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Pratique des mesures de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes en Côte d’ivoire / Essehin Enock Jocelin Boka (2009)
Titre : Pratique des mesures de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes en Côte d’ivoire : cas du district d’Abidjan Type de document : texte imprimé Auteurs : Essehin Enock Jocelin Boka, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2009 Importance : 95 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2009 Mots-clés : AVICULTURE COMMERCIALISATION POLLUTION BIOSECURITE COTE D’IVOIRE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La présente étude porte sur la pratique des mesures de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes du district d’Abidjan. Elle vise à évaluer la pratique des mesures de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes, en vu de son amélioration dans le contexte de la lutte contre les maladies aviaires. La biosécurité est le moyen, le plus efficace et le moins coûteux, actuellement utilisé dans la lutte contre les pathologies aviaires. Elle consiste à un ensemble de mesures et de pratiques mises en œuvre pour lutter contre l’introduction, le maintien et la dissémination de germes pathogènes. Les résultats d’enquêtes révèlent que le niveau de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes du district d’Abidjan est globalement faible voire inexistant dans certains cas. Aussi, les pratiques de biosécurité sont méconnues des volaillers. Ces marchés constituent donc un facteur de risque important, ce qui peut entraver le développement de la filière avicole mais aussi être
dangereux pour la santé des hommes en cas de zoonose. Il est de ce fait nécessaire de les réglementer et d’élaborer un plan de mise en œuvre des mesures de biosécurité dans ces marchés de volailles vivantes. Des recommandations sont donc faites à l’endroit des autorités étatiques et des organisations de volaillers afin de trouver des solutions, acceptables de tous et applicables à long terme.PRESIDENT DE JURY : Monsieur DIOP Bernard Marcel DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur KABORET Yalacé Yamba RAPPORTEUR : Monsieur KABORET Yalacé Yamba MEMBRE : Monsieur ASSANE Moussa /Monsieur BAKOU Serge Niangoran CO-DIRECTEUR : Monsieur KALLO Véssaly DATE DE SOUTENANCE : 20/07/2009 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1609 Pratique des mesures de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes en Côte d’ivoire : cas du district d’Abidjan [texte imprimé] / Essehin Enock Jocelin Boka, Auteur . - Dakar : EISMV, 2009 . - 95 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2009 Mots-clés : AVICULTURE COMMERCIALISATION POLLUTION BIOSECURITE COTE D’IVOIRE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La présente étude porte sur la pratique des mesures de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes du district d’Abidjan. Elle vise à évaluer la pratique des mesures de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes, en vu de son amélioration dans le contexte de la lutte contre les maladies aviaires. La biosécurité est le moyen, le plus efficace et le moins coûteux, actuellement utilisé dans la lutte contre les pathologies aviaires. Elle consiste à un ensemble de mesures et de pratiques mises en œuvre pour lutter contre l’introduction, le maintien et la dissémination de germes pathogènes. Les résultats d’enquêtes révèlent que le niveau de biosécurité dans les marchés de volailles vivantes du district d’Abidjan est globalement faible voire inexistant dans certains cas. Aussi, les pratiques de biosécurité sont méconnues des volaillers. Ces marchés constituent donc un facteur de risque important, ce qui peut entraver le développement de la filière avicole mais aussi être
dangereux pour la santé des hommes en cas de zoonose. Il est de ce fait nécessaire de les réglementer et d’élaborer un plan de mise en œuvre des mesures de biosécurité dans ces marchés de volailles vivantes. Des recommandations sont donc faites à l’endroit des autorités étatiques et des organisations de volaillers afin de trouver des solutions, acceptables de tous et applicables à long terme.PRESIDENT DE JURY : Monsieur DIOP Bernard Marcel DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur KABORET Yalacé Yamba RAPPORTEUR : Monsieur KABORET Yalacé Yamba MEMBRE : Monsieur ASSANE Moussa /Monsieur BAKOU Serge Niangoran CO-DIRECTEUR : Monsieur KALLO Véssaly DATE DE SOUTENANCE : 20/07/2009 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1609 Réservation
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TD09-8Adobe Acrobat PDF Pratique vétérinaire et gestion des déchets de soins médicaux dans la région de Dakar / Enock Niyondamya (2009)
Titre : Pratique vétérinaire et gestion des déchets de soins médicaux dans la région de Dakar Type de document : texte imprimé Auteurs : Enock Niyondamya, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2009 Importance : 101 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2009 Mots-clés : DECHET CONTAMINATION POLLUTION SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Ce travail visait à faire une étude de l’état des lieux de la gestion des déchets soins médicaux issus de la pratique vétérinaire dans la région de Dakar. Les enquêtes et les visites diagnostiques ont été réalisées durant la période allant de septembre 2008 à février 2009, et ont concerné 30 structures vétérinaires de la dite région. Quatre éléments essentiels ont marqués ces enquêtes à savoir la description des structures, la composition et la quantité des déchets produits, la préparation et l’élimination des déchets de soins médicaux (DSM), la maîtrise de la réglementation. Les résultats obtenus montrent que la pratique vétérinaire dans la région de Dakar est composée à 63% par les cliniques vétérinaires, les laboratoires et les grossistes des médicaments et les fermes laitières à 10% chacun, les abattoirs et les écoles vétérinaires à 3% chacun. Les déchets produits par ces structures sont composés par les emballages des médicaments vétérinaires constatés dans 26% des cas, les matériels de soins dans 25% des cas, les cadavres et les pièces anatomiques dans 22% des cas, les médicaments périmés dans 18% des cas, les réactifs d’analyse dans 3% des cas, les restes des échantillons d’analyse médicale dans 3% des cas et enfin les matériels biologiques dans 2% des cas. La quantité de ces déchets est indépendante de la nature du producteur, ainsi, elle est comprise entre 5kg par mois et 100kg par semaine dans 57% des cas, moins de 5kg par mois dans 33% des cas et plus 100kg par semaine dans 10% des cas. Ces déchets sont éliminés en grande majorité suivant le rythme de passage des camions ramasseurs des déchets ménagers. Si le tri et la désinfection sont les précautions sécuritaires prises par quelques producteurs, 37% des structures restent indifférents au moment de la collecte de leurs déchets. L’élimination de ces déchets fait intervenir la mise en décharge dans 38% des cas, l’enfouissement dans 21% des cas, le brûlage à l’air libre dans 21% des cas, le service de l’hygiène publique intervient dans 7% des cas, l’incinération dans 5% des cas, autoclavage dans 4% des cas et afin 4% des cas ne détruisent pas leur déchets. La réglementation sénégalaise en matière de la gestion des déchets biomédicaux basée sur le code de l’environnement n’est pas bien documentée chez la plupart des praticiens vétérinaires car elle n’est connue que par 36,67% des praticiens alors que 63,33% ignorent son existence. Toutefois, le bon sens humain a conduit 60% des producteurs à informer leur personnel sur les bonnes pratiques afin de prévenir le risque direct que présentent ces déchets sur leur santé. Devant une telle situation, l’autorité compétente devrait prendre le devant pour sensibiliser tous les acteurs sur les bonnes pratiques afin de limiter la pollution de l’environnement et d’assurer la sécurité sanitaire en aval des différentes structures en particuliers les structures vétérinaires. PRESIDENT DE JURY : Mme GASSAMA Sylvie DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur KABORET Yalacé Yamba RAPPORTEUR : Monsieur KABORET Yalacé Yamba MEMBRE : Mme ALAMBEDJI Rianatou BADA /Monsieur SAWADOGO Germain Jérôme DATE DE SOUTENANCE : 26/06/2009 PAYS : Rwanda Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1608 Pratique vétérinaire et gestion des déchets de soins médicaux dans la région de Dakar [texte imprimé] / Enock Niyondamya, Auteur . - Dakar : EISMV, 2009 . - 101 p.
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Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2009 Mots-clés : DECHET CONTAMINATION POLLUTION SENEGAL Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Ce travail visait à faire une étude de l’état des lieux de la gestion des déchets soins médicaux issus de la pratique vétérinaire dans la région de Dakar. Les enquêtes et les visites diagnostiques ont été réalisées durant la période allant de septembre 2008 à février 2009, et ont concerné 30 structures vétérinaires de la dite région. Quatre éléments essentiels ont marqués ces enquêtes à savoir la description des structures, la composition et la quantité des déchets produits, la préparation et l’élimination des déchets de soins médicaux (DSM), la maîtrise de la réglementation. Les résultats obtenus montrent que la pratique vétérinaire dans la région de Dakar est composée à 63% par les cliniques vétérinaires, les laboratoires et les grossistes des médicaments et les fermes laitières à 10% chacun, les abattoirs et les écoles vétérinaires à 3% chacun. Les déchets produits par ces structures sont composés par les emballages des médicaments vétérinaires constatés dans 26% des cas, les matériels de soins dans 25% des cas, les cadavres et les pièces anatomiques dans 22% des cas, les médicaments périmés dans 18% des cas, les réactifs d’analyse dans 3% des cas, les restes des échantillons d’analyse médicale dans 3% des cas et enfin les matériels biologiques dans 2% des cas. La quantité de ces déchets est indépendante de la nature du producteur, ainsi, elle est comprise entre 5kg par mois et 100kg par semaine dans 57% des cas, moins de 5kg par mois dans 33% des cas et plus 100kg par semaine dans 10% des cas. Ces déchets sont éliminés en grande majorité suivant le rythme de passage des camions ramasseurs des déchets ménagers. Si le tri et la désinfection sont les précautions sécuritaires prises par quelques producteurs, 37% des structures restent indifférents au moment de la collecte de leurs déchets. L’élimination de ces déchets fait intervenir la mise en décharge dans 38% des cas, l’enfouissement dans 21% des cas, le brûlage à l’air libre dans 21% des cas, le service de l’hygiène publique intervient dans 7% des cas, l’incinération dans 5% des cas, autoclavage dans 4% des cas et afin 4% des cas ne détruisent pas leur déchets. La réglementation sénégalaise en matière de la gestion des déchets biomédicaux basée sur le code de l’environnement n’est pas bien documentée chez la plupart des praticiens vétérinaires car elle n’est connue que par 36,67% des praticiens alors que 63,33% ignorent son existence. Toutefois, le bon sens humain a conduit 60% des producteurs à informer leur personnel sur les bonnes pratiques afin de prévenir le risque direct que présentent ces déchets sur leur santé. Devant une telle situation, l’autorité compétente devrait prendre le devant pour sensibiliser tous les acteurs sur les bonnes pratiques afin de limiter la pollution de l’environnement et d’assurer la sécurité sanitaire en aval des différentes structures en particuliers les structures vétérinaires. PRESIDENT DE JURY : Mme GASSAMA Sylvie DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur KABORET Yalacé Yamba RAPPORTEUR : Monsieur KABORET Yalacé Yamba MEMBRE : Mme ALAMBEDJI Rianatou BADA /Monsieur SAWADOGO Germain Jérôme DATE DE SOUTENANCE : 26/06/2009 PAYS : Rwanda Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1608 Réservation
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TD09-7Adobe Acrobat PDF La Pratique vétérinaire au Togo / Nouréni Ganyou (1982)
Titre : La Pratique vétérinaire au Togo Type de document : texte imprimé Auteurs : Nouréni Ganyou, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 1982 Importance : 87 p. Note générale : PAYS: Togo
DSOUT: 20/03/1982
Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:1982 Mots-clés : MEDECINE VETERINAIRE METHODE D'ELEVAGE TOGO Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=523 La Pratique vétérinaire au Togo [texte imprimé] / Nouréni Ganyou, Auteur . - Dakar : EISMV, 1982 . - 87 p.
PAYS: Togo
DSOUT: 20/03/1982
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:1982 Mots-clés : MEDECINE VETERINAIRE METHODE D'ELEVAGE TOGO Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=523 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T130 TD82-3 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Pratiques de biosécurité et risques biologiques potentiels dans les élevages avicoles à Agnibilekrou et en zones périurbaines d’Abidjan / Yiwo Thècle Noée Céline N’Guessan
Titre : Pratiques de biosécurité et risques biologiques potentiels dans les élevages avicoles à Agnibilekrou et en zones périurbaines d’Abidjan Type de document : texte imprimé Auteurs : Yiwo Thècle Noée Céline N’Guessan, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Importance : 83 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2009 Mots-clés : BIOSECURITE CONTAMINATION BIOLOGIQUE AVICULTURE COTE D’IVOIRE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Ce travail qui vise à étudier l’évaluation des pratiques de biosécurité et les risques biologiques potentiels dans les élevages avicoles à Agnibilékrou et en zones périurbaine d’Abidjan s’est déroulé d’Août à Décembre 2008. 219 élevages avicoles ont été enquêtés, dont 119 du secteur 3 et 100 du secteur 4. Quatre éléments essentiels ont marqués ces enquêtes à savoir l’implantation et les caractéristiques des élevages, la conception des bâtiments, les dispositifs à l’entrée etprotection de la zone d’ accessibles, 43,7% sont en contact avec d’autres oiseaux domestiques, 63,7% sont en contact avec des habitations. Dans 49,7% de fermes les bâtiments respectent le sens des vents dominants et du soleil. Au niveau des dispositifs à l’entrée et la protection de la zone d’élevage, seulement 22,7% des fermes ont des clôtures, 6,7% des rotoluves, 30,3% des pédiluves. Les cadavres de volailles sont dans 22,7% des cas jetés à l’air libre et consommés dans 25% des fermes. Concernant l’aménagement 0% de fermes ont des bâtiments à principe de marche ensens unique. 29,4% de fermes ont un système de mesure des températures. L’aliment est souillédans 10,1% des cas par les déjections de rongeurs etc. Dans 30,3% de fermes, le personnel d’élevage reçoit une formation, 22,7% connaissent les mesures de biosécurité. 2,5% ont l’assistance de docteurs vétérinaires, 71,4% des techniciens en élevage. Dans le secteur 4 ou élevage villageois, 96% de fermes sont d’accès facile, 77% en contact avec d’autres oiseaux domestiques, 93% en contact avec des habitations. En général, il n’existe pas de bâtiment dans le secteur 4. Les dispositifs à l’entrée et la protection de la zone d’élevage sont également inexistants. Néanmoins, 91% de ces élevages ont des abords entretenus. Les déchets sont éliminés dans 96% des élevages à l’air libre, les cadavres de volailles dans 69% des fermes. La conduite d’élevage est quasi inexistante. L’eau consommée par les oiseaux est dans 57% des élevages de l’eau de surface. Dans 81% des élevages l’alimentation est basée sur la divagation et dans 19% des cas sur la semi-divagation. Les aliments sont souillés dans 89% des élevages. Les cadavres de volailles sont jetés dans 43,5% des fermes à proximité de l’élevage. Dans ce secteur le personnel d’élevage est représenté par les propriétaires et 3% d’entre eux connaissent les mesures de biosécurité. 4 docteurs et 12 techniciens en élevage en charge de ces élevages ont été questionnés.100% des docteurs ont été formés en mesures de biosécurité. 66,66% des techniciens ignorent ce que c’est que la biosécurité. Les agents ont tous un engouement pour la mise en application des mesures de biosécurité sur proposition d’un programme. D’autres informations obtenues dans ces deux secteurs donnent les résultats suivants : 54,6% des élevages du secteur 3 et 92% des élevages du secteur 4 ont des problèmes sanitaires. Face à de telles situations, l’Etat Ivoirien devrait renforcer la formation, la sensibilisation et encourager tout les acteurs de la filière avicole en particulier les éleveurs sur la mise en place de bonnes pratiques de biosécurité. Il devrait également mettre à leur disposition, un guide de bonne pratique des mesures de biosécurité, fiche d’évaluation de ces pratiques de biosécurité et les agents vétérinaires nécessaire à la bonne marche de ces opérations afin d’assurer non seulement la sécurité sanitaire des volailles mais aussi celle de l’Homme. PRESIDENT DE JURY : Monsieur AFOUTOU José Marie DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur KABORET Yalacé Yamba RAPPORTEUR : Monsieur KABORET Yalacé Yamba MEMBRE : Monsieur ASSANE Moussa /Monsieur BAKOU Serge Niangoran DATE DE SOUTENANCE : 16/07/2009 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1626 Pratiques de biosécurité et risques biologiques potentiels dans les élevages avicoles à Agnibilekrou et en zones périurbaines d’Abidjan [texte imprimé] / Yiwo Thècle Noée Céline N’Guessan, Auteur . - Dakar : EISMV, [s.d.] . - 83 p.
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Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2009 Mots-clés : BIOSECURITE CONTAMINATION BIOLOGIQUE AVICULTURE COTE D’IVOIRE Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Ce travail qui vise à étudier l’évaluation des pratiques de biosécurité et les risques biologiques potentiels dans les élevages avicoles à Agnibilékrou et en zones périurbaine d’Abidjan s’est déroulé d’Août à Décembre 2008. 219 élevages avicoles ont été enquêtés, dont 119 du secteur 3 et 100 du secteur 4. Quatre éléments essentiels ont marqués ces enquêtes à savoir l’implantation et les caractéristiques des élevages, la conception des bâtiments, les dispositifs à l’entrée etprotection de la zone d’ accessibles, 43,7% sont en contact avec d’autres oiseaux domestiques, 63,7% sont en contact avec des habitations. Dans 49,7% de fermes les bâtiments respectent le sens des vents dominants et du soleil. Au niveau des dispositifs à l’entrée et la protection de la zone d’élevage, seulement 22,7% des fermes ont des clôtures, 6,7% des rotoluves, 30,3% des pédiluves. Les cadavres de volailles sont dans 22,7% des cas jetés à l’air libre et consommés dans 25% des fermes. Concernant l’aménagement 0% de fermes ont des bâtiments à principe de marche ensens unique. 29,4% de fermes ont un système de mesure des températures. L’aliment est souillédans 10,1% des cas par les déjections de rongeurs etc. Dans 30,3% de fermes, le personnel d’élevage reçoit une formation, 22,7% connaissent les mesures de biosécurité. 2,5% ont l’assistance de docteurs vétérinaires, 71,4% des techniciens en élevage. Dans le secteur 4 ou élevage villageois, 96% de fermes sont d’accès facile, 77% en contact avec d’autres oiseaux domestiques, 93% en contact avec des habitations. En général, il n’existe pas de bâtiment dans le secteur 4. Les dispositifs à l’entrée et la protection de la zone d’élevage sont également inexistants. Néanmoins, 91% de ces élevages ont des abords entretenus. Les déchets sont éliminés dans 96% des élevages à l’air libre, les cadavres de volailles dans 69% des fermes. La conduite d’élevage est quasi inexistante. L’eau consommée par les oiseaux est dans 57% des élevages de l’eau de surface. Dans 81% des élevages l’alimentation est basée sur la divagation et dans 19% des cas sur la semi-divagation. Les aliments sont souillés dans 89% des élevages. Les cadavres de volailles sont jetés dans 43,5% des fermes à proximité de l’élevage. Dans ce secteur le personnel d’élevage est représenté par les propriétaires et 3% d’entre eux connaissent les mesures de biosécurité. 4 docteurs et 12 techniciens en élevage en charge de ces élevages ont été questionnés.100% des docteurs ont été formés en mesures de biosécurité. 66,66% des techniciens ignorent ce que c’est que la biosécurité. Les agents ont tous un engouement pour la mise en application des mesures de biosécurité sur proposition d’un programme. D’autres informations obtenues dans ces deux secteurs donnent les résultats suivants : 54,6% des élevages du secteur 3 et 92% des élevages du secteur 4 ont des problèmes sanitaires. Face à de telles situations, l’Etat Ivoirien devrait renforcer la formation, la sensibilisation et encourager tout les acteurs de la filière avicole en particulier les éleveurs sur la mise en place de bonnes pratiques de biosécurité. Il devrait également mettre à leur disposition, un guide de bonne pratique des mesures de biosécurité, fiche d’évaluation de ces pratiques de biosécurité et les agents vétérinaires nécessaire à la bonne marche de ces opérations afin d’assurer non seulement la sécurité sanitaire des volailles mais aussi celle de l’Homme. PRESIDENT DE JURY : Monsieur AFOUTOU José Marie DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Monsieur KABORET Yalacé Yamba RAPPORTEUR : Monsieur KABORET Yalacé Yamba MEMBRE : Monsieur ASSANE Moussa /Monsieur BAKOU Serge Niangoran DATE DE SOUTENANCE : 16/07/2009 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=1626 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1066 TD09-21 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
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TD09-21Adobe Acrobat PDF Pratiques des mesures sanitaires et de biosécurité dans les élevages cunicoles et couts de la maladie hémorragique virale du lapin chez les éleveurs au sud du Bénin / Jesugnon Wilfried KAHOUHOU (2023)
Titre : Pratiques des mesures sanitaires et de biosécurité dans les élevages cunicoles et couts de la maladie hémorragique virale du lapin chez les éleveurs au sud du Bénin Type de document : texte imprimé Auteurs : Jesugnon Wilfried KAHOUHOU, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 66p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2023 Mots-clés : BIOSECURITE ELEVAGE CUNICOLE MALADIE HEMORRAGIQUE VIRALE LAPIN BENIN Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La présente étude a été menée dans le but d’analyser les pratiques d’élevage de lapins et de déterminer les pertes socio-économiques induits par le VHD chez les éleveurs au Sud du Bénin. A cet effet, une enquête a été conduite auprès de 108 cuniculteurs dans les départements du Zou et du Couffo de février à mars 2022. Des analyses statistiques descriptives ont été effectuées sur les données collectées.
A l’issue de cette enquête, il ressort que les cuniculteurs utilisent les lapins à des fins d’autoconsommation et de vente (100%). Le prix moyen d’un kilogramme d’un lapin était de 1000 FCFA et 2000 FCFA respectivement pour les jeunes et les adultes. Concernant les pratiques des mesures sanitaires et de biosécurité, 95% des éleveurs négligeaient ces bonnes pratiques d’élevage. Par contre, 100% des cuniculteurs connaissaient le VHD. L’épistaxis et les signes nerveux étaient les plus évoqués par les cuniculteurs enquêtés pour reconnaître la maladie. De 2017 à 2021 cette maladie avait entrainé des pertes économiques directes de 22 504 500 FCFA. Par contre, la lutte menée en 2020 à travers une campagne de vaccination avait coûté 1 103 800 FCFA. De plus, les pertes directes malgré la lutte s’élevaient à 2 841 990 FCFA. Au total, la lutte contre le VHD dans les départements du Zou et du Couffo en 2020 a été estimé à 3 945 790 FCFA. La lutte a été efficace et rentable en ce sens que 100 FCFA investis permettaient d’engranger un gain net de 392 FCFA.
Des recommandations ont été faites aux éleveurs, aux techniciens d’élevage, aux autorités (Etat et Direction d’élevage) pour une meilleure efficacité de la lutte contre le VHD.PRESIDENT DE JURY : Mme GUEYE Rokhaya SYLLA DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. NTEME ELLA Gualbert Simon RAPPORTEUR : M. NTEME ELLA Gualbert Simon MEMBRE : Mme MUSABYEMARIYA Bellancille CO-DIRECTEUR : Dr OSSEBI Walter DATE DE SOUTENANCE : 03/04/2023 PAYS : Bénin Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5095 Pratiques des mesures sanitaires et de biosécurité dans les élevages cunicoles et couts de la maladie hémorragique virale du lapin chez les éleveurs au sud du Bénin [texte imprimé] / Jesugnon Wilfried KAHOUHOU, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 66p.
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Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2023 Mots-clés : BIOSECURITE ELEVAGE CUNICOLE MALADIE HEMORRAGIQUE VIRALE LAPIN BENIN Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La présente étude a été menée dans le but d’analyser les pratiques d’élevage de lapins et de déterminer les pertes socio-économiques induits par le VHD chez les éleveurs au Sud du Bénin. A cet effet, une enquête a été conduite auprès de 108 cuniculteurs dans les départements du Zou et du Couffo de février à mars 2022. Des analyses statistiques descriptives ont été effectuées sur les données collectées.
A l’issue de cette enquête, il ressort que les cuniculteurs utilisent les lapins à des fins d’autoconsommation et de vente (100%). Le prix moyen d’un kilogramme d’un lapin était de 1000 FCFA et 2000 FCFA respectivement pour les jeunes et les adultes. Concernant les pratiques des mesures sanitaires et de biosécurité, 95% des éleveurs négligeaient ces bonnes pratiques d’élevage. Par contre, 100% des cuniculteurs connaissaient le VHD. L’épistaxis et les signes nerveux étaient les plus évoqués par les cuniculteurs enquêtés pour reconnaître la maladie. De 2017 à 2021 cette maladie avait entrainé des pertes économiques directes de 22 504 500 FCFA. Par contre, la lutte menée en 2020 à travers une campagne de vaccination avait coûté 1 103 800 FCFA. De plus, les pertes directes malgré la lutte s’élevaient à 2 841 990 FCFA. Au total, la lutte contre le VHD dans les départements du Zou et du Couffo en 2020 a été estimé à 3 945 790 FCFA. La lutte a été efficace et rentable en ce sens que 100 FCFA investis permettaient d’engranger un gain net de 392 FCFA.
Des recommandations ont été faites aux éleveurs, aux techniciens d’élevage, aux autorités (Etat et Direction d’élevage) pour une meilleure efficacité de la lutte contre le VHD.PRESIDENT DE JURY : Mme GUEYE Rokhaya SYLLA DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. NTEME ELLA Gualbert Simon RAPPORTEUR : M. NTEME ELLA Gualbert Simon MEMBRE : Mme MUSABYEMARIYA Bellancille CO-DIRECTEUR : Dr OSSEBI Walter DATE DE SOUTENANCE : 03/04/2023 PAYS : Bénin Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5095 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1652 TD23-05 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
TD23-05Adobe Acrobat PDF Pratiques à risque liées à l’utilisation des antibiotiques et favorisant l’émergence de l’antibiorésistance dans les élevages de poules pondeuses d’œufs de consommation au Togo : état des lieux et facteurs associés / Moutarou ISSIFOU (2022)
PermalinkPratiques a risques liées a l’utilisation d’antibiotiques et favorisant l’émergence de l’antibiorésistance dans les élevages de petits ruminants dans la région des savanes au Togo : état des lieux et facteurs associes / Abila TAMBATE (2023)
PermalinkPratiques à risques liées à l’utilisation des antibiotiques et favorisant l’émergence de l’antibiorésistance dans les élevages de petits ruminants du département du Borgou au Bénin : état des lieux et facteurs associés / Constant Mardochee Akpedie ANATO (2022)
PermalinkPréparation à la certification ISO 9001 : 2008 dans une usine de la Société Anonyme des Brasseries du Cameroun (SABC), région du Centre. (2010)
PermalinkPrésentation du ranching camerounais en Adamaoua / Philippe Singong'Né (1984)
PermalinkPréservation de la faune sauvage en Afrique sud-saharienne / Fifen Frédéric Mayoumenzi (1997)
PermalinkPrévalence et antibiorésistance des salmonelles dans les élevages avicoles des zones d’Abidjan et d’Agnibilekrou (République de Côte d’Ivoire) / Félix Nimbona (2015)
PermalinkPrévalence de la brucellose bovine et pratiques à risque de contamination des acteurs de la filière lait dans les préfectures de l’Oti et l’Oti-sud (Région des savanes) au Togo / Abiré BAWA (2023)
PermalinkPrévalence et caractéristiques cliniques de la cœnurose musculaire chez des petits ruminants au Sénégal / Moustapha Dione (2017)
PermalinkPrévalence des coccidioses aviaires dans la zone périurbaine de Bamako au Mali / Karim Coulibaly (2015)
PermalinkPrévalence des Escherichia coli et Salmonella spp. isolées de la viande de phacochère dans la région de Saint-Louis/Sénégal et la résistance des souches aux antibiotiques / Zita Makamta (2019)
PermalinkPrévalence et facteurs associés à la gale sarcoptique chez les dromadaires dans les régions de Gao, Tombouctou et Kidal au Mali (2022) / SOUMANO Marie Kanni (2022)
PermalinkPrévalence et facteurs de risque associés à L’infection à toxoplasma gondii chez les porcs (sus scrofa) Et phacochères (phacochoerus africanus) dans les régions De Saint-Louis et de Ziguinchor (Sénégal / Addé Jonathan Metuschélah .E AMICHIA
PermalinkPrévalence et Facteurs de Risque de la Brucellose bovine dans les exploitations laitières périurbaines d’Afrique de l’Ouest et du Centre entre 2017 et 2020 / Thomas FAYE (2023)
PermalinkPrévalence et facteurs de risque de la brucellose et de la tuberculose bovine au Burkina Faso / Lalidia Bruno Ouoba (2018)
PermalinkPrévalence et facteurs de risques associés à la varroase chez les abeilles au Burkina Faso : cas de la région des hauts-bassins en 2021 / Moctar Yougbare (2021)
PermalinkPrévalence des gènes de virulence et d’antibiorésistance des Escherichia coli dans les fermes de poulet de chair de la zone péri-urbaine de Dakar (Sénégal) / Passoret Vounba (2012)
PermalinkPrévalence des infestations par les cyamidae (poux de baleine) sur les cétacés échoués sur la cote néerlandaise de 2010 à 2019 / May Li Uy (2021)
PermalinkPrévalence de la leptospirose et facteurs de risque d’exposition chez les humains à Attecoube (district d’Abidjan RCI) de 2018 à 2019 / Yao Mé Raphaël Amani (2019)
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