vaches, des cas d’acidose avec une prévalence de 21%, de rétention placentaire (3%), d’avortements (6%), de momification fœtale (3%), de mammites (3%), de dermatose nodulaire contagieuse bovine (56%) et chez lez veaux, des cas de diarrhées néonatales (20%) et 2 mortinatalités. Concernant le suivi zootechnique, notons que les veaux non sevrés vivent dans des box individuels de 2,4 m2 de surface et 1,5 m de hauteur tandis que les veaux sevrés vivent dans des bâtiments collectifs qui offrent à chaque veau un espace de 3,75 m2. Par ailleurs, le bâtiment d’élevage des vaches laitières a une orientation est-ouest. Ce dernier a les caractéristiques suivantes : la toiture en aluminium ; le couloir d’alimentation a 6 m de largeur ; l’aire d’exercice et de couchage a 400 m2, soit 12,5 m2 par vache. Toutes les mesures ci-dessus citées répondent aux normes décrites par certains chercheurs. Néanmoins, certaines insuffisances ont été enregistrées notamment la communication entre les box individuels, le caillebotis peu résistants, l’hétérogénéité des longueurs de la place à l’auge. Enfin, le suivi zootechnique montré que les veaux ont un GMQ de 663 ± 59,79 g et la production laitière moyenne journalière par vache est de 15,64 litres au pic de lactation. Au terme de cette étude, des recommandations sont formulées à l’endroit de l’Etat mauritanien, au propriétaire de la ferme, au responsable technique, au bouvier et au gardien dans le but d’améliorer la conduite d’élevage. PRESIDENT DE JURY : M. Emmanuel BASSENE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme. Mireille Catherine KADJA WONOU RAPPORTEUR : Mme. Mireille Catherine KADJA WONOU MEMBRE : M. Serge Niangoran BAKOU CO-DIRECTEUR : M. El Hadji Daour DRAME DATE DE SOUTENANCE : 29/07/2017 PAYS : Benin Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1995 Suivi sanitaire et zootechnique de vaches montbeliardes et des veaux dans une ferme laitière à Rosso (Mauritanie) [texte imprimé] / Akouèmaho Mathieu Dossou, Auteur . - Dakar : EISMV, 2017 . - 92 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : FERME LAITIERE VACHE VEAU MAURITANIE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : L’objectif général de cette étude est de contribuer à l’amélioration de la conduite d’élevage dans une ferme laitière. De façon spécifique, il s’agit d’une part de décrire les conditions d’élevage et d’adaptation des génisses montbéliardes introduites et d’autre part de faire un suivi sanitaire et zootechnique des vaches et de leurs veaux afin de formuler des recommandations pour une meilleure prise en charge de ces vaches. La présente étude a été réalisée au cours de la période allant du 3 octobre 2016 au 27 février 2017 et est portée sur 32 génisses montbéliardes gestantes importées dans une ferme privée laitière à Rosso en Mauritanie. Le suivi sanitaire a consisté à l’observation, l’examen clinique des vaches et des veaux et à la prise en charge des pathologies. Quant au suivi zootechnique, il a consisté au rationnement de l’alimentation, à l’audit des bâtiments d’élevage, au contrôle de la production laitière et au suivi de la croissance des veaux. Au cours du suivi sanitaire, certaines pathologies ont été notées à savoir chez les vaches, des cas d’acidose avec une prévalence de 21%, de rétention placentaire (3%), d’avortements (6%), de momification fœtale (3%), de mammites (3%), de dermatose nodulaire contagieuse bovine (56%) et chez lez veaux, des cas de diarrhées néonatales (20%) et 2 mortinatalités. Concernant le suivi zootechnique, notons que les veaux non sevrés vivent dans des box individuels de 2,4 m2 de surface et 1,5 m de hauteur tandis que les veaux sevrés vivent dans des bâtiments collectifs qui offrent à chaque veau un espace de 3,75 m2. Par ailleurs, le bâtiment d’élevage des vaches laitières a une orientation est-ouest. Ce dernier a les caractéristiques suivantes : la toiture en aluminium ; le couloir d’alimentation a 6 m de largeur ; l’aire d’exercice et de couchage a 400 m2, soit 12,5 m2 par vache. Toutes les mesures ci-dessus citées répondent aux normes décrites par certains chercheurs. Néanmoins, certaines insuffisances ont été enregistrées notamment la communication entre les box individuels, le caillebotis peu résistants, l’hétérogénéité des longueurs de la place à l’auge. Enfin, le suivi zootechnique montré que les veaux ont un GMQ de 663 ± 59,79 g et la production laitière moyenne journalière par vache est de 15,64 litres au pic de lactation. Au terme de cette étude, des recommandations sont formulées à l’endroit de l’Etat mauritanien, au propriétaire de la ferme, au responsable technique, au bouvier et au gardien dans le but d’améliorer la conduite d’élevage. PRESIDENT DE JURY : M. Emmanuel BASSENE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme. Mireille Catherine KADJA WONOU RAPPORTEUR : Mme. Mireille Catherine KADJA WONOU MEMBRE : M. Serge Niangoran BAKOU CO-DIRECTEUR : M. El Hadji Daour DRAME DATE DE SOUTENANCE : 29/07/2017 PAYS : Benin Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1995 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1388 TD17-30 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
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TD17-30Adobe Acrobat PDFEvaluation technique et économique comparée de fermes laitières en Casamance : cas des fermes de Dandone et Saré Yoro Bouca / Dianna MANE (2022)
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Titre : Evaluation technique et économique comparée de fermes laitières en Casamance : cas des fermes de Dandone et Saré Yoro Bouca Type de document : texte imprimé Auteurs : Dianna MANE, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2022 Importance : 74p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2022 Mots-clés : FERME LAITIERE CASAMANCE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : L’objectif de cette étude était d’évaluer les paramètres technique et économique de fermes laitières au Sud du Sénégal. Elle s’est effectuée de février à décembre 2021 dans les fermes de Dandone (Sédhiou) et de Saré Yoro Bouca (Kolda) et portée sur 20 vaches et 20 veaux dont 10 dans chaque ferme. Les données ont été collectées journalièrement à l’aide d’une fiche de suivi du troupeau.
L’analyse des résultats obtenus nous ont permis de noter que certains paramètres tels que : la reproduction, l’alimentation et le logement ne sont pas conforme aux normes recommandées et sont sources de plusieurs défaillances dans les fermes.
L’âge au premier vêlage a été de 26,22±2 mois à Dandone et de 24,22±3 mois à Sare Yoro Bouca.
L’intervalle vêlage-insémination première a été de 130 ± 24,77 jours à Dandone et de 125,89 ± 22,60 jours à Sare Yoro Bouca et l’intervalle vêlage-insémination fécondante moyenne a été de 145,5 jours à Sare Yoro Bouca et de 110 jours à Dandone.
Le taux de réussite en première insémination a été de 20% à Sare Yoro Bouca et de 10% à Dandone.
Au niveau sanitaire, la pathologie la plus détectée était la mammite à 70% à Dandone et 40% à Sare Yoro Bouca.
La production laitière mensuelle était évaluée en moyenne 2 554,20 ± 875,25 litres par mois à Dandone et de 1 414, 70 ± 742,14 litres par mois à Sare Yoro Bouca, soit une production moyenne par jour et par vache respective de 8,5 litres et 4,7 litres.
L’analyse des performances économiques a montré que la ferme de Dandone a généré un bénéfice brut de 54145 FCFA par mois contre une perte de l’ordre de 12127 FCFA à la ferme de Sare Yoro Bouca. L’analyse de la sensibilité a révélé qu’une augmentation du chiffre d’affaires de 12% à Dandone et 54% à Sare Yoro Bouca permet une amélioration de la situation économique dans les fermes. Afin, de rentabiliser les investissements, une révision de la politique de reproduction, une dotation des fermes de tanks réfrigérés, la culture de céréales pour l’alimentation des vaches dans les fermes devrons être faites.PRESIDENT DE JURY : M. Boucar NDONG DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Gualbert Simon NTEME ELLA RAPPORTEUR : M. Gualbert Simon NTEME ELLA MEMBRE : M. Rock Allister LAPO CO-DIRECTEUR : M. Walter OSSEBI DATE DE SOUTENANCE : 21/07/2022 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5000 Evaluation technique et économique comparée de fermes laitières en Casamance : cas des fermes de Dandone et Saré Yoro Bouca [texte imprimé] / Dianna MANE, Auteur . - Dakar : EISMV, 2022 . - 74p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2022 Mots-clés : FERME LAITIERE CASAMANCE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : L’objectif de cette étude était d’évaluer les paramètres technique et économique de fermes laitières au Sud du Sénégal. Elle s’est effectuée de février à décembre 2021 dans les fermes de Dandone (Sédhiou) et de Saré Yoro Bouca (Kolda) et portée sur 20 vaches et 20 veaux dont 10 dans chaque ferme. Les données ont été collectées journalièrement à l’aide d’une fiche de suivi du troupeau.
L’analyse des résultats obtenus nous ont permis de noter que certains paramètres tels que : la reproduction, l’alimentation et le logement ne sont pas conforme aux normes recommandées et sont sources de plusieurs défaillances dans les fermes.
L’âge au premier vêlage a été de 26,22±2 mois à Dandone et de 24,22±3 mois à Sare Yoro Bouca.
L’intervalle vêlage-insémination première a été de 130 ± 24,77 jours à Dandone et de 125,89 ± 22,60 jours à Sare Yoro Bouca et l’intervalle vêlage-insémination fécondante moyenne a été de 145,5 jours à Sare Yoro Bouca et de 110 jours à Dandone.
Le taux de réussite en première insémination a été de 20% à Sare Yoro Bouca et de 10% à Dandone.
Au niveau sanitaire, la pathologie la plus détectée était la mammite à 70% à Dandone et 40% à Sare Yoro Bouca.
La production laitière mensuelle était évaluée en moyenne 2 554,20 ± 875,25 litres par mois à Dandone et de 1 414, 70 ± 742,14 litres par mois à Sare Yoro Bouca, soit une production moyenne par jour et par vache respective de 8,5 litres et 4,7 litres.
L’analyse des performances économiques a montré que la ferme de Dandone a généré un bénéfice brut de 54145 FCFA par mois contre une perte de l’ordre de 12127 FCFA à la ferme de Sare Yoro Bouca. L’analyse de la sensibilité a révélé qu’une augmentation du chiffre d’affaires de 12% à Dandone et 54% à Sare Yoro Bouca permet une amélioration de la situation économique dans les fermes. Afin, de rentabiliser les investissements, une révision de la politique de reproduction, une dotation des fermes de tanks réfrigérés, la culture de céréales pour l’alimentation des vaches dans les fermes devrons être faites.PRESIDENT DE JURY : M. Boucar NDONG DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Gualbert Simon NTEME ELLA RAPPORTEUR : M. Gualbert Simon NTEME ELLA MEMBRE : M. Rock Allister LAPO CO-DIRECTEUR : M. Walter OSSEBI DATE DE SOUTENANCE : 21/07/2022 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5000 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1610 TD22-44 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
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TD22-44Adobe Acrobat PDF
Titre : Brucellose bovine au Niger : enquête CAP (Connaissances, attitudes et pratiques) et prévalence dans les élevages laitiers à Niamey. Type de document : texte imprimé Auteurs : Garba Aïda Issaka, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2017 Importance : 98 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2018 Mots-clés : BRUCELLOSE BOVIN FERME LAITIERE VACHE LAITIERE NIGER Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Considérée comme une zoonose majeure, la brucellose est une maladie négligée et cosmopolite. En Afrique subsaharienne (ASS), l’impact de cette maladie sur la santé humaine et animale ainsi que sur le plan socio-économique est considérable. Cette étude s’inscrit dans le cadre la phase pilote du projet « Zoonosis and Emerging Livestock Systems » (ZELS) qui est un programme de recherche intitulé "Mise en place d'une stratégie multisectorielle de lutte contre la brucellose dans les principales zones péri-urbaines de production laitière d'Afrique de l'Ouest et du Centre". La présente étude avait pour objectif principal d’analyser les paramètres socio-épidémiologiques de la brucellose dans les élevages laitiers de Niamey. L’étude transversale a été menée de juin à novembre 2017 à Niamey. Pour évaluer les connaissances, attitudes et pratiques des éleveurs sur la brucellose dans les élevages bovines laitiers, une enquête a d’abord été effectuée au niveau de 12 localités dans les strates urbaine et périurbaine de Niamey. Il ressort de cette étude que tous les éleveurs enquêtés ont déjà entendu parler de la brucellose. Cependant, peu d’éleveurs ont eu des idées sur les signes caractéristiques de la maladie chez les animaux atteints en élevage. Pour déterminer la prévalence
de la brucellose à Niamey, des prélèvements de sang et de lait ont été effectués dans 155 élevages. Ces prélèvements étaient composés de 128 prélèvements de sang, 64 prélèvements de laits individuels et 155 de laits de mélange. Le test sérologique a été effectué au moyen d’un test au Rose Bengale et les échantillons de lait ont été analysé par le test ELISA indirect au laboratoire du Centre d’Elevage (LABOCEL) de Niamey. Les résultats d’analyse ont révélé trois (3) cas positifs à la Brucellose par le test au Rose Bengale soit une prévalence sérologique globale de 2, 34%. L’ELISA indirect, a révélé deux cas positifs à l’analyse des laits individuels soit une prévalence de 3, 12% ; et un seul cas positif à l’analyse du lait de mélange soit une prévalence globale de 0, 64%. Des recommandations sont donc faites à l’endroit de l’ETAT, des autorités sanitaires et vétérinaires, des chercheurs, éleveurs et la population afin d’éradiquer la brucellose animale et d’atténuer le risque de transmission chez les humains.
PRESIDENT DE JURY : Monsieur Emmanuel BASSENE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI RAPPORTEUR : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : Madame Mireille Catherine KADJA WONOU CO-DIRECTEUR : Monsieur Ayayi Justin AYIH-AKAKPO/Madame Andrée Prisca Ndjoug NDOUR/Monsieur Haladou GAGARA DATE DE SOUTENANCE : 26/07/2018 PAYS : Niger DSOUT: 26/07/2018 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2056 Brucellose bovine au Niger : enquête CAP (Connaissances, attitudes et pratiques) et prévalence dans les élevages laitiers à Niamey. [texte imprimé] / Garba Aïda Issaka, Auteur . - Dakar : EISMV, 2017 . - 98 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2018 Mots-clés : BRUCELLOSE BOVIN FERME LAITIERE VACHE LAITIERE NIGER Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Considérée comme une zoonose majeure, la brucellose est une maladie négligée et cosmopolite. En Afrique subsaharienne (ASS), l’impact de cette maladie sur la santé humaine et animale ainsi que sur le plan socio-économique est considérable. Cette étude s’inscrit dans le cadre la phase pilote du projet « Zoonosis and Emerging Livestock Systems » (ZELS) qui est un programme de recherche intitulé "Mise en place d'une stratégie multisectorielle de lutte contre la brucellose dans les principales zones péri-urbaines de production laitière d'Afrique de l'Ouest et du Centre". La présente étude avait pour objectif principal d’analyser les paramètres socio-épidémiologiques de la brucellose dans les élevages laitiers de Niamey. L’étude transversale a été menée de juin à novembre 2017 à Niamey. Pour évaluer les connaissances, attitudes et pratiques des éleveurs sur la brucellose dans les élevages bovines laitiers, une enquête a d’abord été effectuée au niveau de 12 localités dans les strates urbaine et périurbaine de Niamey. Il ressort de cette étude que tous les éleveurs enquêtés ont déjà entendu parler de la brucellose. Cependant, peu d’éleveurs ont eu des idées sur les signes caractéristiques de la maladie chez les animaux atteints en élevage. Pour déterminer la prévalence
de la brucellose à Niamey, des prélèvements de sang et de lait ont été effectués dans 155 élevages. Ces prélèvements étaient composés de 128 prélèvements de sang, 64 prélèvements de laits individuels et 155 de laits de mélange. Le test sérologique a été effectué au moyen d’un test au Rose Bengale et les échantillons de lait ont été analysé par le test ELISA indirect au laboratoire du Centre d’Elevage (LABOCEL) de Niamey. Les résultats d’analyse ont révélé trois (3) cas positifs à la Brucellose par le test au Rose Bengale soit une prévalence sérologique globale de 2, 34%. L’ELISA indirect, a révélé deux cas positifs à l’analyse des laits individuels soit une prévalence de 3, 12% ; et un seul cas positif à l’analyse du lait de mélange soit une prévalence globale de 0, 64%. Des recommandations sont donc faites à l’endroit de l’ETAT, des autorités sanitaires et vétérinaires, des chercheurs, éleveurs et la population afin d’éradiquer la brucellose animale et d’atténuer le risque de transmission chez les humains.
PRESIDENT DE JURY : Monsieur Emmanuel BASSENE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI RAPPORTEUR : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : Madame Mireille Catherine KADJA WONOU CO-DIRECTEUR : Monsieur Ayayi Justin AYIH-AKAKPO/Madame Andrée Prisca Ndjoug NDOUR/Monsieur Haladou GAGARA DATE DE SOUTENANCE : 26/07/2018 PAYS : Niger DSOUT: 26/07/2018 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2056 Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1432 TD18-29 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
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TD18-29Adobe Acrobat PDFEtude du niveau de mécanisation de la traite dans les fermes laitières en zone péri-urbaine de Bamako en 2021 / Moussa BERTHE (2023)
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Titre : Etude du niveau de mécanisation de la traite dans les fermes laitières en zone péri-urbaine de Bamako en 2021 Type de document : texte imprimé Auteurs : Moussa BERTHE, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 30p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : FERME LAITIERE TRAITE ELEVAGE BAMAKO Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Ce travail de Master porte sur l’état des lieux de la mécanisation de la traite en zone périurbaine de Bamako. L’étude a porté sur 32 fermes laitières de Bamako avec un effectif cumulé de 1689 têtes dont 569 vaches laitières et 220 vaches gestantes. En outre, nous y avons recensé 519 veaux ; 244 génisses ; 26 taureaux géniteurs et 111 taurillons.
Les données récoltées dans les fiches d’enquêtes ont été traitées par le Prism version 5.
Le type de traite encore dominant est la traite manuelle. Le niveau de mécanisation des fermes laitières atteint 15,6 %. Une moyenne de 327 litres de lait est produite dans le système de traite mécanique contre 134 litres dans le système de traite manuelle. La production moyenne enregistrée par vache laitière de l’échantillon est de 17,50 ± 5,50 litres. La durée moyenne de la traite mécanique par vache est de 3,52 ± 1,88 minute tandis que le temps moyen est de 7,37± 2,45 minutes par vache en traite manuelle. Le coût d’acquisition élevé des machines est une première contrainte avancée par 100 % des éleveurs qui en disposent. Le manque de pièces de rechanges est ressorti comme une seconde contrainte majeure chez 100 % des éleveurs utilisateurs de la machine. Le temps de nettoyage des machines après la traite est la troisième contrainte qui entraîne l’abandon des machines chez 100 % des éleveurs. La forte réticence des trayeurs à appliquer les règles d’hygiène après chaque traite apparaît chez 80 % des fermes mécanisées comme la quatrième contrainte. Le manque de réparateur des machines à traire qui est la cinquième contrainte, est d’ordre technique, à hauteur de 31,25 % sur trente-deux éleveurs. Le manque de réseau d’électricité et le manque de personnels qualifiés constituent la sixième contrainte avancée par les 10 fermes sur 32.
L’accroissement du nombre de mammites chez les vaches est une septième contrainte d’ordre sanitaire constatée dans 50 % des fermes utilisatrices de machine à traire.
PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Ayao MISSOHOU MEMBRE : M. Rianatou BADA ALAMBEDJ/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Elhadji TRAORE DATE DE SOUTENANCE : 10/03/2023 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4985 Etude du niveau de mécanisation de la traite dans les fermes laitières en zone péri-urbaine de Bamako en 2021 [texte imprimé] / Moussa BERTHE, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 30p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : FERME LAITIERE TRAITE ELEVAGE BAMAKO Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Ce travail de Master porte sur l’état des lieux de la mécanisation de la traite en zone périurbaine de Bamako. L’étude a porté sur 32 fermes laitières de Bamako avec un effectif cumulé de 1689 têtes dont 569 vaches laitières et 220 vaches gestantes. En outre, nous y avons recensé 519 veaux ; 244 génisses ; 26 taureaux géniteurs et 111 taurillons.
Les données récoltées dans les fiches d’enquêtes ont été traitées par le Prism version 5.
Le type de traite encore dominant est la traite manuelle. Le niveau de mécanisation des fermes laitières atteint 15,6 %. Une moyenne de 327 litres de lait est produite dans le système de traite mécanique contre 134 litres dans le système de traite manuelle. La production moyenne enregistrée par vache laitière de l’échantillon est de 17,50 ± 5,50 litres. La durée moyenne de la traite mécanique par vache est de 3,52 ± 1,88 minute tandis que le temps moyen est de 7,37± 2,45 minutes par vache en traite manuelle. Le coût d’acquisition élevé des machines est une première contrainte avancée par 100 % des éleveurs qui en disposent. Le manque de pièces de rechanges est ressorti comme une seconde contrainte majeure chez 100 % des éleveurs utilisateurs de la machine. Le temps de nettoyage des machines après la traite est la troisième contrainte qui entraîne l’abandon des machines chez 100 % des éleveurs. La forte réticence des trayeurs à appliquer les règles d’hygiène après chaque traite apparaît chez 80 % des fermes mécanisées comme la quatrième contrainte. Le manque de réparateur des machines à traire qui est la cinquième contrainte, est d’ordre technique, à hauteur de 31,25 % sur trente-deux éleveurs. Le manque de réseau d’électricité et le manque de personnels qualifiés constituent la sixième contrainte avancée par les 10 fermes sur 32.
L’accroissement du nombre de mammites chez les vaches est une septième contrainte d’ordre sanitaire constatée dans 50 % des fermes utilisatrices de machine à traire.
PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Ayao MISSOHOU MEMBRE : M. Rianatou BADA ALAMBEDJ/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Elhadji TRAORE DATE DE SOUTENANCE : 10/03/2023 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4985 Réservation
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MEM23-02Adobe Acrobat PDFPrévalence et Facteurs de Risque de la Brucellose bovine dans les exploitations laitières périurbaines d’Afrique de l’Ouest et du Centre entre 2017 et 2020 / Thomas FAYE (2023)
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PermalinkProduction et transformation du lait frais : implication des ménages, des organisations de producteurs et des laiteries dans le département de Vélingara(Sénégal) / Nyonse Carole Nkouatchang (2014)
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PermalinkPermalinkBrucellose bovine au Cameroun : enquete CAP et prévalence dans les exploitations laitieres du département de la Vina / Dzousse Muller Fotsac (2018)
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