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Titre : Analyse de la chaine de valeur lait dans la région de Kaolack (Sénégal) Type de document : texte imprimé Auteurs : Falou Ndiaye, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2017 Importance : 117 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : LAIT COUT DE PRODUCTION SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Cette présente étude vise à décrire l’organisation des activités des acteurs de la chaîne de valeur du lait dans la région de Kaolack. Elle s’est déroulée du 1er Septembre 2014 au 26 octobre 2014 et a porté sur 174 producteurs, 166 transformateurs, 10 collecteurs et une laiterie. Après analyse des résultats, il ressort de cette étude que la production laitière est principalement assurée par les hommes 87 ,4% et que ces producteurs sont en majorité d’ethnie peul (65,4 %) et agro-pasteurs pour la plupart. L’alimentation de base des animaux qui pour la quasi-totalité sont en élevage traditionnel est constituée essentiellement par les pâturages et les résidus de récolte. La production moyenne est de 6,66±5,74 litres par jour par exploitation en saison sèche. Par contre en saison des pluies la production moyenne par éleveur est de 11,51± 6,17 litres par jour. ce lait est autoconsommé en raison de 1,62l/j en saison sèche et 2,72l/j en saison des pluies. Le chiffre d’affaire s’élève en moyenne à 834237,80 FCFA par exploitation et par an. Ce qui donne une valeur ajoutée de 37847,50 FCFA par an. Les marges obtenues sur chaque litre de lait produit sont, respectivement, 336,61 FCFA et -21,182CFCA en saison des pluies et en saison sèche. Au moment où chez les transformatrices, les marges sont de 37, 417 F CFA par litre de lait transformé si le lait cru est acheté chez les producteurs et 439, 579 FC FA si ce lait est directement tiré de l’exploitation familiale. La mini laiterie quant à elle réalise une marge de 421,495 FCFA sur chaque litre de lait transformé. La valeur ajoutée globale par litre de lait produit et commercialisé peut atteindre 1018,788 FCFA. Face à des problèmes qui touchent leur vécu quotidien, des solutions ont été proposées les acteurs de la chaîne. Des recommandations ont été faites sur la base des résultats obtenus après l’analyse de la chaine de valeur dans le but de remédier aux contraintes. PRESIDENT DE JURY : M. Bara NDIAYE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Alain Richi KAMGA WALADJO RAPPORTEUR : M. Alain Richi KAMGA WALADJO MEMBRE : M. Papa El Hassan DIOP CO-DIRECTEUR : M. Dr Walter OSSEBI DATE DE SOUTENANCE : 12/04/2017 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1968 Analyse de la chaine de valeur lait dans la région de Kaolack (Sénégal) [texte imprimé] / Falou Ndiaye, Auteur . - Dakar : EISMV, 2017 . - 117 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : LAIT COUT DE PRODUCTION SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Cette présente étude vise à décrire l’organisation des activités des acteurs de la chaîne de valeur du lait dans la région de Kaolack. Elle s’est déroulée du 1er Septembre 2014 au 26 octobre 2014 et a porté sur 174 producteurs, 166 transformateurs, 10 collecteurs et une laiterie. Après analyse des résultats, il ressort de cette étude que la production laitière est principalement assurée par les hommes 87 ,4% et que ces producteurs sont en majorité d’ethnie peul (65,4 %) et agro-pasteurs pour la plupart. L’alimentation de base des animaux qui pour la quasi-totalité sont en élevage traditionnel est constituée essentiellement par les pâturages et les résidus de récolte. La production moyenne est de 6,66±5,74 litres par jour par exploitation en saison sèche. Par contre en saison des pluies la production moyenne par éleveur est de 11,51± 6,17 litres par jour. ce lait est autoconsommé en raison de 1,62l/j en saison sèche et 2,72l/j en saison des pluies. Le chiffre d’affaire s’élève en moyenne à 834237,80 FCFA par exploitation et par an. Ce qui donne une valeur ajoutée de 37847,50 FCFA par an. Les marges obtenues sur chaque litre de lait produit sont, respectivement, 336,61 FCFA et -21,182CFCA en saison des pluies et en saison sèche. Au moment où chez les transformatrices, les marges sont de 37, 417 F CFA par litre de lait transformé si le lait cru est acheté chez les producteurs et 439, 579 FC FA si ce lait est directement tiré de l’exploitation familiale. La mini laiterie quant à elle réalise une marge de 421,495 FCFA sur chaque litre de lait transformé. La valeur ajoutée globale par litre de lait produit et commercialisé peut atteindre 1018,788 FCFA. Face à des problèmes qui touchent leur vécu quotidien, des solutions ont été proposées les acteurs de la chaîne. Des recommandations ont été faites sur la base des résultats obtenus après l’analyse de la chaine de valeur dans le but de remédier aux contraintes. PRESIDENT DE JURY : M. Bara NDIAYE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Alain Richi KAMGA WALADJO RAPPORTEUR : M. Alain Richi KAMGA WALADJO MEMBRE : M. Papa El Hassan DIOP CO-DIRECTEUR : M. Dr Walter OSSEBI DATE DE SOUTENANCE : 12/04/2017 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1968 Réservation
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Titre : Analyse du fonctionnement de la chaine de valeur bétail au Mali : cas du commerce de bétail sur l’axe Mali-Sénégal. Type de document : texte imprimé Auteurs : Alou Dolo, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2017 Importance : 67 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : BETAIL COMMERCIALISATION SENEGAL MALI Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Le Mali est un pays d’Afrique de l’Ouest à vocation agro-sylvo-pastorale. Disposant d’un effectif numérique du cheptel, le bétail malien fait l’objet d’exportation vers les pays de la sous-région. Avec la crise ivoirienne de 2002, l’exportation de bétail vers le Sénégal a augmenté de façon
considérable. Cette opportunité d’une nouvelle chaine de commerce fait intervenir une multitude d’acteur qui renchérit le prix du bétail et rend le bétail moins compétitif le bétail malien sur le marché Sénégalais. C’est dans cette optique qu’une étude a été entreprise pour analyser le fonctionnement de la chaine de valeur bétail sur l’axe de commerce Mali - Sénégal. Cette étude a intéressé 14 marchés à bétail au Mali et au Sénégal a permis de recueillir les informations auprès des intervenants de la chaine de valeur. Ce travail vise à faire une typologie des acteurs et une évaluation économique de leurs activités afin de formuler des recommandations pour améliorer son fonctionnement. Un questionnaire a été administré auprès de 100 acteurs de la chaine. Les résultats montrent que les acteurs intervenant dans la chaine de valeur sont les producteurs, les
commerçants qui sont majoritairement présent sur les marchés une proportion de 69.8% et les bouchers. La vente de bovins s’avère la plus rentable pour les commerçants avec une marge moyenne de 59 000 F CFA. Pour la vente de petits ruminants les bouchers
détiennent une marge plus élevée avec une moyenne de 17 000 F CFA et 10 000F CFA pour les ovins et caprins respectivement. Les producteurs sont les plus lésés de la chaine de valeur en termes de rentabilité économique. Pour améliorer le fonctionnement du commerce de bétail entre le Mali et le Sénégal, les deux Etats , doivent assouplir le nombre de barrière de contrôle sur les axes de convoyages en les réduisant au strict minimum, entrevoir une possibilité de financement de l’activité des acteurs et crée un cadre de concertation entre les deux Etats, les acteurs et les institutions financements pour une redynamisation de la chaine de commerce.PRESIDENT DE JURY : M. Djibril FALL DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Alain Richi KAMGA WALADJO RAPPORTEUR : M. Rock Allister LAPO MEMBRE : M. Moussa ASSANE CO-DIRECTEUR : M. Alpha Oumar KERGNA DATE DE SOUTENANCE : 16/12/2017 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2005 Analyse du fonctionnement de la chaine de valeur bétail au Mali : cas du commerce de bétail sur l’axe Mali-Sénégal. [texte imprimé] / Alou Dolo, Auteur . - Dakar : EISMV, 2017 . - 67 p.
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Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : BETAIL COMMERCIALISATION SENEGAL MALI Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Le Mali est un pays d’Afrique de l’Ouest à vocation agro-sylvo-pastorale. Disposant d’un effectif numérique du cheptel, le bétail malien fait l’objet d’exportation vers les pays de la sous-région. Avec la crise ivoirienne de 2002, l’exportation de bétail vers le Sénégal a augmenté de façon
considérable. Cette opportunité d’une nouvelle chaine de commerce fait intervenir une multitude d’acteur qui renchérit le prix du bétail et rend le bétail moins compétitif le bétail malien sur le marché Sénégalais. C’est dans cette optique qu’une étude a été entreprise pour analyser le fonctionnement de la chaine de valeur bétail sur l’axe de commerce Mali - Sénégal. Cette étude a intéressé 14 marchés à bétail au Mali et au Sénégal a permis de recueillir les informations auprès des intervenants de la chaine de valeur. Ce travail vise à faire une typologie des acteurs et une évaluation économique de leurs activités afin de formuler des recommandations pour améliorer son fonctionnement. Un questionnaire a été administré auprès de 100 acteurs de la chaine. Les résultats montrent que les acteurs intervenant dans la chaine de valeur sont les producteurs, les
commerçants qui sont majoritairement présent sur les marchés une proportion de 69.8% et les bouchers. La vente de bovins s’avère la plus rentable pour les commerçants avec une marge moyenne de 59 000 F CFA. Pour la vente de petits ruminants les bouchers
détiennent une marge plus élevée avec une moyenne de 17 000 F CFA et 10 000F CFA pour les ovins et caprins respectivement. Les producteurs sont les plus lésés de la chaine de valeur en termes de rentabilité économique. Pour améliorer le fonctionnement du commerce de bétail entre le Mali et le Sénégal, les deux Etats , doivent assouplir le nombre de barrière de contrôle sur les axes de convoyages en les réduisant au strict minimum, entrevoir une possibilité de financement de l’activité des acteurs et crée un cadre de concertation entre les deux Etats, les acteurs et les institutions financements pour une redynamisation de la chaine de commerce.PRESIDENT DE JURY : M. Djibril FALL DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Alain Richi KAMGA WALADJO RAPPORTEUR : M. Rock Allister LAPO MEMBRE : M. Moussa ASSANE CO-DIRECTEUR : M. Alpha Oumar KERGNA DATE DE SOUTENANCE : 16/12/2017 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2005 Réservation
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TD17-40Adobe Acrobat PDF Analyse des pratiques apicoles et infestation à Varroa sp. dans les régions de Dakar et Thiès (Sénégal). / Madondone Diouf (2017)
Titre : Analyse des pratiques apicoles et infestation à Varroa sp. dans les régions de Dakar et Thiès (Sénégal). Type de document : texte imprimé Auteurs : Madondone Diouf, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2017 Importance : 97 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : APICULTURE ABEILLE INFESTATION ACARIEN PARASITE ANTIPARASITAIRE VARROA SP RUCHE SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Cette étude a pour objectif d’analyser les pratiques apicoles et l’infestation à Varroa sp. au Sénégal. Elle a eu lieu d’octobre 2016 à avril 2017 dans les régions de Dakar et Thiès. Au total 16 exploitations et 5 essaims ont été concernés par cette étude et s’est déroulée en
deux phases.La première phase consiste à effectuer des prélèvements d’abeilles nourrices dans les cadres de couvains. La deuxième phase concerne le questionnaire portant sur les caractéristiques sociodémographiques de l’apiculteur, la présentation et la gestion de l’exploitation apicole, la santé des abeilles, les traitements des ruchers et les contraintes rencontrées dans la pratique. Il ressort des enquêtes que la filière apicole est considérée comme une activité complémentaire pratiquée généralement par des personnes d’un âge avancé. Pratiquement, la majorité des personnes qui s’y adonnent (87%) sont âgées de plus de 40 ans. La taille des exploitations apicoles est quasi exclusivement petite avec seulement au maximum 20 colonies sur les 81,25%. Les types de ruches utilisées dans la zone sont soit modernes (ruche Langstroth) soit intermédiaires (ruches Vauthier, Kenyane ou en carton). Les stratégies de peuplement mises en œuvre par ces apiculteurs sont très variées mais l’essaimage naturel reste la plus répandue (100%) suivie de la capture d’essaims naturels (56%) puis la récupération d’essaims dans les habitats humains (62%). La production de
miel est prédominante mais néanmoins la cire et la pollinisation sont exploitées. Il ressort des prélèvements que 85% des ruches des régions de Dakar et Thiès sont infestées à l’acarien Varroa sp.. Ils mettent en exergue la présence de trois espèces qui sont : Varroa destructor (47%), Varroa jacobsoni (42%) et Varroa rindereri (11%). En vue d’améliorer les pratiques apicoles et de sauver l’abeille domestique, sentinelle de
l’environnement, des recommandations adressées aux apiculteurs, aux pouvoirs public et aux chercheurs ont été faitesPRESIDENT DE JURY : M. Bara NDIAYE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI RAPPORTEUR : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : M. Serge Niangoran BAKOU DATE DE SOUTENANCE : 27/07/2017 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1996 Analyse des pratiques apicoles et infestation à Varroa sp. dans les régions de Dakar et Thiès (Sénégal). [texte imprimé] / Madondone Diouf, Auteur . - Dakar : EISMV, 2017 . - 97 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : APICULTURE ABEILLE INFESTATION ACARIEN PARASITE ANTIPARASITAIRE VARROA SP RUCHE SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Cette étude a pour objectif d’analyser les pratiques apicoles et l’infestation à Varroa sp. au Sénégal. Elle a eu lieu d’octobre 2016 à avril 2017 dans les régions de Dakar et Thiès. Au total 16 exploitations et 5 essaims ont été concernés par cette étude et s’est déroulée en
deux phases.La première phase consiste à effectuer des prélèvements d’abeilles nourrices dans les cadres de couvains. La deuxième phase concerne le questionnaire portant sur les caractéristiques sociodémographiques de l’apiculteur, la présentation et la gestion de l’exploitation apicole, la santé des abeilles, les traitements des ruchers et les contraintes rencontrées dans la pratique. Il ressort des enquêtes que la filière apicole est considérée comme une activité complémentaire pratiquée généralement par des personnes d’un âge avancé. Pratiquement, la majorité des personnes qui s’y adonnent (87%) sont âgées de plus de 40 ans. La taille des exploitations apicoles est quasi exclusivement petite avec seulement au maximum 20 colonies sur les 81,25%. Les types de ruches utilisées dans la zone sont soit modernes (ruche Langstroth) soit intermédiaires (ruches Vauthier, Kenyane ou en carton). Les stratégies de peuplement mises en œuvre par ces apiculteurs sont très variées mais l’essaimage naturel reste la plus répandue (100%) suivie de la capture d’essaims naturels (56%) puis la récupération d’essaims dans les habitats humains (62%). La production de
miel est prédominante mais néanmoins la cire et la pollinisation sont exploitées. Il ressort des prélèvements que 85% des ruches des régions de Dakar et Thiès sont infestées à l’acarien Varroa sp.. Ils mettent en exergue la présence de trois espèces qui sont : Varroa destructor (47%), Varroa jacobsoni (42%) et Varroa rindereri (11%). En vue d’améliorer les pratiques apicoles et de sauver l’abeille domestique, sentinelle de
l’environnement, des recommandations adressées aux apiculteurs, aux pouvoirs public et aux chercheurs ont été faitesPRESIDENT DE JURY : M. Bara NDIAYE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI RAPPORTEUR : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : M. Serge Niangoran BAKOU DATE DE SOUTENANCE : 27/07/2017 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1996 Réservation
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TD17-31Adobe Acrobat PDF Analyses des pratiques apicoles et principales contraintes de l’apiculture au Sénégal / Gbohounou Fabrice Gnali (2017)
Titre : Analyses des pratiques apicoles et principales contraintes de l’apiculture au Sénégal : cas des départements de Tivaouane, Mbour Foundiougne et Vélingara. Type de document : texte imprimé Auteurs : Gbohounou Fabrice Gnali, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2017 Importance : 87 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : APICULTURE ABEILLE SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Au Sénégal, l’apiculture est une activité pratiquée par les populations rurale et permet une augmentation de leur revenu monétaire. Une enquête descriptive a été conduite dans les départements de Mbour Tivaouane, Foundiougne et Vélingara auprès de 130 apiculteurs dans
l’objectif de réaliser une caractérisation des pratiques apicoles et d’identifier les contraintes majeures qui freinent le développement de cette activité. La zone d’étude possède d’énormes ressources naturelles adéquates, une longue tradition et culture apicole et une connaissance à plus de 69% de l’importance de l’abeille dans l’environnement. Les apiculteurs enquêtés étaient en majorité des hommes (96 %), avec un âge moyen de 54 ans. La majorité des apiculteurs, 71% utilisent des ruches contre 29% qui font de la cueillette. Les apiculteurs utilisent 1065 ruches traditionnelles contre 258 ruches modernes qui sont posées majoritairement pendant la saison sèche 60%, en permanence 37% mais très faiblement pendant la saison des pluies 3%. La récolte quant à elle se fait majoritairement pendant la saison sèche (janvier à juin) 80% et à 20% le reste de l’année. Cependant, la pratique de l’apiculture, par les apiculteurs individuels rencontre des perturbations et des difficultés. Les perturbations à savoir l’abandon des ruches 52%, les mortalités 35%, la réduction de la taille des colonies 11%, entrainent la diminution des productions des apiculteurs. Les principales contraintes à l’exploitation du potentiel apicole dans la zone sont, le manque d'équipements apicoles 49%, les problèmes environnementaux à savoir la pénurie de fourrage pour les abeilles par la baisse de la densité forestière 18%, le manque de formation et les mauvaises pratiques apicoles 9% et les difficultés pour écouler le miel produit 9% du fait des difficultés d’accès au réseau routier constitue une préoccupation pour les apiculteurs. Au regard des contraintes rencontrées par les apiculteurs, des actions en faveurs de l’apiculture dans la zone d’étude sont indispensables pour un développement de ce secteur porteur pour l’économie rurale. Ces actions sont celles de fournir aux apiculteurs des équipements à faible coût et créer des infrastructures adéquates. Il est nécessaire voir primordial de faire des investigations sur les maladies, les prédateurs et les ravageurs.PRESIDENT DE JURY : M. Alassane WELE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : M. Serge Niangoran BAKOU CO-DIRECTEUR : Mme. Fatoumata Barry DATE DE SOUTENANCE : 25/07/2017 PAYS : REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1992 Analyses des pratiques apicoles et principales contraintes de l’apiculture au Sénégal : cas des départements de Tivaouane, Mbour Foundiougne et Vélingara. [texte imprimé] / Gbohounou Fabrice Gnali, Auteur . - Dakar : EISMV, 2017 . - 87 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : APICULTURE ABEILLE SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Au Sénégal, l’apiculture est une activité pratiquée par les populations rurale et permet une augmentation de leur revenu monétaire. Une enquête descriptive a été conduite dans les départements de Mbour Tivaouane, Foundiougne et Vélingara auprès de 130 apiculteurs dans
l’objectif de réaliser une caractérisation des pratiques apicoles et d’identifier les contraintes majeures qui freinent le développement de cette activité. La zone d’étude possède d’énormes ressources naturelles adéquates, une longue tradition et culture apicole et une connaissance à plus de 69% de l’importance de l’abeille dans l’environnement. Les apiculteurs enquêtés étaient en majorité des hommes (96 %), avec un âge moyen de 54 ans. La majorité des apiculteurs, 71% utilisent des ruches contre 29% qui font de la cueillette. Les apiculteurs utilisent 1065 ruches traditionnelles contre 258 ruches modernes qui sont posées majoritairement pendant la saison sèche 60%, en permanence 37% mais très faiblement pendant la saison des pluies 3%. La récolte quant à elle se fait majoritairement pendant la saison sèche (janvier à juin) 80% et à 20% le reste de l’année. Cependant, la pratique de l’apiculture, par les apiculteurs individuels rencontre des perturbations et des difficultés. Les perturbations à savoir l’abandon des ruches 52%, les mortalités 35%, la réduction de la taille des colonies 11%, entrainent la diminution des productions des apiculteurs. Les principales contraintes à l’exploitation du potentiel apicole dans la zone sont, le manque d'équipements apicoles 49%, les problèmes environnementaux à savoir la pénurie de fourrage pour les abeilles par la baisse de la densité forestière 18%, le manque de formation et les mauvaises pratiques apicoles 9% et les difficultés pour écouler le miel produit 9% du fait des difficultés d’accès au réseau routier constitue une préoccupation pour les apiculteurs. Au regard des contraintes rencontrées par les apiculteurs, des actions en faveurs de l’apiculture dans la zone d’étude sont indispensables pour un développement de ce secteur porteur pour l’économie rurale. Ces actions sont celles de fournir aux apiculteurs des équipements à faible coût et créer des infrastructures adéquates. Il est nécessaire voir primordial de faire des investigations sur les maladies, les prédateurs et les ravageurs.PRESIDENT DE JURY : M. Alassane WELE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : M. Serge Niangoran BAKOU CO-DIRECTEUR : Mme. Fatoumata Barry DATE DE SOUTENANCE : 25/07/2017 PAYS : REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1992 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1385 TD17-27 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
TD17-27Adobe Acrobat PDF Bilan des campagnes nationales d’insémination artificielle bovine au Burkina Faso / Mariam Alhamdou (2017)
Titre : Bilan des campagnes nationales d’insémination artificielle bovine au Burkina Faso Type de document : texte imprimé Auteurs : Mariam Alhamdou, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2017 Importance : 92 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : BOVIN INSEMINATION ARTIFICIELLE REPRODUCTION BURKINA FASO Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Le Burkina Faso est un pays à vocation agropastorale. Dans sa politique de développement du sous-secteur de l’élevage, plusieurs programmes ont été élaborés afin d’augmenter son niveau de productivité. C’est ainsi que l’Etat a initié les campagnes d’IA en 2009. Ces campagnes sont supervisées par le CMAP en partenariats avec des projets comme le PAFASP, le PAPSA et d’autres structures privées comme le CETIA. Mais depuis le début de ces campagnes, aucun bilan n’a été fait et en 2015, pour divers raisons, l’Etat n’a plus organisé de campagnes d’IA. C’est pour cette raison que nous avons entrepris l’étude sur le résultat des 7 ans de campagne d’IA au Burkina Faso. Cette étude, conduite à Ouagadougou au sein de la DPFA et du CMAP a permis de collecter des informations auprès des représentants du CMAP, de projets en cours, des inséminateurs et des éleveurs
impliqués dans les campagnes d’IA. Ce travail vise à identifier les acteurs des campagnes et leurs rôles, à décrire le déroulement de ces campagnes et leurs résultats; à énumérer des difficultés rencontrées lors de ces campagnes ; et enfin à formuler des recommandations pour l’amélioration des campagnes à venir au Burkina Faso. Ainsi, lors de plusieurs séances d’interview, des questionnaires ont été administré auprès de 33 personnes.
L’étude à montrer que les campagnes d’IA se déroulent sur toute l’année en deux (2) phases : une phase théorique de formation et une phase pratique qui débute par la sélection des vaches à inséminer, elle se fait entre Août et Septembre. Elle se termine avec la synchronisation et l’IA proprement dite qui s’effectue entre Novembre et Janvier de chaque année. Il en ressort aussi que les opérations ne concernent pas toutes les régions et que la contribution de l’éleveur est passée de 7500 (2009-2013) à 27 000 f CFA à partir de 2014. Le taux de réussite est estimé à 39,58%. Il ressort de cette étude, la nécessité d’élaboration d’une politique nationale d’amélioration génétique qui prend en compte les actions suivantes : la subvention de l’IA et soin médicaux pré et post IA pour la pérenniser après projet dans les localités où elle est entreprise ; le contrôle plus strict des importations des semences afin d’éviter leur introduction anarchique et la définition d’un schéma de sélection pour la production laitière.PRESIDENT DE JURY : M. Issa LO DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Alain Richi KAMGA-WALADJO RAPPORTEUR : M. Alain Richi KAMGA-WALADJO MEMBRE : M. Oubri Bassa GBATI DATE DE SOUTENANCE : 25/07/2017 PAYS : BURKINA FASO Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1983 Bilan des campagnes nationales d’insémination artificielle bovine au Burkina Faso [texte imprimé] / Mariam Alhamdou, Auteur . - Dakar : EISMV, 2017 . - 92 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2017 Mots-clés : BOVIN INSEMINATION ARTIFICIELLE REPRODUCTION BURKINA FASO Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Le Burkina Faso est un pays à vocation agropastorale. Dans sa politique de développement du sous-secteur de l’élevage, plusieurs programmes ont été élaborés afin d’augmenter son niveau de productivité. C’est ainsi que l’Etat a initié les campagnes d’IA en 2009. Ces campagnes sont supervisées par le CMAP en partenariats avec des projets comme le PAFASP, le PAPSA et d’autres structures privées comme le CETIA. Mais depuis le début de ces campagnes, aucun bilan n’a été fait et en 2015, pour divers raisons, l’Etat n’a plus organisé de campagnes d’IA. C’est pour cette raison que nous avons entrepris l’étude sur le résultat des 7 ans de campagne d’IA au Burkina Faso. Cette étude, conduite à Ouagadougou au sein de la DPFA et du CMAP a permis de collecter des informations auprès des représentants du CMAP, de projets en cours, des inséminateurs et des éleveurs
impliqués dans les campagnes d’IA. Ce travail vise à identifier les acteurs des campagnes et leurs rôles, à décrire le déroulement de ces campagnes et leurs résultats; à énumérer des difficultés rencontrées lors de ces campagnes ; et enfin à formuler des recommandations pour l’amélioration des campagnes à venir au Burkina Faso. Ainsi, lors de plusieurs séances d’interview, des questionnaires ont été administré auprès de 33 personnes.
L’étude à montrer que les campagnes d’IA se déroulent sur toute l’année en deux (2) phases : une phase théorique de formation et une phase pratique qui débute par la sélection des vaches à inséminer, elle se fait entre Août et Septembre. Elle se termine avec la synchronisation et l’IA proprement dite qui s’effectue entre Novembre et Janvier de chaque année. Il en ressort aussi que les opérations ne concernent pas toutes les régions et que la contribution de l’éleveur est passée de 7500 (2009-2013) à 27 000 f CFA à partir de 2014. Le taux de réussite est estimé à 39,58%. Il ressort de cette étude, la nécessité d’élaboration d’une politique nationale d’amélioration génétique qui prend en compte les actions suivantes : la subvention de l’IA et soin médicaux pré et post IA pour la pérenniser après projet dans les localités où elle est entreprise ; le contrôle plus strict des importations des semences afin d’éviter leur introduction anarchique et la définition d’un schéma de sélection pour la production laitière.PRESIDENT DE JURY : M. Issa LO DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Alain Richi KAMGA-WALADJO RAPPORTEUR : M. Alain Richi KAMGA-WALADJO MEMBRE : M. Oubri Bassa GBATI DATE DE SOUTENANCE : 25/07/2017 PAYS : BURKINA FASO Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1983 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1376 TD17-18 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
TD17-18Adobe Acrobat PDF PermalinkContribution au développement du secteur agropastoral en Côte d’Ivoire / Anne Claverie Chiadon Aké (2017)
PermalinkContribution à l’étude des parasitoses chez les vaches Kouri dans le centre secondaire de multiplication de bétail (CSMB) de Sayam au Niger / Barma Safiatou Lawan (2017)
PermalinkContribution à l’évaluation des caractéristiques morphobiométriques des chevaux métis au Sénégal / Mame Awa Gaye (2017)
PermalinkDetermination des parametres morphobiométriques des chevaux (Equus cabalus) de traction de la région de Kaffrine, Sénégal / Souleymane Ouedraogo (2017)
PermalinkDétermination des valeurs usuelles de quelques paramètres biochimiques et leurs facteurs de variation chez les chevaux de sport et de traction au Sénégal / Nabi Daouda Dao (2017)
PermalinkDosage du nitrite résiduel dans les produits à base de viande commercialisés sur le marché dakarois / Maimouna Nguissaly Ndiaye (2017)
PermalinkEffet de l’incorporation du tourteau de graines de baobab (adansonia digitata, L.) dans la ration de démarrage sur les performances zootechnico-économiques des poulets de chair au Sénégal / Augustin Eric Djettin (2017)
PermalinkEffets de l’incorporation de l’amande de mangue (Mangifera indica) bouillie dans la ration alimentaire sur les performances zootechnico-economiques des poulets de chair au Sénégal / Yanissou Djobo (2017)
PermalinkEffets de traitements par la chaleur de graines de roselle (Hibiscus Sabdariffa, Linn) incorporées dans la ration sur les performances zootechnico-économiques des poulets de chair au Sénégal / Koffi Elemawusi Abodi (2017)
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