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Interroger des sources externesNiveau de contamination par l’aflatoxine M1 du lait de vaches nourries avec l’aliment industriel dans trois fermes de la zone périurbaine de Dakar (Sénégal) en 2022 / Omar SECK (2023)
Titre : Niveau de contamination par l’aflatoxine M1 du lait de vaches nourries avec l’aliment industriel dans trois fermes de la zone périurbaine de Dakar (Sénégal) en 2022 Type de document : texte imprimé Auteurs : Omar SECK, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 26p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : CONTAMINATION AFLATOXINE LAIT FERME DAKAR Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La présence de xénobiotiques dans les aliments de l’homme comme des résidus d’anti-infectieux, de pesticides ou des mycotoxines amène chacun à se poser des questions sur la salubrité des aliments qu’il ingère. L’objectif de cette étude a été d’analyser la qualité mycotoxique du lait de vaches nourries avec l’aliment industriel dans trois fermes de la zone périurbaine de Dakar de novembre à décembre 2022.
Pour ce faire, une enquête de terrain a été réalisée auprès des propriétaires de ces fermes laitières choisies sur la base de l’utilisation de l’aliment industriel retenue comme critère d’inclusion. Au cours de cette enquête, une lettre d’information expliquant l’objectif de ladite étude et un consentement éclairé ont été mises à la disposition des propriétaires avant d’administrer le questionnaire pour recueillir des informations sur le mode d’alimentation des animaux et la conservation de l’aliment.
L’échantillonnage du lait cru a concerné 82 vaches laitières dans l’ensemble des trois exploitations. Les échantillons ont été prélevés pendant plusieurs passages pour les fermes F1 et F2 et en une fois pour la ferme F3. Ils ont été traités au laboratoire de mycotoxines de l’Institut de Technologie Alimentaire (ITA) de Dakar par la méthode de Chromatographie Liquide à Haute performance (CLHP) suivant la norme ISO 14501 : 2007 pour la recherche et le dosage de l’aflatoxine M1.
Les enquêtes ont révélé que les animaux sont nourris avec de l’aliment industriel. Par ailleurs, des conditions de stockage des aliments ne répondant pas aux normes ont été également notées.
Les analyses sont portés sur 23 échantillons de lait cru de vache et ont montré que 20 échantillons ont été contaminés par l’aflatoxine M1 avec un taux de 86,96%, des teneurs allant de 0,058 à 0,696µg/l et une moyenne globale de 0,180 ppb. En revanche, un pourcentage de 13,04% des échantillons avec une teneur en toxine nulle ou sous forme de traces a constitué l’autre partie des résultats.
Les résultats de la présente étude ont montré que la plupart des échantillons analysés dépassent 0,05ppb qui est la limite maximale autorisée par la réglementation européenne qui a été notre référence. Ceci pourrait être en lien avec la contamination fongique des aliments donnés aux animaux laitiers de ces fermes.
De ce fait, il est nécessaire d’implémenter en amont de la chaîne de valeur lait des mesures de décontamination des aliments à travers l’amélioration de la qualité des matières premières (tourteaux d’arachide, maïs etc.) responsables de la contamination fongique et leurs conditions de stockage. En aval, réaliser une surveillance des teneurs en AFM1 dans le lait pour évaluer le risque d’exposition des populationsPRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. DIAWARA Abdoulaye MEMBRE : Mme BADA ALAMBEJI Rianatou /M. SAWADOGO Germain Jérôme /M. LOUBAMBA Luc CO-DIRECTEUR : M. TEKO-AGBO Assiongbon DATE DE SOUTENANCE : 29/07/2023 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5100 Niveau de contamination par l’aflatoxine M1 du lait de vaches nourries avec l’aliment industriel dans trois fermes de la zone périurbaine de Dakar (Sénégal) en 2022 [texte imprimé] / Omar SECK, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 26p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : CONTAMINATION AFLATOXINE LAIT FERME DAKAR Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La présence de xénobiotiques dans les aliments de l’homme comme des résidus d’anti-infectieux, de pesticides ou des mycotoxines amène chacun à se poser des questions sur la salubrité des aliments qu’il ingère. L’objectif de cette étude a été d’analyser la qualité mycotoxique du lait de vaches nourries avec l’aliment industriel dans trois fermes de la zone périurbaine de Dakar de novembre à décembre 2022.
Pour ce faire, une enquête de terrain a été réalisée auprès des propriétaires de ces fermes laitières choisies sur la base de l’utilisation de l’aliment industriel retenue comme critère d’inclusion. Au cours de cette enquête, une lettre d’information expliquant l’objectif de ladite étude et un consentement éclairé ont été mises à la disposition des propriétaires avant d’administrer le questionnaire pour recueillir des informations sur le mode d’alimentation des animaux et la conservation de l’aliment.
L’échantillonnage du lait cru a concerné 82 vaches laitières dans l’ensemble des trois exploitations. Les échantillons ont été prélevés pendant plusieurs passages pour les fermes F1 et F2 et en une fois pour la ferme F3. Ils ont été traités au laboratoire de mycotoxines de l’Institut de Technologie Alimentaire (ITA) de Dakar par la méthode de Chromatographie Liquide à Haute performance (CLHP) suivant la norme ISO 14501 : 2007 pour la recherche et le dosage de l’aflatoxine M1.
Les enquêtes ont révélé que les animaux sont nourris avec de l’aliment industriel. Par ailleurs, des conditions de stockage des aliments ne répondant pas aux normes ont été également notées.
Les analyses sont portés sur 23 échantillons de lait cru de vache et ont montré que 20 échantillons ont été contaminés par l’aflatoxine M1 avec un taux de 86,96%, des teneurs allant de 0,058 à 0,696µg/l et une moyenne globale de 0,180 ppb. En revanche, un pourcentage de 13,04% des échantillons avec une teneur en toxine nulle ou sous forme de traces a constitué l’autre partie des résultats.
Les résultats de la présente étude ont montré que la plupart des échantillons analysés dépassent 0,05ppb qui est la limite maximale autorisée par la réglementation européenne qui a été notre référence. Ceci pourrait être en lien avec la contamination fongique des aliments donnés aux animaux laitiers de ces fermes.
De ce fait, il est nécessaire d’implémenter en amont de la chaîne de valeur lait des mesures de décontamination des aliments à travers l’amélioration de la qualité des matières premières (tourteaux d’arachide, maïs etc.) responsables de la contamination fongique et leurs conditions de stockage. En aval, réaliser une surveillance des teneurs en AFM1 dans le lait pour évaluer le risque d’exposition des populationsPRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. DIAWARA Abdoulaye MEMBRE : Mme BADA ALAMBEJI Rianatou /M. SAWADOGO Germain Jérôme /M. LOUBAMBA Luc CO-DIRECTEUR : M. TEKO-AGBO Assiongbon DATE DE SOUTENANCE : 29/07/2023 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5100 Réservation
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Titre : Prévalence des souches de escherichia coli productrices de betalactamases a spectre étendu (BLSE) d’origine animale dans la région de Dakar en 2022 Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Diène Faye, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 29p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ESCHERICHIA COLI BETALACTAMASES ONE HEALTH Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’émergence de microorganismes multirésistants aux antimicrobiens à l’image des entérobactéries productrices de BLSE constitue une véritable préoccupation en santé publique quant à la mise en œuvre de protocoles thérapeutiques appropriés. En effet, les BLSE sont des enzymes qui confèrent aux entérobactéries la résistance à l'ensemble des bétalactamines à l'exception des céphamycines et des carbapénèmes en plus d'une résistance associée à d'autres familles d'antibiotiques. Cette préoccupation a conduit l’OMS, l’OIE et la FAO, en 2015, à proposer un plan de lutte global endossé en 2016 par l’Assemblée Générale des Nations Unies selon une approche « One Health ». La présente étude rentre dans cette optique de collaboration multisectorielle. Elle a pour objectif général de « Connaitre la prévalence des souches de Escherichia coli productrices de BLSE dans les filières avicole et bovine périurbaines de Dakar ».Pour se faire, une collecte de données sur l'usage des antibiotiques dans 51 fermes avicoles et laitières de la zone périurbaine de Dakar a été associée à 314 prélèvements répartis en écouvillons cloacaux, morceaux de caecum, carcasses de poulets et pots de laits frais de vaches. Les analyses ont été effectuées au LNERV. Au total, trente (30) souches de E. coli, ont été isolées des fermes avicoles par la méthode de screening sur gélose de Mac Conkey + Céfotaxime (0,8uL/ml) et confirmées sur galerie API 20E. Par contre, aucune souche n’a été isolée par screening à partir du lait. La sensibilité de ces isolats a été évaluée vis-à-vis de quinze (15) antibiotiques, appartenant à sept (07) familles différentes, selon la méthode de l’antibiogramme standard par diffusion sur gélose Mueller Hinton suivant les recommandations du CA-SFM. La détection de la production des BLSE sur gélose chez les E. coli a été réalisée par le test de synergie BLSE. Toutes les 30 souches étaient résistantes aux différents antibiotiques testés appartenant à la famille des bétalactamines. Des prévalences de résistances assez élevées ont été notées vis-à-vis de certains antibiotiques d’intérêt tels que les quinolones (acide Nalidixique : 86,66% ; ciprofloxacine : 43,33%), l’association Sulfaméthoxazole+Triméthoprime (43,33%), la gentamicine (40%) entre autres. Parmi les trente (30) souches E. coli, seize (16) étaient à phénotype BLSE soit une prévalence de 53,33%. Issues d’une ferme et de deux sites d’abattage de trois communes (Yenne, Sangalkam et Niacourab) du département de Rufisque, elles sont toutes multirésistantes (à plus de 03 familles d’antibiotiques). Au regard de ces résultats obtenus, des perspectives sur le séquençage des E. coli BLSE sont en vue et des recommandations ont déjà été formulées à l’endroit de tous les acteurs des secteurs concernés par cette étude. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Alpha Amadou DIALLO MEMBRE : M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Rianatou BADA ALAMBEDJI DATE DE SOUTENANCE : 28/03/2023 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4984 Prévalence des souches de escherichia coli productrices de betalactamases a spectre étendu (BLSE) d’origine animale dans la région de Dakar en 2022 [texte imprimé] / Christian Diène Faye, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 29p.
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Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ESCHERICHIA COLI BETALACTAMASES ONE HEALTH Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’émergence de microorganismes multirésistants aux antimicrobiens à l’image des entérobactéries productrices de BLSE constitue une véritable préoccupation en santé publique quant à la mise en œuvre de protocoles thérapeutiques appropriés. En effet, les BLSE sont des enzymes qui confèrent aux entérobactéries la résistance à l'ensemble des bétalactamines à l'exception des céphamycines et des carbapénèmes en plus d'une résistance associée à d'autres familles d'antibiotiques. Cette préoccupation a conduit l’OMS, l’OIE et la FAO, en 2015, à proposer un plan de lutte global endossé en 2016 par l’Assemblée Générale des Nations Unies selon une approche « One Health ». La présente étude rentre dans cette optique de collaboration multisectorielle. Elle a pour objectif général de « Connaitre la prévalence des souches de Escherichia coli productrices de BLSE dans les filières avicole et bovine périurbaines de Dakar ».Pour se faire, une collecte de données sur l'usage des antibiotiques dans 51 fermes avicoles et laitières de la zone périurbaine de Dakar a été associée à 314 prélèvements répartis en écouvillons cloacaux, morceaux de caecum, carcasses de poulets et pots de laits frais de vaches. Les analyses ont été effectuées au LNERV. Au total, trente (30) souches de E. coli, ont été isolées des fermes avicoles par la méthode de screening sur gélose de Mac Conkey + Céfotaxime (0,8uL/ml) et confirmées sur galerie API 20E. Par contre, aucune souche n’a été isolée par screening à partir du lait. La sensibilité de ces isolats a été évaluée vis-à-vis de quinze (15) antibiotiques, appartenant à sept (07) familles différentes, selon la méthode de l’antibiogramme standard par diffusion sur gélose Mueller Hinton suivant les recommandations du CA-SFM. La détection de la production des BLSE sur gélose chez les E. coli a été réalisée par le test de synergie BLSE. Toutes les 30 souches étaient résistantes aux différents antibiotiques testés appartenant à la famille des bétalactamines. Des prévalences de résistances assez élevées ont été notées vis-à-vis de certains antibiotiques d’intérêt tels que les quinolones (acide Nalidixique : 86,66% ; ciprofloxacine : 43,33%), l’association Sulfaméthoxazole+Triméthoprime (43,33%), la gentamicine (40%) entre autres. Parmi les trente (30) souches E. coli, seize (16) étaient à phénotype BLSE soit une prévalence de 53,33%. Issues d’une ferme et de deux sites d’abattage de trois communes (Yenne, Sangalkam et Niacourab) du département de Rufisque, elles sont toutes multirésistantes (à plus de 03 familles d’antibiotiques). Au regard de ces résultats obtenus, des perspectives sur le séquençage des E. coli BLSE sont en vue et des recommandations ont déjà été formulées à l’endroit de tous les acteurs des secteurs concernés par cette étude. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Alpha Amadou DIALLO MEMBRE : M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Rianatou BADA ALAMBEDJI DATE DE SOUTENANCE : 28/03/2023 PAYS : Sénégal Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4984 Réservation
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Titre : Etude du niveau de mécanisation de la traite dans les fermes laitières en zone péri-urbaine de Bamako en 2021 Type de document : texte imprimé Auteurs : Moussa BERTHE, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 30p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : FERME LAITIERE TRAITE ELEVAGE BAMAKO Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Ce travail de Master porte sur l’état des lieux de la mécanisation de la traite en zone périurbaine de Bamako. L’étude a porté sur 32 fermes laitières de Bamako avec un effectif cumulé de 1689 têtes dont 569 vaches laitières et 220 vaches gestantes. En outre, nous y avons recensé 519 veaux ; 244 génisses ; 26 taureaux géniteurs et 111 taurillons.
Les données récoltées dans les fiches d’enquêtes ont été traitées par le Prism version 5.
Le type de traite encore dominant est la traite manuelle. Le niveau de mécanisation des fermes laitières atteint 15,6 %. Une moyenne de 327 litres de lait est produite dans le système de traite mécanique contre 134 litres dans le système de traite manuelle. La production moyenne enregistrée par vache laitière de l’échantillon est de 17,50 ± 5,50 litres. La durée moyenne de la traite mécanique par vache est de 3,52 ± 1,88 minute tandis que le temps moyen est de 7,37± 2,45 minutes par vache en traite manuelle. Le coût d’acquisition élevé des machines est une première contrainte avancée par 100 % des éleveurs qui en disposent. Le manque de pièces de rechanges est ressorti comme une seconde contrainte majeure chez 100 % des éleveurs utilisateurs de la machine. Le temps de nettoyage des machines après la traite est la troisième contrainte qui entraîne l’abandon des machines chez 100 % des éleveurs. La forte réticence des trayeurs à appliquer les règles d’hygiène après chaque traite apparaît chez 80 % des fermes mécanisées comme la quatrième contrainte. Le manque de réparateur des machines à traire qui est la cinquième contrainte, est d’ordre technique, à hauteur de 31,25 % sur trente-deux éleveurs. Le manque de réseau d’électricité et le manque de personnels qualifiés constituent la sixième contrainte avancée par les 10 fermes sur 32.
L’accroissement du nombre de mammites chez les vaches est une septième contrainte d’ordre sanitaire constatée dans 50 % des fermes utilisatrices de machine à traire.
PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Ayao MISSOHOU MEMBRE : M. Rianatou BADA ALAMBEDJ/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Elhadji TRAORE DATE DE SOUTENANCE : 10/03/2023 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4985 Etude du niveau de mécanisation de la traite dans les fermes laitières en zone péri-urbaine de Bamako en 2021 [texte imprimé] / Moussa BERTHE, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 30p.
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Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : FERME LAITIERE TRAITE ELEVAGE BAMAKO Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Ce travail de Master porte sur l’état des lieux de la mécanisation de la traite en zone périurbaine de Bamako. L’étude a porté sur 32 fermes laitières de Bamako avec un effectif cumulé de 1689 têtes dont 569 vaches laitières et 220 vaches gestantes. En outre, nous y avons recensé 519 veaux ; 244 génisses ; 26 taureaux géniteurs et 111 taurillons.
Les données récoltées dans les fiches d’enquêtes ont été traitées par le Prism version 5.
Le type de traite encore dominant est la traite manuelle. Le niveau de mécanisation des fermes laitières atteint 15,6 %. Une moyenne de 327 litres de lait est produite dans le système de traite mécanique contre 134 litres dans le système de traite manuelle. La production moyenne enregistrée par vache laitière de l’échantillon est de 17,50 ± 5,50 litres. La durée moyenne de la traite mécanique par vache est de 3,52 ± 1,88 minute tandis que le temps moyen est de 7,37± 2,45 minutes par vache en traite manuelle. Le coût d’acquisition élevé des machines est une première contrainte avancée par 100 % des éleveurs qui en disposent. Le manque de pièces de rechanges est ressorti comme une seconde contrainte majeure chez 100 % des éleveurs utilisateurs de la machine. Le temps de nettoyage des machines après la traite est la troisième contrainte qui entraîne l’abandon des machines chez 100 % des éleveurs. La forte réticence des trayeurs à appliquer les règles d’hygiène après chaque traite apparaît chez 80 % des fermes mécanisées comme la quatrième contrainte. Le manque de réparateur des machines à traire qui est la cinquième contrainte, est d’ordre technique, à hauteur de 31,25 % sur trente-deux éleveurs. Le manque de réseau d’électricité et le manque de personnels qualifiés constituent la sixième contrainte avancée par les 10 fermes sur 32.
L’accroissement du nombre de mammites chez les vaches est une septième contrainte d’ordre sanitaire constatée dans 50 % des fermes utilisatrices de machine à traire.
PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Ayao MISSOHOU MEMBRE : M. Rianatou BADA ALAMBEDJ/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Elhadji TRAORE DATE DE SOUTENANCE : 10/03/2023 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4985 Réservation
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Titre : Effets de la supplémentation des huiles essentielles d’ail (Allium sativum) dans l’eau de boisson sur la nutrition des poulets de chair au Sénégal 2022. Type de document : texte imprimé Auteurs : Assitan SANGARE, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 28p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ALLIUM SATIVUM HUILES ESSENTIELLES POULET DE CHAIR SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’utilisation abusive des antibiotiques par les éleveurs au Sénégal pose aujourd’hui un réel problème de santé publique à travers l’accentuation du phénomène d'antibiorésistance. Par ailleurs, pour minimiser l’usage de ces antibiotiques, plusieurs composés comme les enzymes, les acides organiques, les probiotiques, les prébiotiques et les phytogénétiques sont utilisés pour améliorer les performances zootechniques des poulets de chair. Depuis un certain temps, les plantes aromatiques et leurs huiles essentielles ou extraits associés sont utilisés comme de potentiels promoteurs de croissance en aviculture, parmi lesquelles figure l’ail. C’est dans ce cadre que nous avons entrepris l’utilisation des huiles essentielles de l’ail dans l’eau de boisson sur la nutrition des poulets de chair pour palier à celle des produits chimiques de synthèse que cette étude a été menée. Elle s’est déroulée de janvier à février 2022 dans la ferme de l’Ecole Inter-Etats des Sciences et Médecine Vétérinaires (EISMV) de Dakar située à Keur Ndiaye Lo. Elle a porté sur des poussins chair Cobb 500 d’un jour, nourris avec de l’aliment industriel et abreuvés avec de l’eau supplémentée aux huiles essentielles d’ail comme suit : un lot 1 0% qui reçoit l’eau simple sans huiles essentielles d’ail ; un lot 2 recevant une eau contenant 0,04% d’huiles essentielles d’ail à la phase croissance ; un lot 3 recevant une eau contenant 0,02% d’huiles essentielles d’ail à la phase croissance et de finition. Les résultats obtenus renseignent qu’aucune différence significative (p >0,05) n’a été observée sur le taux de mortalité, la croissance, l’indice de consommation, le poids carcasse et la consommation d’eau de ces poulets sur toute la période de l’étude. La consommation alimentaire, le rendement carcasse et le poids des organes (foie, coeur et gésier) ont été significativement influencés par le niveau de supplémentation. Les poulets du lot 3 ont enregistré un développement plus important des organes (132,12 g), suivis de ceux des lots 1 (126,29 g) et 2 (122,30 g). PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Ayao MISSOHOU MEMBRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. El Hadji TRAORE DATE DE SOUTENANCE : 10/01/2023 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4992 Effets de la supplémentation des huiles essentielles d’ail (Allium sativum) dans l’eau de boisson sur la nutrition des poulets de chair au Sénégal 2022. [texte imprimé] / Assitan SANGARE, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 28p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ALLIUM SATIVUM HUILES ESSENTIELLES POULET DE CHAIR SENEGAL Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : L’utilisation abusive des antibiotiques par les éleveurs au Sénégal pose aujourd’hui un réel problème de santé publique à travers l’accentuation du phénomène d'antibiorésistance. Par ailleurs, pour minimiser l’usage de ces antibiotiques, plusieurs composés comme les enzymes, les acides organiques, les probiotiques, les prébiotiques et les phytogénétiques sont utilisés pour améliorer les performances zootechniques des poulets de chair. Depuis un certain temps, les plantes aromatiques et leurs huiles essentielles ou extraits associés sont utilisés comme de potentiels promoteurs de croissance en aviculture, parmi lesquelles figure l’ail. C’est dans ce cadre que nous avons entrepris l’utilisation des huiles essentielles de l’ail dans l’eau de boisson sur la nutrition des poulets de chair pour palier à celle des produits chimiques de synthèse que cette étude a été menée. Elle s’est déroulée de janvier à février 2022 dans la ferme de l’Ecole Inter-Etats des Sciences et Médecine Vétérinaires (EISMV) de Dakar située à Keur Ndiaye Lo. Elle a porté sur des poussins chair Cobb 500 d’un jour, nourris avec de l’aliment industriel et abreuvés avec de l’eau supplémentée aux huiles essentielles d’ail comme suit : un lot 1 0% qui reçoit l’eau simple sans huiles essentielles d’ail ; un lot 2 recevant une eau contenant 0,04% d’huiles essentielles d’ail à la phase croissance ; un lot 3 recevant une eau contenant 0,02% d’huiles essentielles d’ail à la phase croissance et de finition. Les résultats obtenus renseignent qu’aucune différence significative (p >0,05) n’a été observée sur le taux de mortalité, la croissance, l’indice de consommation, le poids carcasse et la consommation d’eau de ces poulets sur toute la période de l’étude. La consommation alimentaire, le rendement carcasse et le poids des organes (foie, coeur et gésier) ont été significativement influencés par le niveau de supplémentation. Les poulets du lot 3 ont enregistré un développement plus important des organes (132,12 g), suivis de ceux des lots 1 (126,29 g) et 2 (122,30 g). PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Ayao MISSOHOU MEMBRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. El Hadji TRAORE DATE DE SOUTENANCE : 10/01/2023 PAYS : Mali Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=4992 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M372 MEM23-01 Mémoire Bibliothèque (SID) Mémoires de Master Disponible Documents numériques
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Titre : Rôle du porc des élevages traditionnels dans l’épidémiologie de la toxoplasmose dans le sud-est de la côte d’ivoire en 2019 Type de document : texte imprimé Auteurs : Gbohounou Fabrice Gnali, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 21p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ELEVAGE TRADITIONNEL TOXOPLASMOSE EPIDEMIOLOGIE PORC COTE D'IVOIRE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La toxoplasmose est une anthropozoonose cosmopolite due à un protozoaire intracellulaire obligatoire, Toxoplasmagondii. Elle motive depuis longtemps de nombreuses études épidémiologiques afin d’identifier les réservoirs et les modes de transmission.Pourmieux comprendre l’épidémiologie de l’infection humaine en Côte d’Ivoire, l’estimation de la prévalence du parasite dans les viandes d’animaux destinées à la consommation humaine est fondamentale. La viande porcine étant la deuxième viande la plus consommée en Côte d’Ivoire, une étude transversale a été entreprise en 2019, chez des porcs élevés en divagation dans le sud de la Côte d’Ivoire afin de déterminer la séroprévalence et les facteurs de risques associés. Au cours de ces enquêtes, des 2 485 porcs dénombrés dans les localités, un échantillon de 331 porcs a été déterminité et proportionnellement réparti entre les trois départements du sud de la Côte d’Ivoire : 82 à Aboisso, 161 à Agboville et 87 à Dabou. Un titrage des anticorps spécifiques par la technique de test d’agglutination modifié (MAT) a été effectué sur tous les prélèvements de sang, et les facteurs de risque appréciés par rapport à l’âge, au sexe, à la race et à leur origine géographique. L’enquête a permis de mettre en évidence une séroprévalence de globale de 44,1%. Les femelles (47,56%) ont été plus infectées que les mâles de même que les adultes de plus d’un an (56,25%) par rapport aux plus jeunes. Il n’y a, cependant, pas de différence significative entre l’infection des métisses et des races locales. Concernant l’origine géographique des échantillons, de fortes variations de séroprévalence ont été mises en évidence par rapport aux départements. Par ordre d’importance, Agboville (49,69%) était plus infecté suivi d’Aboisso (46,99%) puis Dabou (31,03%). Un lien de causalité a été établi à l’analyse univariée (p<5%) entre la séropositivité à Toxoplasma gondii et les facteurs tels que le sexe, l’âge et la zone de prélèvement (département). L’analyse multivariée des facteurs d’associations montre que l’âge et le sexe femelle sont des facteurs de risque d’infection a Toxoplasmagondii (p<0,05 et OR>1). Ces résultats offrent une image représentative de la contamination par T. gondii dans les élevages porcins dont la viande est destinée à la consommation humaine en Côte d’Ivoire. Des investigations complémentaires sont nécessaires afin de comprendre le mécanisme de contamination des animaux et définir des recommandations en matière de conduite d’élevage. De même, des enquêtes de prévalence doivent être poursuivies chez tous les animaux domestiques et le gibier afin d’identifier les viandes les plus à risque. Aussi, des investigations devront-elles être menées pour l’isolement des souches de parasite circulant en Côte d’Ivoire et leurs typages dans le long terme. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Madi SAVADOGO CO-DIRECTEUR : Mme Andrée Prisca Ndjoug NDOUR/M. Ronan JAMBOU DATE DE SOUTENANCE : 31/03/2023 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5011 Rôle du porc des élevages traditionnels dans l’épidémiologie de la toxoplasmose dans le sud-est de la côte d’ivoire en 2019 [texte imprimé] / Gbohounou Fabrice Gnali, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 21p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : ELEVAGE TRADITIONNEL TOXOPLASMOSE EPIDEMIOLOGIE PORC COTE D'IVOIRE Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : La toxoplasmose est une anthropozoonose cosmopolite due à un protozoaire intracellulaire obligatoire, Toxoplasmagondii. Elle motive depuis longtemps de nombreuses études épidémiologiques afin d’identifier les réservoirs et les modes de transmission.Pourmieux comprendre l’épidémiologie de l’infection humaine en Côte d’Ivoire, l’estimation de la prévalence du parasite dans les viandes d’animaux destinées à la consommation humaine est fondamentale. La viande porcine étant la deuxième viande la plus consommée en Côte d’Ivoire, une étude transversale a été entreprise en 2019, chez des porcs élevés en divagation dans le sud de la Côte d’Ivoire afin de déterminer la séroprévalence et les facteurs de risques associés. Au cours de ces enquêtes, des 2 485 porcs dénombrés dans les localités, un échantillon de 331 porcs a été déterminité et proportionnellement réparti entre les trois départements du sud de la Côte d’Ivoire : 82 à Aboisso, 161 à Agboville et 87 à Dabou. Un titrage des anticorps spécifiques par la technique de test d’agglutination modifié (MAT) a été effectué sur tous les prélèvements de sang, et les facteurs de risque appréciés par rapport à l’âge, au sexe, à la race et à leur origine géographique. L’enquête a permis de mettre en évidence une séroprévalence de globale de 44,1%. Les femelles (47,56%) ont été plus infectées que les mâles de même que les adultes de plus d’un an (56,25%) par rapport aux plus jeunes. Il n’y a, cependant, pas de différence significative entre l’infection des métisses et des races locales. Concernant l’origine géographique des échantillons, de fortes variations de séroprévalence ont été mises en évidence par rapport aux départements. Par ordre d’importance, Agboville (49,69%) était plus infecté suivi d’Aboisso (46,99%) puis Dabou (31,03%). Un lien de causalité a été établi à l’analyse univariée (p<5%) entre la séropositivité à Toxoplasma gondii et les facteurs tels que le sexe, l’âge et la zone de prélèvement (département). L’analyse multivariée des facteurs d’associations montre que l’âge et le sexe femelle sont des facteurs de risque d’infection a Toxoplasmagondii (p<0,05 et OR>1). Ces résultats offrent une image représentative de la contamination par T. gondii dans les élevages porcins dont la viande est destinée à la consommation humaine en Côte d’Ivoire. Des investigations complémentaires sont nécessaires afin de comprendre le mécanisme de contamination des animaux et définir des recommandations en matière de conduite d’élevage. De même, des enquêtes de prévalence doivent être poursuivies chez tous les animaux domestiques et le gibier afin d’identifier les viandes les plus à risque. Aussi, des investigations devront-elles être menées pour l’isolement des souches de parasite circulant en Côte d’Ivoire et leurs typages dans le long terme. PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : M. Oubri Bassa GBATI MEMBRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI/M. Germain Jérôme SAWADOGO/M. Madi SAVADOGO CO-DIRECTEUR : Mme Andrée Prisca Ndjoug NDOUR/M. Ronan JAMBOU DATE DE SOUTENANCE : 31/03/2023 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5011 Réservation
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