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'SYSTEME D’ELEVAGE' 




Analyse zootechnico-économique des systèmes d’élevage du porc dans la région naturelle de la Casamance (Sénégal) / Félix Nimbona (2016)
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Titre : Analyse zootechnico-économique des systèmes d’élevage du porc dans la région naturelle de la Casamance (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Félix Nimbona, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2016 Importance : 30 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2016 Mots-clés : SYSTEME D’ELEVAGE PORC SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Une étude diagnostique a été conduite auprès de 324 élevages porcins sous forme
d’enquêtes dans les 3 régions de la Casamance naturelle (sud du Sénégal), pour décrire les
caractéristiques zootechnico-économiques de l’élevage du porc.
Les résultats ont montré que la proportion des hommes propriétaires des porcs (50,15%)
est sensiblement équivalente à celle des femmes (49,85%). Ces éleveurs sont
majoritairement issus des ethnies Diola (41,27%) et Mancagne (36,51%). Ils sont pour la
plupart mariés (65,31%) et instruits (74,06%). Près d’un quart (24,76%) des éleveurs
associent l’élevage porcin à l’agriculture. Ils évoluent dans trois systèmes différents :
traditionnel, semi-intensif et intensif. Le système traditionnel est dominant (85,49 %) et
exploite principalement la race locale (90,43% des exploitations). Dans ce système,
l’élevage est de type naisseur-engraisseur. La taille moyenne du cheptel est de
19,24±20,06 porcs par exploitation. Les porcheries traditionnelles améliorées (51,13%) et
des abris de fortunes (28,43%) sont les habitats les plus dominants. L’accès aux aliments
de porcs est difficile (90,22%), une raison qui ouvre la porte à la divagation avec
claustration saisonnière (73,68%). Les aliments distribués aux porcs sont formulés
essentiellement par les éleveurs eux-mêmes (97,04%) et sont constitués de déchets
alimentaires, de restes de cuisine, de fruits, etc. Les éleveurs dans 98,13% de cas ne
contrôlent pas la reproduction des porcs qui se fait par monte naturelle dans toutes les
exploitations. L’âge moyen à la mise à la reproduction est de 7,56 ±1,76 mois et la taille
moyenne de la portée est de 7,36±2,18 porcelets. Le sevrage se fait selon la volonté de la
truie entre 3 à 6 mois (86,14%). Les pratiques telles que la castration (96,76%) et le
marquage à l’oreille (74,52%) sont réalisées essentiellement par les éleveurs.
Au plan sanitaire, il y a peu de médicaments vétérinaires sur le marché et d’agents de santé
qui s’intéressent à l’élevage de porcs. Ainsi, en cas de maladie, 33,94% des éleveurs
n’appliquent aucun traitement tandis que 35,04% utilisent des médicaments traditionnels.
Les problèmes sanitaires et alimentaires sont de loin les principaux facteurs limitant à la
production porcine dans la région de Casamance.
Au plan économique, ce sous-secteur d’élevage a un réel potentiel de réduction de la
pauvreté car les éleveurs de porc, même dans la forme traditionnelle, arrivent à dégager un
bénéfice net de 7566,45 FCFA par porc engraissé et vendu.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. AYSSIWEDE Simplice Bosco, Maître de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. ASSANE Moussa, Pr à l’EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : M. OSSEBI Walter, Maître – Assistant à l’E.I.S.M.V. de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 22/12/2016 PAYS : Burundi Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1941 Analyse zootechnico-économique des systèmes d’élevage du porc dans la région naturelle de la Casamance (Sénégal) [texte imprimé] / Félix Nimbona, Auteur . - Dakar : EISMV, 2016 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2016 Mots-clés : SYSTEME D’ELEVAGE PORC SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Une étude diagnostique a été conduite auprès de 324 élevages porcins sous forme
d’enquêtes dans les 3 régions de la Casamance naturelle (sud du Sénégal), pour décrire les
caractéristiques zootechnico-économiques de l’élevage du porc.
Les résultats ont montré que la proportion des hommes propriétaires des porcs (50,15%)
est sensiblement équivalente à celle des femmes (49,85%). Ces éleveurs sont
majoritairement issus des ethnies Diola (41,27%) et Mancagne (36,51%). Ils sont pour la
plupart mariés (65,31%) et instruits (74,06%). Près d’un quart (24,76%) des éleveurs
associent l’élevage porcin à l’agriculture. Ils évoluent dans trois systèmes différents :
traditionnel, semi-intensif et intensif. Le système traditionnel est dominant (85,49 %) et
exploite principalement la race locale (90,43% des exploitations). Dans ce système,
l’élevage est de type naisseur-engraisseur. La taille moyenne du cheptel est de
19,24±20,06 porcs par exploitation. Les porcheries traditionnelles améliorées (51,13%) et
des abris de fortunes (28,43%) sont les habitats les plus dominants. L’accès aux aliments
de porcs est difficile (90,22%), une raison qui ouvre la porte à la divagation avec
claustration saisonnière (73,68%). Les aliments distribués aux porcs sont formulés
essentiellement par les éleveurs eux-mêmes (97,04%) et sont constitués de déchets
alimentaires, de restes de cuisine, de fruits, etc. Les éleveurs dans 98,13% de cas ne
contrôlent pas la reproduction des porcs qui se fait par monte naturelle dans toutes les
exploitations. L’âge moyen à la mise à la reproduction est de 7,56 ±1,76 mois et la taille
moyenne de la portée est de 7,36±2,18 porcelets. Le sevrage se fait selon la volonté de la
truie entre 3 à 6 mois (86,14%). Les pratiques telles que la castration (96,76%) et le
marquage à l’oreille (74,52%) sont réalisées essentiellement par les éleveurs.
Au plan sanitaire, il y a peu de médicaments vétérinaires sur le marché et d’agents de santé
qui s’intéressent à l’élevage de porcs. Ainsi, en cas de maladie, 33,94% des éleveurs
n’appliquent aucun traitement tandis que 35,04% utilisent des médicaments traditionnels.
Les problèmes sanitaires et alimentaires sont de loin les principaux facteurs limitant à la
production porcine dans la région de Casamance.
Au plan économique, ce sous-secteur d’élevage a un réel potentiel de réduction de la
pauvreté car les éleveurs de porc, même dans la forme traditionnelle, arrivent à dégager un
bénéfice net de 7566,45 FCFA par porc engraissé et vendu.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. AYSSIWEDE Simplice Bosco, Maître de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar MEMBRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV de Dakar /M. ASSANE Moussa, Pr à l’EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : M. OSSEBI Walter, Maître – Assistant à l’E.I.S.M.V. de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 22/12/2016 PAYS : Burundi Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1941 Réservation
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MEM16-37Adobe Acrobat PDFRôle des systèmes d’élevage de petits ruminants dans la transmission de la brucellose aux animaux et à l’homme dans les régions de Sikasso, Ségou et le District de Bamako (Mali) / Souleymane Traoré (2019)
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Titre : Rôle des systèmes d’élevage de petits ruminants dans la transmission de la brucellose aux animaux et à l’homme dans les régions de Sikasso, Ségou et le District de Bamako (Mali) Type de document : texte imprimé Auteurs : Souleymane Traoré, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 30 p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : SYSTEME D’ELEVAGE PETIT RUMINANT BRUCELLOSE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’élevage occupe une place importante dans l’économie malienne. Son apport
au produit intérieur brut est estimé à 13 %. La production est assurée par divers
systèmes d’élevages. L’interaction entre ces différents systèmes de production
animale et l’homme est susceptible d’induire de potentiels risques de
transmission de la brucellose. Au Mali, il y a peu d’étude sur la brucellose des
petits ruminants. Cette étude avait pour objectifs de : (i) caractériser les
systèmes d’élevage de petits ruminants ; (ii) déterminer la séroprévalence en
fonction des systèmes d’élevage caractérisés ; (iii) identifier les comportements
à risque susceptibles de favoriser la transmission de la brucellose et enfin (iv)
identifier les facteurs de risque de transmission de la brucellose. Une étude
transversale utilisant un échantillonnage en grappes a été menée dans les régions
de Sikasso, Ségou et dans la périphérie du district de Bamako. Du sang a été
prélevé chez 860 petits ruminants. Les sérums obtenus ont été examinés à l'aide
des tests Rose Bengale et cELISA. En outre, 119 éleveurs ont été interrogés à
l'aide d'un questionnaire structuré. Les systèmes agropastoraux représentaient
47,7% des systèmes identifiés et ceux pastoraux 31%. Les élevages de type
périurbains et urbains représentaient respectivement 17,6% et 7,5% des
élevages. La séroprévalence individuelle était de 4,1%. Au niveau régional, elle
était de 4,4% dans la périphérie du district de Bamako, de 6,7% dans la région
de Ségou et de 2,1% dans celle de Sikasso. La séroprévalence troupeau a été
estimée à 25,2%. Les élevages périurbains semblent plus touchés (38,1%), suivi
des élevages pastoraux (24,3%). Les élevages urbains avaient une
séroprévalence de 22,2% et ceux agropastoraux, une séroprévalence troupeau de
21,1%. Cependant, la différence n’était pas significative (p>0,05). Les
Comportements à risque tels que la promiscuité (90,1%), la mauvaise gestion
des produits d'avortement (37%) et la consommation de produits laitiers non
pasteurisés (33,6%) ont été identifiés comme des comportements à risque
favorisant la transmission à l'homme. De plus, prêter et mélanger des troupeaux
sur des pâturages (63,8%) et les mâles reproducteurs échangés (30,2%) ont été
identifiés comme des comportements à risque pouvant favoriser la transmission
entre animaux. Les animaux vivants dans les communes de Katiena et Cinzana
semblent avoir plus de risque d’être contaminés avec respectivement des Odds
ratio de 9 [1,9 – 6,4(IC95%)] et 6,6 [1,0 – 53,5 (IC95%)]. L’absence d’enclos
(OR = 3,2 [1,3-7,9 (IC95)]) et le maintien des animaux porteur d’hygromas dans
le troupeau (OR = 2,7 [1,1 – 6,2 (IC95%)] rendent les animaux plus susceptibles
à la brucellose. La brucellose est présente dans les élevages de petits ruminants
au Mali. Les éleveurs ont des pratiques identifiées comme pouvant augmenter
les risques de transmission. Ces résultats sont d'une grande importance pour le
développement d'une politique de lutte contre la brucellose au Mali.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV DAKAR MEMBRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. DIOUF Nicolas Djighnoum, Maitre-Assistant à l’UGB de St-Louis (Sénégal) CO-DIRECTEUR : Mme COULIBALY Kadiatou, Laboratoire Central Vétérinaire de Bamako DATE DE SOUTENANCE : 27/07/2019 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2877 Rôle des systèmes d’élevage de petits ruminants dans la transmission de la brucellose aux animaux et à l’homme dans les régions de Sikasso, Ségou et le District de Bamako (Mali) [texte imprimé] / Souleymane Traoré, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 30 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2019 Mots-clés : SYSTEME D’ELEVAGE PETIT RUMINANT BRUCELLOSE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’élevage occupe une place importante dans l’économie malienne. Son apport
au produit intérieur brut est estimé à 13 %. La production est assurée par divers
systèmes d’élevages. L’interaction entre ces différents systèmes de production
animale et l’homme est susceptible d’induire de potentiels risques de
transmission de la brucellose. Au Mali, il y a peu d’étude sur la brucellose des
petits ruminants. Cette étude avait pour objectifs de : (i) caractériser les
systèmes d’élevage de petits ruminants ; (ii) déterminer la séroprévalence en
fonction des systèmes d’élevage caractérisés ; (iii) identifier les comportements
à risque susceptibles de favoriser la transmission de la brucellose et enfin (iv)
identifier les facteurs de risque de transmission de la brucellose. Une étude
transversale utilisant un échantillonnage en grappes a été menée dans les régions
de Sikasso, Ségou et dans la périphérie du district de Bamako. Du sang a été
prélevé chez 860 petits ruminants. Les sérums obtenus ont été examinés à l'aide
des tests Rose Bengale et cELISA. En outre, 119 éleveurs ont été interrogés à
l'aide d'un questionnaire structuré. Les systèmes agropastoraux représentaient
47,7% des systèmes identifiés et ceux pastoraux 31%. Les élevages de type
périurbains et urbains représentaient respectivement 17,6% et 7,5% des
élevages. La séroprévalence individuelle était de 4,1%. Au niveau régional, elle
était de 4,4% dans la périphérie du district de Bamako, de 6,7% dans la région
de Ségou et de 2,1% dans celle de Sikasso. La séroprévalence troupeau a été
estimée à 25,2%. Les élevages périurbains semblent plus touchés (38,1%), suivi
des élevages pastoraux (24,3%). Les élevages urbains avaient une
séroprévalence de 22,2% et ceux agropastoraux, une séroprévalence troupeau de
21,1%. Cependant, la différence n’était pas significative (p>0,05). Les
Comportements à risque tels que la promiscuité (90,1%), la mauvaise gestion
des produits d'avortement (37%) et la consommation de produits laitiers non
pasteurisés (33,6%) ont été identifiés comme des comportements à risque
favorisant la transmission à l'homme. De plus, prêter et mélanger des troupeaux
sur des pâturages (63,8%) et les mâles reproducteurs échangés (30,2%) ont été
identifiés comme des comportements à risque pouvant favoriser la transmission
entre animaux. Les animaux vivants dans les communes de Katiena et Cinzana
semblent avoir plus de risque d’être contaminés avec respectivement des Odds
ratio de 9 [1,9 – 6,4(IC95%)] et 6,6 [1,0 – 53,5 (IC95%)]. L’absence d’enclos
(OR = 3,2 [1,3-7,9 (IC95)]) et le maintien des animaux porteur d’hygromas dans
le troupeau (OR = 2,7 [1,1 – 6,2 (IC95%)] rendent les animaux plus susceptibles
à la brucellose. La brucellose est présente dans les élevages de petits ruminants
au Mali. Les éleveurs ont des pratiques identifiées comme pouvant augmenter
les risques de transmission. Ces résultats sont d'une grande importance pour le
développement d'une politique de lutte contre la brucellose au Mali.PRESIDENT DE JURY : M. KABORET Yalacé Yamba, Pr à l’EISMV de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme BADA ALAMBEDJI Rianatou, Pr à l’EISMV DAKAR MEMBRE : M. SAWADOGO Germain Jérôme, Pr à l’EISMV de Dakar/M. DIOUF Nicolas Djighnoum, Maitre-Assistant à l’UGB de St-Louis (Sénégal) CO-DIRECTEUR : Mme COULIBALY Kadiatou, Laboratoire Central Vétérinaire de Bamako DATE DE SOUTENANCE : 27/07/2019 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2877 Réservation
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MEM19-25Adobe Acrobat PDFAnalyse de la couverture sanitaire des bovins dans le département de Dagana au Sénégal / Khady Diouf (2015)
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Titre : Analyse de la couverture sanitaire des bovins dans le département de Dagana au Sénégal Type de document : texte imprimé Auteurs : Khady Diouf, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2015 Importance : 133 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2015 Mots-clés : BOVIN SYSTEME D’ELEVAGE MALADIE DES ANIMAUX LEGISLATION ZEBU SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Cette présente étude a été réalisée dans le département de Dagana en partenariat avec l’ONG GRET, et vise à analyser la couverture sanitaire des bovins. Ce travail a été fait par palier en utilisant l’approche amont-aval. Il a débuté par une enquête aux niveaux de 35 éleveurs choisis par un tirage aléatoire avec un choix raisonné. Les éléments de réponses obtenus auprès de ces derniers ont permis d’amorcer l’enquête auprès de 4 auxiliaires d’élevage, 3 vétérinaires privés et 4 agents de l’Etat. Les résultats ont été obtenus par dépouillement des questionnaires d’enquêtes.
La très grande majorité des zébus de la zone de Dagana sont de race Gobra (91,4%) qui produit 1,5 à 2 litres de lait par jour. Les éleveurs pratiquent l’élevage extensif avec l’accès aux soins vétérinaires réduit du fait du faible effectif du personnel vétérinaire et du manque de moyens de ces derniers. Les produits vétérinaires sont encore chers. Leur distribution et leur accessibilité sont limitées. Le marché est caractérisé par la vente de médicament frauduleux. Les principales maladies de la zone sont la distomatose, la fièvre aphteuse et la dermatose nodulaire contagieuse
bovine. Ces pathologies ont des répercussions directes sur la production laitière. Les mammites, la brucellose, la fièvre de la vallée du rift, la pasteurellose engendrent des pertes économiques importantes mais ne sont pas fréquentes dans la zone. Sur cette liste de maladie, l’Etat ne vaccine que contre la dermatose nodulaire contagieuse bovine de manière irrégulière. Dans le département de Dagana, les éleveurs participent de manière accrue aux soins vétérinaires via le développement du réseau des auxiliaires d’élevage. La plupart des éleveurs font un abus d’utilisation des
antibiotiques pour traiter les animaux et ne maîtrisent pas les doses de ces médicaments. L’étude des coûts de l’offre de services des différents acteurs comparés au coût des pratiques des éleveurs montre que le coût le plus élevé est le coût de l’offre de service des vétérinaires privés. Le coût des pratiques des éleveurs est le coût le plus bas. Pour augmenter la production laitière, le système de santé du département de
Dagana doit évoluer vers une meilleure accessibilité, rendre aux éleveurs une offre de service disponible adaptée aux besoins et aux contraintes qu’ils rencontrent. Ce système doit surtout inciter les éleveurs à faire la prophylaxie pour éviter les maladies.PRESIDENT DE JURY : M. CISSE Moussa Fafa, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontologie de Dakar. DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M BASTARD Guillaume, Représentant de GRET au Sénégal RAPPORTEUR : M BASTARD Papa El Hassane, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : M ASSANE Moussa, Pr à l'EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : Dr. OSSEBI Walter, Assistant à l’EISMV DATE DE SOUTENANCE : 10/01/2015 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1848 Analyse de la couverture sanitaire des bovins dans le département de Dagana au Sénégal [texte imprimé] / Khady Diouf, Auteur . - Dakar : EISMV, 2015 . - 133 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2015 Mots-clés : BOVIN SYSTEME D’ELEVAGE MALADIE DES ANIMAUX LEGISLATION ZEBU SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Cette présente étude a été réalisée dans le département de Dagana en partenariat avec l’ONG GRET, et vise à analyser la couverture sanitaire des bovins. Ce travail a été fait par palier en utilisant l’approche amont-aval. Il a débuté par une enquête aux niveaux de 35 éleveurs choisis par un tirage aléatoire avec un choix raisonné. Les éléments de réponses obtenus auprès de ces derniers ont permis d’amorcer l’enquête auprès de 4 auxiliaires d’élevage, 3 vétérinaires privés et 4 agents de l’Etat. Les résultats ont été obtenus par dépouillement des questionnaires d’enquêtes.
La très grande majorité des zébus de la zone de Dagana sont de race Gobra (91,4%) qui produit 1,5 à 2 litres de lait par jour. Les éleveurs pratiquent l’élevage extensif avec l’accès aux soins vétérinaires réduit du fait du faible effectif du personnel vétérinaire et du manque de moyens de ces derniers. Les produits vétérinaires sont encore chers. Leur distribution et leur accessibilité sont limitées. Le marché est caractérisé par la vente de médicament frauduleux. Les principales maladies de la zone sont la distomatose, la fièvre aphteuse et la dermatose nodulaire contagieuse
bovine. Ces pathologies ont des répercussions directes sur la production laitière. Les mammites, la brucellose, la fièvre de la vallée du rift, la pasteurellose engendrent des pertes économiques importantes mais ne sont pas fréquentes dans la zone. Sur cette liste de maladie, l’Etat ne vaccine que contre la dermatose nodulaire contagieuse bovine de manière irrégulière. Dans le département de Dagana, les éleveurs participent de manière accrue aux soins vétérinaires via le développement du réseau des auxiliaires d’élevage. La plupart des éleveurs font un abus d’utilisation des
antibiotiques pour traiter les animaux et ne maîtrisent pas les doses de ces médicaments. L’étude des coûts de l’offre de services des différents acteurs comparés au coût des pratiques des éleveurs montre que le coût le plus élevé est le coût de l’offre de service des vétérinaires privés. Le coût des pratiques des éleveurs est le coût le plus bas. Pour augmenter la production laitière, le système de santé du département de
Dagana doit évoluer vers une meilleure accessibilité, rendre aux éleveurs une offre de service disponible adaptée aux besoins et aux contraintes qu’ils rencontrent. Ce système doit surtout inciter les éleveurs à faire la prophylaxie pour éviter les maladies.PRESIDENT DE JURY : M. CISSE Moussa Fafa, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontologie de Dakar. DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M BASTARD Guillaume, Représentant de GRET au Sénégal RAPPORTEUR : M BASTARD Papa El Hassane, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : M ASSANE Moussa, Pr à l'EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : Dr. OSSEBI Walter, Assistant à l’EISMV DATE DE SOUTENANCE : 10/01/2015 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1848 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1258 TD15-2 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
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TD15-2Adobe Acrobat PDFCaractéristiques des élevages avicoles et porcins dans la province de l’estuaire au Gabon / Malekou Tsatsabi (2018)
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Titre : Caractéristiques des élevages avicoles et porcins dans la province de l’estuaire au Gabon : contraintes et perspectives d’amélioration Type de document : texte imprimé Auteurs : Malekou Tsatsabi, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2018 Importance : 95 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2018 Mots-clés : SYSTEME D’ELEVAGE AVICULTURE PORCIN VOLAILLE GABON Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La présente étude a pour objectif général de contribuer à une meilleure connaissance des systèmes d’élevages avicoles et porcins dans la province de l’Estuaire au Gabon. Elle s’est déroulée sous forme d’enquête durant la période de Septembre à Décembre 2017. En outre un échantillon de 84 fermes a été enquêté dont 50 fermes avicoles (59,5%) et 34 fermes porcines (40,5%). Ainsi, il a été constaté au terme de cette étude que l’élevage dans la province de l’Estuaire, qu’il soit avicole ou porcin, est majoritairement pratiqué par des étrangers, en zone péri-urbaine et constitue pour eux une activité principale. Ces éleveurs sont pour la plus part des hommes, et n’ont reçu aucune formation dans le domaine. L’investissement consenti pour lancer leurs projets a été fait essentiellement sur fonds propre et la majorité de leurs fermes ne sont pas électrifiés. Les bâtiments d’élevages sont en général mal construits avec des matériaux diverses. En élevage avicole, ces bâtiments sont majoritairement de type ouvert (88%). La spéculation pondeuse utilisant la souche « Isa Brown » est la plus rencontrée dans les élevages et les normes de densités ne sont pas respectées le plus souvent. La taille du cheptel varie de 3852 sujets en moyenne en élevage de poules pondeuses à 766
sujets en moyenne dans la spéculation chair. Les oiseaux sont élevés sur sol cimenté (92%) et l’alimentation des sujets est assurée par l’achat d’aliments spécifiques auprès de la SMAG (98%) avec l’eau de puits qui constitue la principale source d’abreuvement (52%). Les mesures de prophylaxie sanitaire ne sont pas respectées par les aviculteurs ce qui exposent les volailles à de nombreuses pathologies dont les plus fréquemment déclarés sont : les coccidioses (100%) et les affections respiratoires (72%). La commercialisation est assez dynamique pour les œufs, mais elle est plutôt difficile lorsqu’il s’agit de la vente de sujets de chair en raison des importations. En élevage porcin toutes les exploitations sont de types mixtes (naisseur-engraisseur), avec une prédominance des races porcines métisses. L’achat constitue le principal mode d’acquisition des porcs et la taille du cheptel est en moyenne de 69,71 sujets par élevage. La claustration permanente reste le mode d’élevage utilisé partout. L’âge au sevrage est en moyenne de 7,75 semaines. La castration est peu pratiquée (38%) et elle survient lorsque l’animal a entre 3 semaines et 2 mois d’âge. Les systèmes d’alimentation sont très variés et sont surtout basée sur l’utilisation d’un mélange de matières premières (62%) dont les principales sont la drêche de brasserie et le son de blé. S’agissant des pathologies rencontrées, les plus dominantes sont la gale (76,47%) et les diarrhées chez les porcelets (97,06%). En effet, les porciculteurs de la province ne respectent aucunes mesures de prophylaxie sanitaire et médicale. La commercialisation des produits quant à elle, rencontre les mêmes difficultés que celles des poulets de chair d’une part et d’autre part à cause du manque d’organisation de la filière porcine. Au terme de notre étude, les contraintes rencontrées par les éleveurs ont été mis en évidence et des recommandations ont été formulées à l’endroit des différents acteursPRESIDENT DE JURY : M. FALL Djibril, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Odontologie de Dakar. DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. AYSSIWEDE Simplice Bosco, Maître de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar RAPPORTEUR : M .AYSSIWEDE Simplice Bosco, Maître de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar MEMBRE : M. GBATI Oubri Bassa, Maître de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar/M. NTEME ELLA Gualbert Simon, Maitre de Conférence Agrégé à l’EISMV à Dakar CO-DIRECTEUR : M. MFOUMOU OKOUYI Marcel W’otari , Enseignant-chercheur à l’INSAB – USTM de Franceville DATE DE SOUTENANCE : 25/07/2018 PAYS : Gabon Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2032 Caractéristiques des élevages avicoles et porcins dans la province de l’estuaire au Gabon : contraintes et perspectives d’amélioration [texte imprimé] / Malekou Tsatsabi, Auteur . - Dakar : EISMV, 2018 . - 95 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2018 Mots-clés : SYSTEME D’ELEVAGE AVICULTURE PORCIN VOLAILLE GABON Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La présente étude a pour objectif général de contribuer à une meilleure connaissance des systèmes d’élevages avicoles et porcins dans la province de l’Estuaire au Gabon. Elle s’est déroulée sous forme d’enquête durant la période de Septembre à Décembre 2017. En outre un échantillon de 84 fermes a été enquêté dont 50 fermes avicoles (59,5%) et 34 fermes porcines (40,5%). Ainsi, il a été constaté au terme de cette étude que l’élevage dans la province de l’Estuaire, qu’il soit avicole ou porcin, est majoritairement pratiqué par des étrangers, en zone péri-urbaine et constitue pour eux une activité principale. Ces éleveurs sont pour la plus part des hommes, et n’ont reçu aucune formation dans le domaine. L’investissement consenti pour lancer leurs projets a été fait essentiellement sur fonds propre et la majorité de leurs fermes ne sont pas électrifiés. Les bâtiments d’élevages sont en général mal construits avec des matériaux diverses. En élevage avicole, ces bâtiments sont majoritairement de type ouvert (88%). La spéculation pondeuse utilisant la souche « Isa Brown » est la plus rencontrée dans les élevages et les normes de densités ne sont pas respectées le plus souvent. La taille du cheptel varie de 3852 sujets en moyenne en élevage de poules pondeuses à 766
sujets en moyenne dans la spéculation chair. Les oiseaux sont élevés sur sol cimenté (92%) et l’alimentation des sujets est assurée par l’achat d’aliments spécifiques auprès de la SMAG (98%) avec l’eau de puits qui constitue la principale source d’abreuvement (52%). Les mesures de prophylaxie sanitaire ne sont pas respectées par les aviculteurs ce qui exposent les volailles à de nombreuses pathologies dont les plus fréquemment déclarés sont : les coccidioses (100%) et les affections respiratoires (72%). La commercialisation est assez dynamique pour les œufs, mais elle est plutôt difficile lorsqu’il s’agit de la vente de sujets de chair en raison des importations. En élevage porcin toutes les exploitations sont de types mixtes (naisseur-engraisseur), avec une prédominance des races porcines métisses. L’achat constitue le principal mode d’acquisition des porcs et la taille du cheptel est en moyenne de 69,71 sujets par élevage. La claustration permanente reste le mode d’élevage utilisé partout. L’âge au sevrage est en moyenne de 7,75 semaines. La castration est peu pratiquée (38%) et elle survient lorsque l’animal a entre 3 semaines et 2 mois d’âge. Les systèmes d’alimentation sont très variés et sont surtout basée sur l’utilisation d’un mélange de matières premières (62%) dont les principales sont la drêche de brasserie et le son de blé. S’agissant des pathologies rencontrées, les plus dominantes sont la gale (76,47%) et les diarrhées chez les porcelets (97,06%). En effet, les porciculteurs de la province ne respectent aucunes mesures de prophylaxie sanitaire et médicale. La commercialisation des produits quant à elle, rencontre les mêmes difficultés que celles des poulets de chair d’une part et d’autre part à cause du manque d’organisation de la filière porcine. Au terme de notre étude, les contraintes rencontrées par les éleveurs ont été mis en évidence et des recommandations ont été formulées à l’endroit des différents acteursPRESIDENT DE JURY : M. FALL Djibril, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Odontologie de Dakar. DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. AYSSIWEDE Simplice Bosco, Maître de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar RAPPORTEUR : M .AYSSIWEDE Simplice Bosco, Maître de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar MEMBRE : M. GBATI Oubri Bassa, Maître de Conférences Agrégé à l’EISMV de Dakar/M. NTEME ELLA Gualbert Simon, Maitre de Conférence Agrégé à l’EISMV à Dakar CO-DIRECTEUR : M. MFOUMOU OKOUYI Marcel W’otari , Enseignant-chercheur à l’INSAB – USTM de Franceville DATE DE SOUTENANCE : 25/07/2018 PAYS : Gabon Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2032 Réservation
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TD18-12Adobe Acrobat PDFEtude rétrospective (1980-1990) des caractéristiques zootechniques des vaches en stabulation au Centre de Recherches zootechniques de Wakwa - Cameroun / Elie Badai (2008)
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Titre : Etude rétrospective (1980-1990) des caractéristiques zootechniques des vaches en stabulation au Centre de Recherches zootechniques de Wakwa - Cameroun Type de document : texte imprimé Auteurs : Elie Badai, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2008 Importance : 100 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2008 Mots-clés : SYSTEME D’ELEVAGE VACHE CAMEROUN Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : En Afrique, le système de production laitier et la faible productivité des races locales (1 à 4 litres de lait par jour en moyenne) ne permettent pas de satisfaire la demande en lait et en produits laitiers. Au Cameroun comme dans beaucoup de pays africains, l’utilisation de l’insémination artificielle pour l’intensification de la production de lait et de viande s’est avérée nécessaire. L’obtention d’un veau par vache et par an est exigée pour une bonne rentabilité. L’amélioration des paramètres de reproduction, des performances de reproduction et des performances de production des vaches parait fondamentale. Pour atteindre ces objectifs, il a été crée des centres de recherches zootechniques par les pouvoirs publics. Notre étude s’est réalisée sur 305 vaches dont 23 Holstein, 48 métisses Holstein, 68 métisses Montbéliarde, 8 Charolaises et 158 Goudali du Centre de Recherches Zootechniques de Wakwa dans la province de l’Adamaoua au Cameroun. Cette étude rétrospective sur 10 années (1980-1990) a pour objectif principal l’évaluation des caractéristiques zootechniques des vaches. C’est ainsi que des registres de ces animaux ont été exploités pour déterminer les paramètres de reproduction, les performances de reproduction et de production. De ces évaluations il a été observé une influence de la race sur le taux d’avortement, la gémellité, la durée de gestation, l’intervalle vêlage – IA fécondante. Cependant la mortalité des veaux, la mortinatalité, le sex-ratio, l’intervalle entre vêlages et l’âge à la 1ère mise bas ne sont pas influencés par la race. La production laitière est influencée par le numéro de lactation et par la raca. La redynamisation de la recherche pour le développement en productions animales est nécessaire. Les centres de recherches doivent aussi mettre à la disposition de la population des races productives et capables de s’adapter à l’environnement.
PRESIDENT DE JURY : M. SOW Lamine, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odonto – Stomatologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. DIOP Papa El Hassane, Pr à l’EISMV de Dakar RAPPORTEUR : M. DIOP Papa El Hassane, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : M. BAKOU Serge Niangoran, Pr à l’EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : M. KAMGA WALADJO Alain Richi, Assistant à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 11/07/2008 PAYS : Cameroun Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1570 Etude rétrospective (1980-1990) des caractéristiques zootechniques des vaches en stabulation au Centre de Recherches zootechniques de Wakwa - Cameroun [texte imprimé] / Elie Badai, Auteur . - Dakar : EISMV, 2008 . - 100 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2008 Mots-clés : SYSTEME D’ELEVAGE VACHE CAMEROUN Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : En Afrique, le système de production laitier et la faible productivité des races locales (1 à 4 litres de lait par jour en moyenne) ne permettent pas de satisfaire la demande en lait et en produits laitiers. Au Cameroun comme dans beaucoup de pays africains, l’utilisation de l’insémination artificielle pour l’intensification de la production de lait et de viande s’est avérée nécessaire. L’obtention d’un veau par vache et par an est exigée pour une bonne rentabilité. L’amélioration des paramètres de reproduction, des performances de reproduction et des performances de production des vaches parait fondamentale. Pour atteindre ces objectifs, il a été crée des centres de recherches zootechniques par les pouvoirs publics. Notre étude s’est réalisée sur 305 vaches dont 23 Holstein, 48 métisses Holstein, 68 métisses Montbéliarde, 8 Charolaises et 158 Goudali du Centre de Recherches Zootechniques de Wakwa dans la province de l’Adamaoua au Cameroun. Cette étude rétrospective sur 10 années (1980-1990) a pour objectif principal l’évaluation des caractéristiques zootechniques des vaches. C’est ainsi que des registres de ces animaux ont été exploités pour déterminer les paramètres de reproduction, les performances de reproduction et de production. De ces évaluations il a été observé une influence de la race sur le taux d’avortement, la gémellité, la durée de gestation, l’intervalle vêlage – IA fécondante. Cependant la mortalité des veaux, la mortinatalité, le sex-ratio, l’intervalle entre vêlages et l’âge à la 1ère mise bas ne sont pas influencés par la race. La production laitière est influencée par le numéro de lactation et par la raca. La redynamisation de la recherche pour le développement en productions animales est nécessaire. Les centres de recherches doivent aussi mettre à la disposition de la population des races productives et capables de s’adapter à l’environnement.
PRESIDENT DE JURY : M. SOW Lamine, Pr à la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odonto – Stomatologie de Dakar DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. DIOP Papa El Hassane, Pr à l’EISMV de Dakar RAPPORTEUR : M. DIOP Papa El Hassane, Pr à l’EISMV de Dakar MEMBRE : M. BAKOU Serge Niangoran, Pr à l’EISMV de Dakar CO-DIRECTEUR : M. KAMGA WALADJO Alain Richi, Assistant à l’EISMV de Dakar DATE DE SOUTENANCE : 11/07/2008 PAYS : Cameroun Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1570 Réservation
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TD08-30Adobe Acrobat PDFMode de gestion et rôles socio-économiques de la race Bororo au Niger / Idiguini Mahaman Bachir Adamou (2019)
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