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Connaissances et pratiques des ménages face aux risques zoonotiques liés à la manipulation et à la consommation des viandes au Burkina Faso : cas des villes de Ouagadougou et de Bobo Dioulasso / Inoussa CONOMBO (2022)
Titre : Connaissances et pratiques des ménages face aux risques zoonotiques liés à la manipulation et à la consommation des viandes au Burkina Faso : cas des villes de Ouagadougou et de Bobo Dioulasso Type de document : texte imprimé Auteurs : Inoussa CONOMBO, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2022 Importance : 97p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2022 Mots-clés : RISQUE ZOOTECHNIQUE CONSOMMATION ALIMENTAIRE VIANDE BURKINA FASO Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La viande est une denrée alimentaire précieuse du point de vue nutritionnel et fournit des éléments nutritionnels importants, notamment des protéines, des graisses, des vitamines et des minéraux contribuant efficacement au fonctionnement normal des systèmes corporels des consommateurs. Par contre, la viande reste une source importante de transmission de nombreux pathogènes à l’homme. Les zoonoses transmises via les viandes constituent une menace croissante pour la santé publique mondiale et entrainent par conséquent d’importants dommages économiques. Le Burkina Faso n’échappe à cette réalité. Cette étude a été menée dans le but d’analyser les connaissances des consommateurs de viande et leurs pratiques vis-à-vis des risques d’infections zoonotiques liés à la manipulation et à la consommation de la viande dans les villes de Ouagadougou et de Bobo Dioulasso. Les données ont été collectées auprès des ménages consommateurs de viande dans les deux villes sur la période d’août à novembre 2021. La saisie et l’analyse des données ont été effectuées à l’aide du tableur Excel 2016 et du logiciel R 4.1.2.
Les résultats ont montré que les enquêtés avaient des préférences élevées pour la bovine (45,47%), la viande bouillie (65,49%) et la viande de boucherie (81,98%). Egalement, une majorité (66,90%) des consommateurs laissait la viande à l’air libre jusqu’à la préparation. Parmi les répondants, 90,22% pensaient que la viande pouvait être à l’origine de maladies infectieuses d’origine zoonotique chez l’homme. Cependant, leur niveau de connaissances sur les zoonoses transmises via les maladies reste faible 28,43%. Ainsi, les exemples de maladies transmises via les viandes ont été regroupés en fonction de l’agent étiologique : 16,02% sont dus à des agents bactériens (anthrax, brucellose, tuberculose), 3,88% à des parasites (les ténia, cysticerques) et 8,53% à des virus (rage, la grippe aviaire, le coronavirus, Ebola). Les critères comme l’aspect visuel et la couleur sont les plus utilisés lors des achats de viande. Par ailleurs, 50,77% des participants estimaient que l’hygiène des lieux de vente est insatisfaisante. Notons que la majorité (90,34%) des personnes touchées par cette étude n’ont jamais participé à une formation et/ou sensibilisation sur les maladies transmises à l’homme à travers les viandes et/ou les autres produits d’origine animale. Les tests statistiques montrent que d’une part les caractéristiques sociodémographiques telles l’âge, le niveau d’étude, la religion, la profession et position dans le ménage et d’autre part celles constituées du niveau d’étude, la profession, la religion, la situation matrimoniale et position dans le ménage sont respectivement associées aux pratiques de consommations des viandes et au niveau de connaissance des risques associés à la manipulation et la consommation des viandes
L’amélioration des pratiques et des connaissances des populations sur la viande et les zoonoses peut faire une grande différence face à l’émergence des risques sanitaires liés à la viande. Des recommandations ont été adressées aux différents acteurs pour aider à améliorer les pratiques et minimiser les risques de contamination.PRESIDENT DE JURY : M. Amadou DIOP DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI RAPPORTEUR : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : M. Gualbert Simon NTEME ELLA CO-DIRECTEUR : M. Madi SAVADOGO DATE DE SOUTENANCE : 23/11/2022 PAYS : Burkina Faso Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5001 Connaissances et pratiques des ménages face aux risques zoonotiques liés à la manipulation et à la consommation des viandes au Burkina Faso : cas des villes de Ouagadougou et de Bobo Dioulasso [texte imprimé] / Inoussa CONOMBO, Auteur . - Dakar : EISMV, 2022 . - 97p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2022 Mots-clés : RISQUE ZOOTECHNIQUE CONSOMMATION ALIMENTAIRE VIANDE BURKINA FASO Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La viande est une denrée alimentaire précieuse du point de vue nutritionnel et fournit des éléments nutritionnels importants, notamment des protéines, des graisses, des vitamines et des minéraux contribuant efficacement au fonctionnement normal des systèmes corporels des consommateurs. Par contre, la viande reste une source importante de transmission de nombreux pathogènes à l’homme. Les zoonoses transmises via les viandes constituent une menace croissante pour la santé publique mondiale et entrainent par conséquent d’importants dommages économiques. Le Burkina Faso n’échappe à cette réalité. Cette étude a été menée dans le but d’analyser les connaissances des consommateurs de viande et leurs pratiques vis-à-vis des risques d’infections zoonotiques liés à la manipulation et à la consommation de la viande dans les villes de Ouagadougou et de Bobo Dioulasso. Les données ont été collectées auprès des ménages consommateurs de viande dans les deux villes sur la période d’août à novembre 2021. La saisie et l’analyse des données ont été effectuées à l’aide du tableur Excel 2016 et du logiciel R 4.1.2.
Les résultats ont montré que les enquêtés avaient des préférences élevées pour la bovine (45,47%), la viande bouillie (65,49%) et la viande de boucherie (81,98%). Egalement, une majorité (66,90%) des consommateurs laissait la viande à l’air libre jusqu’à la préparation. Parmi les répondants, 90,22% pensaient que la viande pouvait être à l’origine de maladies infectieuses d’origine zoonotique chez l’homme. Cependant, leur niveau de connaissances sur les zoonoses transmises via les maladies reste faible 28,43%. Ainsi, les exemples de maladies transmises via les viandes ont été regroupés en fonction de l’agent étiologique : 16,02% sont dus à des agents bactériens (anthrax, brucellose, tuberculose), 3,88% à des parasites (les ténia, cysticerques) et 8,53% à des virus (rage, la grippe aviaire, le coronavirus, Ebola). Les critères comme l’aspect visuel et la couleur sont les plus utilisés lors des achats de viande. Par ailleurs, 50,77% des participants estimaient que l’hygiène des lieux de vente est insatisfaisante. Notons que la majorité (90,34%) des personnes touchées par cette étude n’ont jamais participé à une formation et/ou sensibilisation sur les maladies transmises à l’homme à travers les viandes et/ou les autres produits d’origine animale. Les tests statistiques montrent que d’une part les caractéristiques sociodémographiques telles l’âge, le niveau d’étude, la religion, la profession et position dans le ménage et d’autre part celles constituées du niveau d’étude, la profession, la religion, la situation matrimoniale et position dans le ménage sont respectivement associées aux pratiques de consommations des viandes et au niveau de connaissance des risques associés à la manipulation et la consommation des viandes
L’amélioration des pratiques et des connaissances des populations sur la viande et les zoonoses peut faire une grande différence face à l’émergence des risques sanitaires liés à la viande. Des recommandations ont été adressées aux différents acteurs pour aider à améliorer les pratiques et minimiser les risques de contamination.PRESIDENT DE JURY : M. Amadou DIOP DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI RAPPORTEUR : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : M. Gualbert Simon NTEME ELLA CO-DIRECTEUR : M. Madi SAVADOGO DATE DE SOUTENANCE : 23/11/2022 PAYS : Burkina Faso Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5001 Réservation
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TD22-66Adobe Acrobat PDF Connaissances et pratiques du personnel d’abattoirs de Dakar et des éleveurs de Pout sur la tuberculose bovine au Sénégal en 2022 / Abdoul Mahidou Ousmane Hamid (2023)
Titre : Connaissances et pratiques du personnel d’abattoirs de Dakar et des éleveurs de Pout sur la tuberculose bovine au Sénégal en 2022 Type de document : texte imprimé Auteurs : Abdoul Mahidou Ousmane Hamid, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2023 Importance : 27p. Langues : Français (fre) Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : TUBERCULOSE BOVINE ABATTOIR POUT Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Au Sénégal, la tuberculose fait partie des maladies les plus fréquemment signalées chez les humains. Elle constitue de ce fait un véritable problème de santé publique d’où son classement en 2ème rang parmi les 6 zoonoses prioritaires. L'objectif de cette étude était d'analyser les connaissances et pratiques du personnel d’abattoirs de Dakar et des éleveurs de la commune de Pout sur la tuberculose bovine. Au total, 274 personnes ont été enquêtées. Parmi les participants de l’étude, respectivement 103 (37,6%) et 171 (62,4%) provenaient des abattoirs et des élevages de Pout. Les enquêtés étaient majoritairement des hommes (75,2%) et âgés de 30 à 59 ans (67,5%). La majorité des enquêtés avait déjà entendu parler de la tuberculose (98,2%) et le potentiel zoonotique de la maladie était connu par 31,4% des participants. Dans l’ensemble, seulement 2,5% des participants (7/274) avaient un niveau satisfaisant de connaissances sur la maladie. Des différences significatives ont été constatées en fonction de la zone d’étude, l’expérience, l’activité mais également en fonction du niveau de bonnes pratiques (p<0,05). Aussi, les participants des abattoirs étaient 11 fois plus susceptibles de connaître la tuberculose que ceux des élevages (OR=11,22 ; IC à 95% =1,10-114,3). De même, ceux qui avaient entre 5 et 10 ans d’expérience avaient 16,91 fois plus de chance d’avoir un bon niveau de connaissances sur la tuberculose (OR=16,9 ; IC à 95%=1,7-163,46) comparés aux autres. En général, 83,6% des enquêtés préféraient le lait cru aux autres laits, et 83,6% consommaient de la viande peu cuite. Aussi, 29,6% des personnes interviewées avaient des bonnes pratiques avec des variations significatives en fonction de la zone d’étude, du genre, du statut matrimonial, de l’âge, de l’activité principale et du niveau de connaissance de la tuberculose (p <0,05). Enfin, seul l’âge a été identifié comme prédicteur d’adoption des bonnes pratiques (OR=3,3 ; IC à 95%= 1,3-8,3 ; p=0,009). PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : M. Germain Jérôme SAWADOGO/Mme Prisca Ndjoug NDOUR CO-DIRECTEUR : M. Laibané Dieudonné DAHOUROU DATE DE SOUTENANCE : 19/05/2023 PAYS : Niger Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5090 Connaissances et pratiques du personnel d’abattoirs de Dakar et des éleveurs de Pout sur la tuberculose bovine au Sénégal en 2022 [texte imprimé] / Abdoul Mahidou Ousmane Hamid, Auteur . - Dakar : EISMV, 2023 . - 27p.
Langues : Français (fre)
Catégories : MEMOIRES DE MASTER:2023 Mots-clés : TUBERCULOSE BOVINE ABATTOIR POUT Index. décimale : MEM-MEMOIRE MASTER Résumé : Au Sénégal, la tuberculose fait partie des maladies les plus fréquemment signalées chez les humains. Elle constitue de ce fait un véritable problème de santé publique d’où son classement en 2ème rang parmi les 6 zoonoses prioritaires. L'objectif de cette étude était d'analyser les connaissances et pratiques du personnel d’abattoirs de Dakar et des éleveurs de la commune de Pout sur la tuberculose bovine. Au total, 274 personnes ont été enquêtées. Parmi les participants de l’étude, respectivement 103 (37,6%) et 171 (62,4%) provenaient des abattoirs et des élevages de Pout. Les enquêtés étaient majoritairement des hommes (75,2%) et âgés de 30 à 59 ans (67,5%). La majorité des enquêtés avait déjà entendu parler de la tuberculose (98,2%) et le potentiel zoonotique de la maladie était connu par 31,4% des participants. Dans l’ensemble, seulement 2,5% des participants (7/274) avaient un niveau satisfaisant de connaissances sur la maladie. Des différences significatives ont été constatées en fonction de la zone d’étude, l’expérience, l’activité mais également en fonction du niveau de bonnes pratiques (p<0,05). Aussi, les participants des abattoirs étaient 11 fois plus susceptibles de connaître la tuberculose que ceux des élevages (OR=11,22 ; IC à 95% =1,10-114,3). De même, ceux qui avaient entre 5 et 10 ans d’expérience avaient 16,91 fois plus de chance d’avoir un bon niveau de connaissances sur la tuberculose (OR=16,9 ; IC à 95%=1,7-163,46) comparés aux autres. En général, 83,6% des enquêtés préféraient le lait cru aux autres laits, et 83,6% consommaient de la viande peu cuite. Aussi, 29,6% des personnes interviewées avaient des bonnes pratiques avec des variations significatives en fonction de la zone d’étude, du genre, du statut matrimonial, de l’âge, de l’activité principale et du niveau de connaissance de la tuberculose (p <0,05). Enfin, seul l’âge a été identifié comme prédicteur d’adoption des bonnes pratiques (OR=3,3 ; IC à 95%= 1,3-8,3 ; p=0,009). PRESIDENT DE JURY : M. Yalacé Yamba KABORET DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : M. Germain Jérôme SAWADOGO/Mme Prisca Ndjoug NDOUR CO-DIRECTEUR : M. Laibané Dieudonné DAHOUROU DATE DE SOUTENANCE : 19/05/2023 PAYS : Niger Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5090 Réservation
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MEM23-07Adobe Acrobat PDF Connaissances et pratiques des populations sur la rage et gestion des cas humains de morsures de carnivores dans le département de Brazzaville (Congo) / Franck Durand Matembili (2019)
Titre : Connaissances et pratiques des populations sur la rage et gestion des cas humains de morsures de carnivores dans le département de Brazzaville (Congo) Type de document : texte imprimé Auteurs : Franck Durand Matembili, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 96 p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2019 Mots-clés : RAGE CHIEN SANTE PUBLIQUE CONGO Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La rage est une zoonose majeure largement répondue dans le monde, et fait partie des maladies négligée et fortement sous notifiée. L’apparition des signes cliniques de la rage chez un individu conduit inéluctablement à la mort. Ainsi, elle constitue une menace pour la santé publique. Bien que les moyens de lutte et l’épidémiologie de la rage soient maîtrisés, les décès sont estimés à 59000 personnes par an et 99% des cas seraient en Afrique et en Asie, les plus exposés étant les enfants de moins de 15 ans. Malheureusement au Congo, les autorités en charge de la santé des populations accordent très peu d’intérêt à cette maladie et cela en dépit des cas de rage dus aux morsures de chiens, relayés par un média local en 2013 à pointe noire et de l’alerte à l’épidémie de rage par la direction de l’élevage en 2015 à Dolisie. La présente étude vise à contribuer à l’amélioration de la prophylaxie de la rage au Congo. Cette étude transversale a été menée de janvier à avril 2018 auprès de 412 ménages et 54 professionnels de santé animale et humaine. Elle nous a permis de collecter des données et de les analyser à l’aide de logiciels. Sur 412 ménages, 24% avaient un animal de compagnie (chien, chat et autres espèces) et parmi ces animaux, 45% étaient vaccinés. En outre, 93% des ménages enquêtés étaient informés sur la rage et la source était l’école (39%). Par ailleurs, 62% des ménages visités ont indiqué que la rage était mortelle. Seulement 7,61% savaient que la plaie devrait être lavée à l’eau savonneuse* après exposition et 39,1% des ménages enquêtés ont mentionné que rien n’était fait après morsure. Après exposition, 8,7% des enquêtés se rendaient au centre antirabique, 7,6% faisaient mettre les animaux mordeurs en observation chez le vétérinaire et 10% les tuaient immédiatement. Tous les 54 agents de santé interrogés définissaient la rage comme une maladie transmise du chien à l’homme par morsure. En plus, ils ont cité le chat (à hauteur de 61%), suivi du singe et des chauves-souris, dans la transmission de cette maladie. Hormis la morsure, le léchage (37,03%) et la griffure (61,11%) étaient évoqués comme modes de contamination. Pour 56% des agents de santé, il n’était pas possible de guérir de la rage une fois les signes cliniques déclarés. Après morsure, 21% des acteurs de la santé animale mettaient les animaux mordeurs en observation. La prophylaxie post-exposition n’était pas connue par la majorité des acteurs de la santé humaine. Aussi la collaboration entre acteurs de santé humaine et animale n’était pas bonne. Cette étude montre que les connaissances et pratiques de la population de Brazzaville sur la rage étaient médiocres. Cependant les connaissances des acteurs de la santé enquêtée sur la rage étaient moyennes, alors que la prévention et la gestion des cas de morsures étaient déficitaires. Au regard de ces résultats, nous recommandons que la sensibilisation du public et la collaboration entre les professionnels de la santé humaine et de la santé animale sur la rage soient renforcées.
PRESIDENT DE JURY : Mme Sylvie Audrey Diop NYAFOUNA DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI RAPPORTEUR : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : Monsieur Justin Ayayi AKAKPO CO-DIRECTEUR : Wilfried Délé OYETOLA /Missoko Mabeki Richard DATE DE SOUTENANCE : 18/05/2019 PAYS : Congo Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2075 Connaissances et pratiques des populations sur la rage et gestion des cas humains de morsures de carnivores dans le département de Brazzaville (Congo) [texte imprimé] / Franck Durand Matembili, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 96 p.
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Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2019 Mots-clés : RAGE CHIEN SANTE PUBLIQUE CONGO Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : La rage est une zoonose majeure largement répondue dans le monde, et fait partie des maladies négligée et fortement sous notifiée. L’apparition des signes cliniques de la rage chez un individu conduit inéluctablement à la mort. Ainsi, elle constitue une menace pour la santé publique. Bien que les moyens de lutte et l’épidémiologie de la rage soient maîtrisés, les décès sont estimés à 59000 personnes par an et 99% des cas seraient en Afrique et en Asie, les plus exposés étant les enfants de moins de 15 ans. Malheureusement au Congo, les autorités en charge de la santé des populations accordent très peu d’intérêt à cette maladie et cela en dépit des cas de rage dus aux morsures de chiens, relayés par un média local en 2013 à pointe noire et de l’alerte à l’épidémie de rage par la direction de l’élevage en 2015 à Dolisie. La présente étude vise à contribuer à l’amélioration de la prophylaxie de la rage au Congo. Cette étude transversale a été menée de janvier à avril 2018 auprès de 412 ménages et 54 professionnels de santé animale et humaine. Elle nous a permis de collecter des données et de les analyser à l’aide de logiciels. Sur 412 ménages, 24% avaient un animal de compagnie (chien, chat et autres espèces) et parmi ces animaux, 45% étaient vaccinés. En outre, 93% des ménages enquêtés étaient informés sur la rage et la source était l’école (39%). Par ailleurs, 62% des ménages visités ont indiqué que la rage était mortelle. Seulement 7,61% savaient que la plaie devrait être lavée à l’eau savonneuse* après exposition et 39,1% des ménages enquêtés ont mentionné que rien n’était fait après morsure. Après exposition, 8,7% des enquêtés se rendaient au centre antirabique, 7,6% faisaient mettre les animaux mordeurs en observation chez le vétérinaire et 10% les tuaient immédiatement. Tous les 54 agents de santé interrogés définissaient la rage comme une maladie transmise du chien à l’homme par morsure. En plus, ils ont cité le chat (à hauteur de 61%), suivi du singe et des chauves-souris, dans la transmission de cette maladie. Hormis la morsure, le léchage (37,03%) et la griffure (61,11%) étaient évoqués comme modes de contamination. Pour 56% des agents de santé, il n’était pas possible de guérir de la rage une fois les signes cliniques déclarés. Après morsure, 21% des acteurs de la santé animale mettaient les animaux mordeurs en observation. La prophylaxie post-exposition n’était pas connue par la majorité des acteurs de la santé humaine. Aussi la collaboration entre acteurs de santé humaine et animale n’était pas bonne. Cette étude montre que les connaissances et pratiques de la population de Brazzaville sur la rage étaient médiocres. Cependant les connaissances des acteurs de la santé enquêtée sur la rage étaient moyennes, alors que la prévention et la gestion des cas de morsures étaient déficitaires. Au regard de ces résultats, nous recommandons que la sensibilisation du public et la collaboration entre les professionnels de la santé humaine et de la santé animale sur la rage soient renforcées.
PRESIDENT DE JURY : Mme Sylvie Audrey Diop NYAFOUNA DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI RAPPORTEUR : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : Monsieur Justin Ayayi AKAKPO CO-DIRECTEUR : Wilfried Délé OYETOLA /Missoko Mabeki Richard DATE DE SOUTENANCE : 18/05/2019 PAYS : Congo Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2075 Réservation
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TD19-2Adobe Acrobat PDF Connaissances et pratiques des vendeurs de viande face aux risques zoonotiques associés à la manipulation de la viande au Burkina Faso : cas des villes de Bobo-Dioulasso et Ouagadougou / Guesrim LALLOGO (2022)
Titre : Connaissances et pratiques des vendeurs de viande face aux risques zoonotiques associés à la manipulation de la viande au Burkina Faso : cas des villes de Bobo-Dioulasso et Ouagadougou Type de document : texte imprimé Auteurs : Guesrim LALLOGO, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2022 Importance : 94p. Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2022 Mots-clés : RISQUE ZOOTECHNIQUE MANIPULATION DE VIANDE BURKINA FASO Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Ce travail vise à évaluer les connaissances et les pratiques des vendeurs de viande sur les risques zoonotiques associés à la vente de la viande dans les villes de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso. Un questionnaire structuré a été utilisé pour obtenir des données auprès de 370 vendeurs de viande sélectionnés au hasard sur leurs connaissances et pratiques de vente face aux risques zoonotiques. L’étude a été effectuée d’août à novembre 2021. Tous les répondants étaient des hommes, avec la majorité (89,18 %) âgée de 18 à 50 ans. La plupart (76,76 %) des répondants n'avaient aucune éducation formelle. Seulement (32,7 %) des répondants savaient que la manipulation et la consommation étaient des voies de transmissions des zoonoses. Presque tous savaient que l’hygiène du matériel (93,24%), vestimentaire (97,77%), des locaux (95,19%) est très importante pour réduire les risques de contamination de la viande. Aucun des vendeurs de viande n'a stérilisé son couteau ou ses autres équipements, tandis que 76,35% d'entre eux n'ont pas porté des tabliers pendant le travail. Parmi les enquêtés, seules 88 personnes (soit 23,78%) avaient un niveau de connaissance de risques élevé des zoonoses. En termes de pratique seulement 12.43% des vendeurs avaient été jugés possédant de pratiques d’hygiène très satisfaisantes. Les conclusions de l'étude suggèrent une nécessité de former les vendeurs de viande sur les bonnes pratiques d’hygiène et réguler l'industrie dans son ensemble. PRESIDENT DE JURY : M. Mamadou Makhtar Mbacké LEYE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI RAPPORTEUR : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : Mme Mireille Catherine KADJA WONOU CO-DIRECTEUR : M. Madi SAVADOGO DATE DE SOUTENANCE : 29/11/2022 PAYS : Burkina Faso Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5004 Connaissances et pratiques des vendeurs de viande face aux risques zoonotiques associés à la manipulation de la viande au Burkina Faso : cas des villes de Bobo-Dioulasso et Ouagadougou [texte imprimé] / Guesrim LALLOGO, Auteur . - Dakar : EISMV, 2022 . - 94p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2022 Mots-clés : RISQUE ZOOTECHNIQUE MANIPULATION DE VIANDE BURKINA FASO Index. décimale : TD-THESE DE DOCTORAT Résumé : Ce travail vise à évaluer les connaissances et les pratiques des vendeurs de viande sur les risques zoonotiques associés à la vente de la viande dans les villes de Ouagadougou et de Bobo-Dioulasso. Un questionnaire structuré a été utilisé pour obtenir des données auprès de 370 vendeurs de viande sélectionnés au hasard sur leurs connaissances et pratiques de vente face aux risques zoonotiques. L’étude a été effectuée d’août à novembre 2021. Tous les répondants étaient des hommes, avec la majorité (89,18 %) âgée de 18 à 50 ans. La plupart (76,76 %) des répondants n'avaient aucune éducation formelle. Seulement (32,7 %) des répondants savaient que la manipulation et la consommation étaient des voies de transmissions des zoonoses. Presque tous savaient que l’hygiène du matériel (93,24%), vestimentaire (97,77%), des locaux (95,19%) est très importante pour réduire les risques de contamination de la viande. Aucun des vendeurs de viande n'a stérilisé son couteau ou ses autres équipements, tandis que 76,35% d'entre eux n'ont pas porté des tabliers pendant le travail. Parmi les enquêtés, seules 88 personnes (soit 23,78%) avaient un niveau de connaissance de risques élevé des zoonoses. En termes de pratique seulement 12.43% des vendeurs avaient été jugés possédant de pratiques d’hygiène très satisfaisantes. Les conclusions de l'étude suggèrent une nécessité de former les vendeurs de viande sur les bonnes pratiques d’hygiène et réguler l'industrie dans son ensemble. PRESIDENT DE JURY : M. Mamadou Makhtar Mbacké LEYE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI RAPPORTEUR : Mme Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : Mme Mireille Catherine KADJA WONOU CO-DIRECTEUR : M. Madi SAVADOGO DATE DE SOUTENANCE : 29/11/2022 PAYS : Burkina Faso Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=5004 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1635 TD22-71 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
TD22-71Adobe Acrobat PDF Connaissances et risques d’exposition des populations aux agents infectieux zoonotiques d’origine faunique au Parc National de la Comoé (Côte d’Ivoire) / Yabouaffo Aboua Letissia Richemonde Koffi (2019)
Titre : Connaissances et risques d’exposition des populations aux agents infectieux zoonotiques d’origine faunique au Parc National de la Comoé (Côte d’Ivoire) Type de document : texte imprimé Auteurs : Yabouaffo Aboua Letissia Richemonde Koffi, Auteur Editeur : Dakar : EISMV Année de publication : 2019 Importance : 72 p. Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2019 Mots-clés : ZOONOSE TRANSMISSION DES MALADIES ANIMAL SAUVAGE FAUNE ET FLORE SAUVAGES COTE D’IVOIRE Résumé : L’objectif de l’étude était de contribuer à la mise en place de moyens de contrôle de la transmission des
agents pathogènes à partir de la faune sauvage. L’étude s’est déroulée du 1 au 29 septembre 2018. Nous avons réalisé des interviews individuels à partir d’un questionnaire avec 334 personnes résidants dans 19 villages et 50 agents des eaux et forêts provenant de 5 secteurs, situés dans un rayon de 15km autour du ParcNational de la Comoé. Les agents du parc avaient de meilleures connaissances que les populations riveraines sur les agents pathogènes zoonotiques provenant de la faune sauvage. Selon respectivement 21% des populations riveraines et 44% des agents du parc, la transmission des pathogènes peut se faire des animaux malades aux hommes. Les principaux moyens de transmission connus sont la consommation de la viande de brousse et le contact physique. Les maladies ayant un potentiel zoonotique connu par les enquêtés sont la maladie à virus Ebola, la fièvre de Lassa, la rage et la tuberculose.
Notre étude révèle que 64,42 % des enquêtés dont tous les agents du parc ont un contact avec la faune sauvage. Il s’agit principalement de la consommation de la viande de brousse (53,49 %). Les espèces les plus fréquemment consommés sont les rongeurs (46,4 %), les ongulés (21,6 %), les primates (17,2 %) et les carnivores (5,2 %). La manipulation des animaux vivants, des cadavres ou de la viande des animaux est faite sans protection. Certains enquêtés se seraient fait
mordre (2,9 %) ou griffé (0,3 %) par un animal sauvage. Selon 24,7% des enquêtés, des points d’approvisionnement en eau seraient partagés avec des animaux du parc. Des recommandations ont été formulées afin d’améliorer les connaissances des populations riveraines et des agents des eaux et forêts sur les pathogène infectieux et d’en réduire le risque
d’exposition.PRESIDENT DE JURY : Monsieur Emmanuel BASSENE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI RAPPORTEUR : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : Monsieur Oubri Bassa GBATI CO-DIRECTEUR : Dr Laibané Dieudonné DAHOUROU/Monsieur Wilfried Délé OYETOLA DATE DE SOUTENANCE : 20/07/2019 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2086 Connaissances et risques d’exposition des populations aux agents infectieux zoonotiques d’origine faunique au Parc National de la Comoé (Côte d’Ivoire) [texte imprimé] / Yabouaffo Aboua Letissia Richemonde Koffi, Auteur . - Dakar : EISMV, 2019 . - 72 p.
Langues : Français (fre)
Catégories : THESES DE MEDECINE VETERINAIRE:2019 Mots-clés : ZOONOSE TRANSMISSION DES MALADIES ANIMAL SAUVAGE FAUNE ET FLORE SAUVAGES COTE D’IVOIRE Résumé : L’objectif de l’étude était de contribuer à la mise en place de moyens de contrôle de la transmission des
agents pathogènes à partir de la faune sauvage. L’étude s’est déroulée du 1 au 29 septembre 2018. Nous avons réalisé des interviews individuels à partir d’un questionnaire avec 334 personnes résidants dans 19 villages et 50 agents des eaux et forêts provenant de 5 secteurs, situés dans un rayon de 15km autour du ParcNational de la Comoé. Les agents du parc avaient de meilleures connaissances que les populations riveraines sur les agents pathogènes zoonotiques provenant de la faune sauvage. Selon respectivement 21% des populations riveraines et 44% des agents du parc, la transmission des pathogènes peut se faire des animaux malades aux hommes. Les principaux moyens de transmission connus sont la consommation de la viande de brousse et le contact physique. Les maladies ayant un potentiel zoonotique connu par les enquêtés sont la maladie à virus Ebola, la fièvre de Lassa, la rage et la tuberculose.
Notre étude révèle que 64,42 % des enquêtés dont tous les agents du parc ont un contact avec la faune sauvage. Il s’agit principalement de la consommation de la viande de brousse (53,49 %). Les espèces les plus fréquemment consommés sont les rongeurs (46,4 %), les ongulés (21,6 %), les primates (17,2 %) et les carnivores (5,2 %). La manipulation des animaux vivants, des cadavres ou de la viande des animaux est faite sans protection. Certains enquêtés se seraient fait
mordre (2,9 %) ou griffé (0,3 %) par un animal sauvage. Selon 24,7% des enquêtés, des points d’approvisionnement en eau seraient partagés avec des animaux du parc. Des recommandations ont été formulées afin d’améliorer les connaissances des populations riveraines et des agents des eaux et forêts sur les pathogène infectieux et d’en réduire le risque
d’exposition.PRESIDENT DE JURY : Monsieur Emmanuel BASSENE DIRECTEUR DE THESE OU MEMOIRE : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI RAPPORTEUR : Madame Rianatou BADA ALAMBEDJI MEMBRE : Monsieur Oubri Bassa GBATI CO-DIRECTEUR : Dr Laibané Dieudonné DAHOUROU/Monsieur Wilfried Délé OYETOLA DATE DE SOUTENANCE : 20/07/2019 PAYS : Côte d’Ivoire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=2086 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T1460 TD19-13 Thèse Bibliothèque (SID) Thèses Vétérinaires Disponible Documents numériques
TD19-13Adobe Acrobat PDF Le conseil agricole et rural : cadre de référence pour l’aviculture de la zone semi-industrielle de la zone péri-urbaine de la région de Dakar / Bessa Awono (2003)
PermalinkConservation et gestion de la faune sauvage au Nord et à 'Extrème-Nord Cameroun / Samuel Bouba (1988)
PermalinkConsidérations générales sur la cytogénétique médicale humaine et vétérinaire / A. Bakary Bado (1984)
PermalinkLa Consommaion des denrées alimentaires d'origine animale (D.A.O.A.) face à la tradition et à l'Islam au Sénégal / Yéro Mamadou Ba (1989)
PermalinkConsommation et commercialisation des œufs à Dakar (Sénégal) / Kagaju Félix Musabimana (2005)
PermalinkConsommation des protéines animales à Dakar / Joachim Gbodja Tonongbé (2005)
PermalinkContamination superficielle des carcasses de bovins aux abattoirs de Dakar (Sénégal) / Hamidou Yalcouyé (2005)
PermalinkContraintes liées à la durée de production du poulet de chair en période de chaleur : adaptation du protocole de vaccination contre la maladie de Gumboro / Thierry Nicaise Kouzoukende (2004)
PermalinkContraintes du transfert d'embryons en milieu villageois / Rokhaya Fall (1992)
PermalinkContribution des activités de l’EISMV de Dakar dans le développement des secteurs de l’élevage et de la pèche : cas du Niger de 1968 à 2022 / Mamoudou TAHIROU EL GARBA (2023)
PermalinkContribution des activités de l’EISMV dans le développement des secteurs de l’élevage et de la pêche dans les états membres et perspectives : cas du Sénégal de 1968 à 2021 / Abdourhamane ADAMOU DAREY (2022)
PermalinkContribution des activités de l’EISMV dans le développement des secteurs de l’élevage et de la pêche des Etats membres et perspectives : cas du Togo de 1968 à 2022 / Francis Nonvignon KOUASSI (2023)
PermalinkContribution à l'alimentation des poules pondeuses au Togo / Kampatibé Pikabé Bomboma (1992)
PermalinkContribution à l’amélioration de la compétitivité des entreprises exportatrices de produits horticoles / Fatou Tine (2009)
PermalinkContribution à l’amélioration de l’éfficacité de l’insemination artificielle bovine au Sénégal oriental et la haute Casamance / Célestin Munyaneza (2012)
PermalinkContribution a l’amélioration de la législation et la règlementation du contrôle des denrées alimentaires d’origine animale en République du Bénin / Blaise HOUNYO Sèdami
PermalinkContribution a l’amélioration de la législation et la règlementation de l’inspection des viande de boucherie au Tchad / Nadji Justin Langtar (2009)
PermalinkContribution a une amélioration de la production aquacole en cote d’ivoire par hybridation de deux espèces de silure africain / Kouassi Eugène Koffi (2007)
PermalinkContribution à une amélioration de la productivité du silure Heterobranchus Longifilis en Côte d’Ivoire par induction hormonale de la spermiation. / Myriam Koua (2003)
PermalinkContribution à l’amélioration de la qualité bactériologique des plateaux-repas servis en restauration différée, en liaison froide / Ibrahima Cissé (2005)
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